Découvrez la suite des aventures érotiques d’Astrid

La rédaction 25 février 2021

Dans la suite de ses récits érotiques, la belle Astrid, 28 ans, nous parle de sa passion pour le sexe et des joies des plaisirs lesbiens.

En début de semaine, Astrid 28 ans nous racontais une de ses histoire de sexe dans la première partie de son récit, aujourd’hui elle nous partage la suite de ces aventures.

Sous mes dehors sages et calmes de belle blonde bien roulée issue d’une grande école de commerce, j’ai hérité de plusieurs caractères de mes parents … dont celle qui nous occupe aujourd’hui : une libido exacerbée.

J’aime le sexe, j’ai toujours aimé le sexe. Je me suis branlée très jeune, un ours en peluche (que j’ai toujours mais qui est à la retraite en tant que sextoy !) coincé entre mes cuisses, son oreille bien calée sur mon minou. J’exerçai des pressions régulières sur mon bouton et mon bas ventre s’emplissait de papillons comme par miracle. Par la suite j’ai exploré mon sexe avec des copines en colonie de vacances. Du touche-pipi gentillet des années collèges, je suis passé à des dortoirs de quatre filles lors de stages organisés par l’UCPA de ma première à ma terminale. Et là, plus question de juste se regarder l’abricot pour découvrir que les autres nanas avaient le même modèle que vous entre les cuisses ! On était quasi tout le temps à poil sauf pour les activités sportives à proprement dit, dans les douches, dans les chambrées, dans les couloirs et évidemment au lit.

Là j’ai commencé à classifier les filles sur plusieurs critères. D’abord, évidemment, les seins. Première chose visible et quantifiable, un peu comme les mecs font avec leur pénis. Il y a, en vérité, quelques grandes typologies de nichons. Des pas encore très développés (ou pas du tout) aux mamelles offrant le volume d’une tête (Bonjour la facilité pour courir, sauter ou bien encore faire du cheval !), les formes variées digne des variétés d’un beau verger, pommes, poires, melons, mangues, pastèques, la coloration bigarrée des aréoles, du rose pâle au brun presque ébène ainsi que leur diamètre, les tétons gros, petits, très fortement érectiles et sensibles ou au contraire endormis et impassibles. Il y en avait pour tous les goûts.

Les fesses aussi étaient un marqueur important. La mode était aux « p’tits culs », très loin des Kim Kardashian ou des Nicki Minaj actuelles mais, là aussi, il y avait de tout. Les globes charnus mais bien musclés des cavalières, les petits dômes serrés des athlètes, celles où l’on ne savait pas où s’arrêtait la cuisse et où commençait la fesse à proprement parler. Peu de mes congénères, en vérité, avaient la fesse molle ou des gants de toilette .. certaines avaient déjà quelques picots de cellulite mais rien de bien conséquent.

J’ai découvert des minous, de chattes, des moules, des abricots, des fentes en veux-tu en voilà ! Le choc ! Jamais je ne m’étais imaginée qu’il y eut tant de diversité dans les vulves de ces dames ! D’une, la chasse aux poils pubiens avait déjà commencé, en particulier chez nos amies gymnastes, nageuses et danseuses. Pas très esthétique d’avoir des frisotis qui dépassent du maillot ou du body. Du coup les sexes s’exposaient bien plus intimement que lorsqu’ils étaient dissimulés, bien à l’abris sous un tapis de mousse occultant. J’ai donc observé un peu tous les « modèles ». De la chatte de petite fille toute lisse, un sillon et rien d’autre aux petites lèvres exubérantes, folle explosion de corail rose, rouge, brun. Ces sexes là me fascinaient, ils faisaient Femme avec un grand F, je trouvais aussi des asymétries qui rendaient une chatte identifiable au premier regard, ça débordait d’un côté et de l’autre rien, des sexes quasi ombiliqués, renfrognés, comme roulés vers l’intérieur. Un florilège, un panel représentatif de nos intimités se donnait en spectacle, l’origine du monde décliné à l’infini, des variations sur le même thème. Et plus surprenant encore mais bien évidemment naturel, il n’y avait aucun stéréotype de sexe en rapport avec le statut social de la famille d’où provenait sa propriétaire. Des filles d’ouvriers avaient des sexes lisses et « sages » alors que la progéniture de je ne sais quelle aristocrate avait la foufoune extravagante et une toison pubienne digne d’une jungle inextricable. Le sexe et la nudité ramenait tout le monde à égalité.

J’oubliais peut-être le principal bien que la couleur de nos peaux nous fût largement indifférente mais il y avait bien sûr une représentation d’un peu toutes les ethnies, de toutes les carnations et de toutes les couleurs de cheveux. Je me souviens en particulier de deux cousines d’origine sénégalaise belle comme des déesses africaines de la chasse, élancées avec des seins si parfaits qu’ils en paraissaient artificiels ainsi que de trois « beurettes » (c’était le nom à la mode) bien délurées. Plutôt petites (elles faisaient de la Gymnastique Rythmique et Sportive, on dit GR maintenant) elles étaient fines de taille, leur peau caramel me transportait littéralement, elles avaient les même lolos, hauts et fermes en revanche leurs aréoles et leurs tétons signaient chacun la poitrine de l’une ou de l’autre. Il n’y avait qu’une asiatique dans notre groupe, « représentative » du stéréotype qu’on s’en fait (je suis allée depuis au Japon, au Vietnam et en Thaïlande et ce n’est pas vraiment le cas aujourd’hui), petite, hyperlaxe, peu de poitrine, des poils pubiens très noirs et hirsutes et une sensualité débordante.

Enfin, et bien que je n’aie jamais ressenti aucune attirance lesbienne particulière auparavant, l’été, le sport, la nudité, le rapprochement des corps et les soirées festives agrémentée d’alcool et d’autres produits légers mais récréatifs m’ont conduite sur les chemins de Sapho. La toute première fois j’étais déroutée, dégoutée même, je trouvais cette plaie béante et odorante peu ragoutante à vrai dire. Mais comme me répétait une de mes grands-mères « Tu ne peux pas savoir si tu n’aimes pas tant que tu n’as pas goûter ! ». J’ai donc plongé une langue timide dans la fente de Chloé, une brunette au seins magnifiques et j’ai adoré son goût sur le champ, comme quoi il ne faut jamais dire jamais. Son con coulait doucement dans le creux de ma langue, c’était un peu tout à la fois, iodé, salé, un léger arrière-goût de son dernier pissou, avec des notes musquées presque épicées que me dispensait son anus voisin. J’ai adoré la sentir, la savourer. En soixante-neuf elle me léchait le bourgeon avec une maestria qui m’a vite fait comprendre qu’elle n’en était pas à son coup d’essai. Le jeu a rapidement tourné à « tester » le plus grand nombre de cons possibles, il faut dire que l’offre était pléthorique et qu’il n’y avait pas un seul garçon à se mettre sous la dent ou entre les cuisses !

J’ai tété des nichons de toutes formes et de toutes tailles, j’ai gouté des lèvres ourlées, pincées, moelleuses et j’ai léché des chattes puis des culs à en défaillir. Chaque soir nous changions de dortoir, de couche, des affinités sexuelles se créaient ben entendu mais d’autres découvertes nous attendaient toujours.

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