L’arrière cuisine coquine

La rédaction 11 mars 2025

Sofiane, 27 ans et sa collègue pâtissière Alizée ont concoctés un délicieux mets à l’arrière de la cuisine. On dirait qu’il n’y a pas que les fourneaux qui sont chauds !

Sofiane nous raconte son histoire de sexe chaude avec Alizée, la pâtissière qui raffole de la crème !

Je travaille dans un restaurant comme chef de rang, mon quotidien est rythmé par les services et je n’ai pas le temps de cultiver ma vie intime. Alizée est la pâtissière de l’établissement et je n’avais jamais remarqué quoi que ce soit de l’intérêt que je suscitais chez elle, jusqu’à dernièrement. Elle me frôlait systématiquement, ouvrait la porte des vestiaires destinés aux femmes juste lorsque je passais devant. J’ai fini par me décider à tenter une approche, bien m’en a pris !

La patissière affamée

Je crois que je n’ai jamais été déshabillé aussi rapidement de ma vie, j’en ai fait autant, maladroitement, mais je suis tout de même parvenu à mes fins. Elle était aussi mince et musclée que moi, son corps sentait fort la sueur de travail, cela m’a fait bander à m’en exploser la bite. Quand Alizée a découvert le mastard que j’ai entre les jambes, elle a défailli.

« Je n’en ai jamais vu de si grosses ! Tu y vas délicatement s’il te plaît ? »

Je lui ai promis que je serai le plus tendre possible et elle s’est laissé glisser contre moi pour finir avec son visage au niveau de ma queue. J’ai oublié de prendre mon portable pour immortaliser ses joues distordues par mon gland volumineux, alors qu’elle bavait, tant ma bite lui déformait la bouche. Heureusement, j’ai réussi à capturer quelques autres moments très chauds !

Je l’ai soulevée de terre pour poser son cul menu sur une table, la froidure lui a arraché un cri, mais elle a écarté ses cuisses très largement afin de me montrer son minou rasé, juste surmonté d’un très fin toupet de poils tout doux.

Sa petite main avait du mal à empoigner mon pénis, elle l’a guidé du bout des doigts jusqu’à l’embouchure de son fleuve intime. Sa chatte était toute mouillée et je n’ai eu qu’à pousser très légèrement pour que mon bulbe force le passage. Elle m’a retenu quelques secondes puis m’a laissé enfoncer le reste de mon sexe en elle.

Comme un pain fourré à la crème

Alizée n’en est pas revenue que toute ma hampe soit entrée en elle. Je me sentais super serré dans son vagin, mais j’ai commencé à bouger timidement d’avant en arrière. Plus je la limais, plus elle se liquéfiait, j’en ai profité pour donner plus d’énergie encore à mes coups de reins et mon amante a joui en se mordant les lèvres pour ne pas hurler son plaisir. Sa fente ruisselait et sa cyprine embaumait mes narines. Elle s’est penchée en arrière, confiante, désormais, en ses capacités à accepter mon vit tout entier en elle. Nous nous sommes embrassés fougueusement, nous n’y avions même pas pensé jusqu’alors, et elle m’a glissé à l’oreille « Fais-moi jouir encore, elle est trop bonne ta grosse queue … »

Il ne m’en fallait pas plus pour conforter mon érection qui était déjà à son pinacle, j’ai senti mon sang affluer dans mes corps caverneux et gonfler mon gland. L’étau du fourreau s’est lui aussi resserré, j’étais au paradis. J’ai attrapé les petits seins d’Alizée dans la main pour les malaxer, ils étaient menus entre mes longs doigts, mais très fermes et j’ai vite découvert que leur propriétaire adorait qu’on les maltraite un peu, sans être violent pour autant. J’ai mordillé ses tétons, elle se démenait tant la caresse lui faisait de l’effet, j’ai même senti ses dents entamer mes lèvres lorsque son second orgasme l’a envahie !

J’étais si excité que je l’ai carrément soulevée entre mes bras et plaquée contre une cloison. Aussi légère qu’une plume, je n’ai rencontré aucune difficulté à la prendre ainsi, à la hussarde, en grognant, le visage enfoui dans son cou, afin de lui créer un énorme suçon écarlate. J’étais déchaîné, Alizée n’arrêtait pas de gémir et de m’encourager à la baiser encore et encore, à la défoncer entre deux éloges sur les prouesses de ma bite !

Et que ça sauce !

Aucun homme ne peut résister à tant de compliments, ni à tant de vocalises, cela m’a donné un regain d’énergie et d’appétit sexuel. J’ai redéposé Alizée sur la table pour lui prodiguer un cunnilingus qui a largement dépassé les limites de son sexe. J’ai plongé ma langue dans sa chatte, aspiré son clito et léché son petit trou. Elle a pris peur, effrayée que je veuille la sodomiser, mais pour une première, je me suis contenté de la faire décoller de nouveau avec mes jeux de bouche avant de l’enfiler une dernière fois. Je n’en pouvais plus et je désirais venir à mon tour, il ne m’a fallu que quelques secondes de va-et-vient dans son con gonflé pour sentir mes couilles se durcir et mon pieu se mettre à battre la chamade. Elle m’a demandé de lui éjaculer dessus, elle souhaitait me voir gicler.

J’ai sorti mon pilon de son mortier en feu et je me suis branlé jusqu’à ce que ma sauce blanche lui éclabousse le ventre. Voilà comment cette histoire de sexe à l’arrière de la cuisine s’est terminée !

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