Le terrain de la fellation

Paule 3 février 2024

Parisienne pur jus, mes parents sont nés à dix kilomètres de Tunis, mais je suis née dans le quatorzième il y a vingt-cinq ans je préfère draguer les hommes

 Pêche à la perche … à selfie !

Je suis une Parisienne pur jus, certes mes parents sont nés à dix kilomètres de Tunis, mais je suis née dans le quatorzième il y a vingt-cinq ans. Un de mes spots préférés pour draguer ? La basilique du Sacré-Cœur. Il y a là des tonnes de touristes, mes préférés restant les beaux mâles célibataires qui se prennent en selfie. Je suis sûre de tomber sur le maladroit de service qui n’arrive à rien, et c’est alors que je propose mon aide. Je vous raconte mon histoire de sexe.

William arrivait du Texas, je ne m’étais jamais envoyée en l’air avec un Texan, il n’a pas été long à fondre devant mon accent français et mon décolleté sans soutif. Sa chambre d’hôtel était toute proche, l’occasion de nous rafraîchir en cette canicule aoûtienne !

La baignoire était modeste, mais quand William m’a vu me dénuder entièrement devant lui pour ensuite me caresser sous le jet d’eau, il a été prompt à virer son short et à me présenter sa « big dick », sa grosse bite dans le texte ! Il avait une queue XXL, rien d’étonnant avec un type venant des USA, tout y est plus grand que chez nous, non ?

Après nos ablutions, j’ai continué ma pipe dans la chambre, il a encore durci et pris du volume, le tout en me prenant copieusement en photo et m’enfonçant son énorme pipeline au fond de la gorge. On dit que les américains ont renoncé à leur politique d’ingérence concernant leur politique étrangère, pas sûr !

Après mon offensive sur le terrain de la fellation, j’ai eu le droit aux « représailles », une espèce de « Midway » chaud et humide. Il m’a attirée au-dessus de lui en soixante-neuf et m’a redonné son canon de Navarone à sucer tandis qu’il s’occupait de ma tranchée bien gonflée et toute ouverte. Je confirme que les Ricains ont un appétit hors norme ! Jamais on ne m’a bouffé la chatte avec autant d’enthousiasme et d’énergie ! Il parlait de « my beautiful pussy » entre deux incursions de sa langue dans mon petit con tout chaud. Il a même réussi à caler sa perche pour nous photographier sans toucher à son téléphone !

Détail important, ce garçon un peu simplet mais beau, très beau, joue dans l’équipe de football américain de son université. Côté endurance, j’ai été servie ! Il m’a défoncée dans toutes les positions, tenant le rythme jusqu’à ce que j’aie joui dans chacune. Il a commencé par un missionnaire, assez sage au début, ses coups de reins se sont révélés de plus en plus puissants, il me regardait dans les yeux intensément et cherchait tous les détails dans mes mimiques pour savoir s’il était sur la bonne voie. J’ai abondé dans son sens, devenant de plus en plus expressive lorsque le rythme et l’angle me convenaient. Il m’a emmenée au septième ciel sans même qu’une goutte de sueur n’aie perlée à son front, moi j’étais en nage, trempée de l’abricot jusqu’aux cuisses. C’est alors qu’il m’a retournée comme une crêpe et, par des gestes sur mes hanches, m’a fait comprendre qu’il ne me voulait pas en levrette tout de suite, mais allongée bien à plat sur le ventre, les reins cambrés au maximum. Je me suis exécutée en gémissant comme une petite chatte, j’adore être passive au pieu.

Il a fait entrer son membre toujours aussi dur dans ma fente légèrement rougie par la première partie de jambe en l’air, c’était bon, mon vagin était plus serré dans cette posture et mes sensations décuplées. Et j’ai vite compris pourquoi William ne me voulait pas tout de suite en levrette, monsieur avait dû avoir de mauvaises expériences par le passé, parce que lorsqu’il m’a fait me relever, son gland est allé taper si loin dans le fond de ma grotte que j’ai pensé défaillir dans l’instant. Je n’ai jamais eu un aussi gros orgasme de ma vie ! Ce type était un dieu de la baise, il a parfaitement su m’amener là où il voulait pour me laisser comme un chiffon trempé et froissé au milieu du lit. Je lui ai même demandé de se branler dans ma bouche pour se finir, mon sexe était trop sensible pour un nouvel assaut ! Il a pris son temps et s’est paluché de toutes ses forces, son gland ou ses grosses boules épilées bien coincés entre mes lèvres, enfin il a lâché un flot de foutre, il n’y a pas d’autres mots ! Ça sortait en effusions saccadées, ça remplissait ma bouche jusqu’à ce que cela déborde, j’ai avalé ce que j’ai pu et me suis massé mes gros boobs avec le reste.

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Paule


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