Sex in paradise
4 octobre 2025
La Polynésie, le rêve ! Richard, mon compagnon, l’a transformé en réalité ! Les plages de sable blanc, les maisons sur pilotis, l’eau transparente et les milliers de poissons colorés nageant entre les coraux, tout cela s’est offert à moi l’espace de trois semaines paradisiaques. Dès notre arrivée sur l’île principale, je me suis sentie chaude, la température était élevée, certes, mais ma chatte s’est avérée l’être bien plus encore.Voici mon histoire de sexe érotique.
Vacances et exhibition
Dans le taxi qui nous a emmenés à l’hôtel, j’ai retiré ma culotte pour la donner à mon homme, j’ai fait de même avec mon soutien-gorge et les colliers de fleurs autour de mon cou ont un peu dissimulé à la vue du chauffeur les mains de Richard qui m’ont pelotée en haut comme en bas ! J’avais emporté un bikini blanc dans lequel mon mari m’a beaucoup pris en photo et les endroits isolés sont pléthoriques, j’ai donc répondu favorablement à sa demande en me laissant aller au naturisme et à l’exhibition la plus débridée devant ses yeux gourmands et sa grosse queue qui n’en finissait plus de bander !
Je le suçais dès que nous étions tranquilles et je crois que j’ai bu son sperme matin et soir pendant cette escapade ! Il était en érection permanente et moi, je mouillais non-stop, impossible de garder une petite culotte sèche plus d’une heure, ce qui fait qu’au bout du compte, je n’en ai plus portées du tout. Richard passait son temps à m’observer et, quand son regard se fixait sur mon entrejambe, j’écartais les cuisses afin qu’il profite de mon minou tout lisse.
Avec ma tête de linotte, j’ai oublié mes sextoys à Paris, Richard, toujours très inventif, a chapardé un concombre dans les cuisines de l’hôtel et l’a emballé dans un préservatif, j’aime sa queue au-delà de tout, mais j’adore également qu’il me branle avec un gros gode, qu’il me dilate la chatte avant de venir me baiser avec son barreau bien raide. Autre fantaisie que j’ai découverte il y a peu, la double pénétration ! Pas encore avec deux membres virils, bien que cela me tente, mais avec la bonne pine de mon homme et un jouet … ou en l’occurrence un quelconque légume à la forme phallique !
Richard, constamment friand d’images de moi, a passé son temps avec son portable, sa perche à selfies ou son reflex, à me, à nous prendre en photo. Je dois lui rendre justice, moi aussi ça m’excite de lui offrir ma chatte ouverte pour qu’il me doigte ou me baise et qu’il immortalise ces instants hyper chauds entre nous. D’autant que nous avons de plus en plus d’envies libertines, voire carrément échangistes, et avons commencé à nous envoyer des clichés avec d’autres couples.
Partie de foutre
Le soir, avec la climatisation dans la chambre, c’était un festival, toujours en bas et porte-jarretelles, c’est le péché mignon de mon mari. Je me baladais nue devant lui, après la douche. Doucement ma toison pubienne avait refleuri et j’ai conservé mes poils pour le plus grand plaisir de Richard. Il me dirigeait et j’ouvrais mes cuisses pour lui donner la plus délicieuse des vues, mes lèvres gonflées de désir et ma fente trempée de mouille épaisse dans laquelle je m’appliquais à enfoncer un, puis plusieurs doigts. Il n’y a rien qui excite plus Richard que de me regarder me caresser et me branler, je glissais même vers mon petit trou de temps en temps pour que le spectacle soit total !
Souvent il me rejoignait alors pour s’approprier ma masturbation en cours, il introduisait ses phalanges en moi ou notre jouet improvisé pour me dilater le vagin au maximum, il est parvenu également à me fister deux fois, j’ai pris un pied comme jamais grâce à cette pratique extrême. Après ces « douceurs », je le suçais, histoire d’avoir son goût en bouche et de le mener à un durcissement maximal avant qu’il me pénètre et me baise comme un lion dans toutes les positions ! Son membre se frayait un chemin dans les alvéoles cotonneuses de mon sexe ou dans mon anneau serré, m’enculant en me traitant de petite salope, ce qui a toujours eu le don de me faire venir sur le champs. Richard ne s’est pas privé non plus de m’enfiler par les deux orifices en même temps. En levrette, ma posture préférée, j’actionnais le concombre au plus profond de ma vulve, tandis que mon mâle prenait mon petit trou d’assaut jusqu’à ce que je sois vaincue par un ou plusieurs orgasmes qui me laissaient toute molle à chaque fois.
Mon ultime plaisir était et reste toujours ma glace favorite, mon sundae dégoulinant de crème, le gland de Richard éjaculant son flot de foutre dans ma bouche. Quel bonheur que de laisser couler sa semence et de tout laper avec ma langue pour mieux déguster son élixir doux et suave !
A lire aussi :