Plaisir menotté

La rédaction 7 septembre 2020

Mathilde, 28 ans, découvre les joies du BDSM soft. Elle se laisse se faire menotter pour être ensuite léchée par son nouvel amant Valentin.

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Je suis une jeune femme de 28 ans et je vous le dis tout net : jusqu’à maintenant, je m’emmerdais sexuellement. J’avais beau aller sur des applications de rencontres et multiplier les plans cul, je trouvais toutes ces rencontres globalement assez fades et sans relief, pas assez riches pour combler ma curiosité et mon côté aventurière. Ça, c’était avant que je rencontre Valentin, mon nouvel amant, sur Internet.

Au début, il n’avait pas forcément de quoi me plaire car ce n’était pas vraiment mon type de mec. Mais comme je suis hyper ouverte, je sais me laisser conquérir, pour peu que l’on se montre inventif. Nous avons échangé par mail sur les pratiques qui nous plaisaient et, comme le courant passait bien, nous avons décidé d’y aller à la spontanéité. Ce jour-là, j’ai donc quitté mon bureau plus tôt et je suis allée directement chez lui pour le retrouver. Là, j’ai tout de suite voulu appliquer le scénario que l’on avait imaginé ensemble. Je sais que c’est un peu osé, voire dangereux, mais mon instinct me poussait à lui faire confiance. D’autant qu’il était beaucoup plus sexy en vrai et, qu’après s’être chauffés par messages, j’avais méchamment envie de lui ! Je lui ai dit de me passer les menottes (ceci faisait partie de notre scénario). Il m’a attachée avec des trucs vintages en fausse fourrure noire qui m’ont fait rire.

J’avais enlevé mon haut et ma culotte et je me trouvais inclinée sur son lit, buste contre le matelas, jupe en jean relevée sur mon cul nu et mes bas noirs, à sa merci. Je ne pouvais pas voir ce qu’il faisait et c’était encore plus excitant comme ça. Il a pris son temps pour caresser mes fesses, ma fente. Puis sa langue a remplacé ses doigts et il a exploré tous ces recoins secrets, mes deux trous, mon clito, l’intérieur de mes cuisses. Sa salive séchait doucement sur ma peau et, l’instant avant chaque nouveau contact, je ne savais pas où sa langue allait atterrir. Il ménageait son effet et quand je la sentais à nouveau sur moi, je gémissais de bonheur.

Il a pris tout son temps pour réveiller mon bas-ventre. Un vrai esthète du cul ! J’appréciais vraiment son dévouement et je le lui faisais savoir par mes cris de plus en plus rauques. J’étais toute ouverte, à sa disposition, mains entravées, mes orifices frémissaient de recevoir ses sévices. Que c’était bon de laisser le mélange de peur et de plaisir intense, d’attente érotique, me saisir toute entière. Je me sentais presque dégouliner d’excitation. En y allant très doucement, il a approché un gros vibro de ma fente. Il m’a d’abord fait tester les vibrations au bord de ma chatte, mesurant mes goûts à l’intensité de mes roucoulements.

Puis il m’a pénétrée avec et les vibrations du gode apportaient ce contact plus franc et intense que j’attendais depuis de longues minutes, ce besoin d’être prise. Bien enfoncé dans ma chatte et manié délicatement par mon partenaire, le jouet provoquait comme une déflagration en moi. Les ondes de plaisir montaient par vagues successives, chacune emportant la précédente en me submergeant encore plus de sa pointe lascive. Tout mon corps était en ébullition et se concentrait sur les vibrations du gode. Mes mains étaient toujours liées et j’étais comme prisonnière de mon désir. J’allais jouir et dégouliner de partout, la chambre allait se remplir de ma cyprine quand j’exploserai… J’ai posé mes deux mains entravées sur mes fesses pour les écarter et l’homme a doigté mon cul pendant que le vibro faisait son affaire. Ma jouissance m’a emportée dans un très long cri orgasmique qui s’est répercuté dans tout l’appartement et a vrillé mes propres tympans. Comme j’avais eu raison de m’en remettre à cet inconnu !

Il m’a détachée et j’étais comme une petite chatte avec son maître, à lui lécher les mains, pleine d’affection et de reconnaissance de m’avoir si bien caressée. Je le couvrais de baisers, jusqu’à atteindre son ventre et à chercher son sexe avidement. Je l’ai sorti et je lui ai rendu tout le plaisir qu’il m’avait donné en le léchant doucement, tendrement, puis en l’avalant, en le ponçant de mes ardeurs, encore transie par l’orgasme qui m’avait cueillie. Je m’acharnais tant et si bien sur sa bite que lui aussi lâchait des gémissements que j’avais rarement entendus chez un homme et cela achevait de m’exciter à nouveau. Nous avons enfin baisé par pénétration en nous attrapant comme des brutes jusqu’à ce qu’il jouisse lui aussi et me couvre de baisers à son tour, et nous étions comme deux chats qui ne vivraient que pour la luxure. J’étais bien heureuse d’avoir croisé ce félin sur ma route et il deviendrait, par la suite, mon régulier.

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