Photos choc

La rédaction 13 février 2021

Lucie, 41 ans se rend à une présentation de lingerie, la soirée dérape et se transforme en séance photos X.

Dans cette histoire de sexe, je veux raconter aux lecteurs et lectrices d’interstron.ru une aventure peu commune que j’ai vécue, il y a quelque temps.

J’avais été invitée par une amie à une soirée de présentation de lingerie à son domicile. Lorsque je suis arrivée, son mari m’a accueillie en m’expliquant que la réinterstron.ru était annulée, sa femme ayant dû se rendre au chevet de sa mère en urgence. Il n’avait pas trouvé tous les numéros des participantes pour les prévenir. En tout cas, il n’avait pas trouvé le mien. Il m’a précisé avec un sourire contrit que si je voulais, le stock de lingerie était quand même là, et il m’a proposé d’entrer et de prendre un verre « pour ne pas avoir fait tout ce chemin pour rien« . J’ai accepté.

Après tout, je n’avais rien d’autre de prévu. À peine étais-je entrée que Jean-Marie m’a indiqué la salle de bain, en me disant de faire comme chez moi. Il est parti, et je me suis mise à fouiner dans le stock de vêtements sexy : des bodies, des strings, des déshabillés, des masques. Il y avait aussi divers accessoires et des jouets coquins. J’ai essayé un ensemble, passé un négligé par-dessus, et je suis allée dans le salon pour lui demander son avis. Il était tellement à l’aise que, sans réfléchir, je pensais qu’il travaillait avec sa femme. Il a eu l’air heureusement surpris de me voir vêtue ainsi, et il m’a offert un apéritif… qui m’est vite monté à la tête.

On a bavardé, et il m’a appris que j’étais tombée dans un piège. Sensuel, le piège… Chaque année, à une date anniversaire, sa femme s’éclipsait et lui envoyait une de ses amies. Si cette dernière était d’accord, il pouvait faire ce qu’il voulait, à condition de prendre des photos et de les lui montrer ensuite. J’étais un peu dubitative, mais le mari de Jeanne était tout de même plutôt mignon, et il m’a fait voir des photos des deux précédents « anniversaires« . J’étais étonnée, mais excitée. Je lui ai donné ma réponse en soulevant ma petite robe, et il m’a suggéré de monter sur le lit et de relever un peu ma nuisette.

Jean-Marie avait son appareil photo dans la main, et il s’est mis à me diriger. J’étais un peu intimidée. Bientôt, il m’a demandé de lui montrer un sein, ses ordres devenaient plus précis : « Ouvre tes cuisses qu’on voie ton minou« , « Mets-toi à quatre pattes et écarte les fesses« , « Assieds-toi sur le bord et caresse-toi la vulve« , « Montre ta chatte, voir si elle mouille« . Quand il s’est enfin rapproché, j’étais déjà toute mouillée. Il m’a ouvert plus les jambes. D’une main, il a soulevé la nuisette, il a pris un cliché, puis son doigt est passé sur ma vulve. J’étais très excitée. Il m’a alors ordonné : « Mets-toi à genoux, coquine, et ferme les yeux. » J’ai obéi, et il m’a noué un tissu sur les yeux. Il m’a prié d’ouvrir la bouche et juste après, il a lancé sur un ton joyeux : « Tu ne crois quand même pas que je vais te donner ce que tu veux si vite. »

Jean-Marie m’a allongée. Ses mains glissaient sur le tissu et remontaient. Je sentais mon minou qui mouillait de plus en plus. Sa main a enserré mon sein, il a tiré légèrement sur mes tétons, pris encore un cliché. Le photographe s’est installé sur ma tête, sa bite a reposé sur mes seins. Il s’est allongé sur moi et a caressé mon clitoris rougi et boursouflé : « Suce-moi maintenant. » Je lui ai obéi. Avec les mains, je lui caressais les couilles et les fesses. Et je lui mettais des coups de langue sur le bout du gland, de plus en plus fort. Rapidement, il a décidé d’enfiler une capote.

Après m’avoir léché la raie et l’anus — on ne me l’avait jamais fait auparavant —, il m’a donné des petites tapes sur les fesses. Sa bite est entrée dans mon vagin. Une fois pénétrée, j’avoue, j’ai joui tout de suite. Le mari de Jeanne a vite déchargé aussi, en rugissant : « T’aimes ça, hein coquine ! » Son membre extirpé de mon intimité, il m’a retournée et m’a fait lever les cuisses sur ses épaules. À genoux, il m’a dévoré la chatte. Il a bientôt mis un doigt, j’ai senti que ça coulait. Sa langue faisait des mouvements circulaires de plus en plus larges, pour progressivement glisser vers mon anus. Jean-Marie a pris du lubrifiant à la fraise. Le liquide très froid a coulé sur mon oeillet, un doigt s’est immiscé et a fait de doux mouvements concentriques en tapotant mes parois.Il a alors sorti un vibromasseur et l’a introduit en moi.

Quand Jean-Marie a enclenché les vibrations, j’ai été prise d’un orgasme. Il en a profité pour me mettre deux doigts dans le derrière. La sensation était toute nouvelle pour moi, et je commençais à apprécier la caresse. Il m’a saisie par les cheveux et a approché sa bite ramollie de ma bouche. Je me suis remise à le sucer à grands coups de langue, en le branlant avec ma main droite. Bientôt, sa queue a durci. Il s’est retiré de ma bouche et m’a aspergée de sperme. Après une dernière photo, il était temps de me rhabiller, toute poisseuse et épuisée. Avant que je ne parte, mon photographe de charme a gravé les photos sur un CD à mon attention, et je voulais vous en faire profiter aussi.

(Image à la une : Getty Images)

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