Pieds et trépied
8 décembre 2025
D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été à l’aise avec mon corps et très libre dans ma sexualité. Mes parents étaient naturistes, on passait nos vacances sur l’île de Lérins, tout l’été à poil. Ma mère m’a donné une éducation sexuelle très ouverte, ne m’interdisant rien quant à mes premiers rapports, me soulignant juste que, je devais avoir envie de mon ou de ma partenaire. Elle a toujours insisté sur le fait que mon consentement devait être total et, si c’était un garçon, capote, capote, capote ! J’en ai d’ailleurs eu très tôt à ma disposition à la maison. Voici mon histoire de sexe amateur.
François et sa peine incroyable
Aujourd’hui j’ai presque trente ans et je profite de cette éducation pleinement. J’ai tout un florilège d’amants qui viennent chez moi et avec qui je m’éclate sexuellement ! Celui qui est en ma compagnie sur quelques clichés, c’est François, un homme marié, fétichiste des chaussures et photographe à ses heures perdues. Quand on baise, c’est toujours avec le trépied quelque part dans la pièce. Il déclenche l’appareil grâce à une petite télécommande et s’arrange toujours, ce vicieux, pour qu’on voit bien son chibre se planter profondément dans ma chatte. Plus âgé que moi, il a cinquante ans, il a de l’expérience avec les femmes et cela se sent. Je ne sais qu’elle est la nana qui l’a formé au cunnilingus, mais je la remercie à travers ces lignes. Il a une approche furtive de mon con, baisers vaporeux, caresses du bout des doigts, puis il enfonce son index et son majeur dans ma chatte devenu un véritable marécage alors que sa langue vient enrober mon bouton d’amour.
Je me sens couler, mon vagin ne peut s’empêcher d’émettre un flot continu de cyprine aux fragrances de brune, fortes et marquées. Puis il recroqueville ses doigts en moi et vient tapoter la face antérieure de mon vagin au rythme où sa langue me titille le bourgeon. Je mets au défi n’importe quelle lectrice, je vous prête François (il n’attend que ça ce petit cochon, il a déjà baisé trois de mes copines !), impossible de ne pas atteindre l’orgasme en quelques minutes de ce traitement délicat et tout à la fois très profond ! Quant à son pieu, je n’aurais qu’un mot : idéal ! En tout cas pour moi. D’abord il est beau, si, si, je vous assure, il y a des bites que je trouve laides. Celle-ci possède une cambrure parfaite, une rigidité à tout épreuve, un miellat doux et légèrement salé. Je pourrais passer des heures à la sucer, à la dorloter, j’adore la caresser du bout de doigts ou des ongles. Parfois je parviens à le faire éjaculer juste en pratiquant cette palpation à la fois terrible et formidablement jouissive. Mais mon truc préféré, et de loin, c’est de le chevaucher ! J’enfourche ses cuisses aussi velues que son torse.
Fellation & sodomie
J’aime perdre mes mains dans ce velours épais, lui faisant face ou lui tournant le dos, tant il désire photographier ma chatte ou mon trou du cul, tâter mes nichons fermes ou prendre entre ses lèvres mes tétons érectiles à souhait. Je m’embroche sur sa barre d’acier, un courant électrique parcourt tout mon corps, ses mains viennent me pétrir le cul ou soulager une de mes cuisses afin que la pénétration soit la plus profonde possible. Moi je m’écartèle, je l’embrasse, je lèche sa bouche, lui donne ma langue à sucer ou mes aréoles sensibles à téter, je plaque mon clitoris contre son pubis et je me laisse porter doucement vers un orgasme aussi long que délicieux. Parfois je lui offre mon petit trou, sa bite se faufile sans peine dans mon anus accueillant, il adore m’enculer et j’avoue que je suis aussi fan de cette pratique lorsque c’est avec lui. Il a un savoir-faire unique pour dompter mon sphincter interdit, il le lèche, l’enrobe de salive, le détend et l’élargit en le pénétrant d’un puis de plusieurs doigts et, lorsqu’il me sent prête, il loge son gland dans l’anneau élastique, sans forcer.
Il me le met jusqu’à ce que sa couronne trouve sa place, moi je le retiens par les couilles et quand je sens que je suis suffisamment détendue et ouverte, je lâche son scrotum pour qu’il me prenne jusqu’à la garde. Ce qu’il adore ensuite, c’est que je m’accroupisse à ses pieds, face caméra, que j’écarte le plus possible mes cuisses afin qu’il puisse bien voir ma chatte encore gonflée de ses coups de queue et que je le suce jusqu’à ce qu’il gicle dans ma bouche. Je le branle le plus énergiquement possible. Il aime quand ma main l’enserre fort et qu’elle va et vient à un rythme dingue. Par moment, j’aspire le plus fortement possible son gland, comme si je voulais en tirer la substantifique moelle et enfin je reçois son jus crémeux sur ma langue câline.
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