Deux lesbiennes pour monsieur

La rédaction 13 janvier 2021

Dans cette histoire érotique, Michael, en couple à distance, nous partage un récit dans lequel sa femme réalise devant ses yeux son fantasme lesbien.

Pour votre et notre plaisir, voici un peu d’amour à distance dans cette histoire érotique.

Ma chérie et moi vivons dans des villes différentes et notre séparation physique est devenue progressivement insoutenable. Aussi avons-nous voulu combler notre manque de plus en plus frustrant par des scénarios téléphoniques excitants.

Nous nous appelions tous les jours au moment du coucher pour nous chuchoter nos envies et nos besoins. Très vite, la vision de nos sexes est aussi devenue nécessaire. Et les appels téléphoniques avec vidéo ont été un excellent moyen de satisfaire nos imaginations. Voir son pubis rasé, ses lèvres intimes et sa fente linéaire bien dessinée, est un spectacle dont je ne me lasse pas. La vision de son anus, tout autant. Alors, pour satisfaire ma demande, ma chérie promenait son téléphone sur les endroits intimes de son corps. Mon sexe évidemment se dressait à ce spectacle et, aidé de ma main, se mettait en situation de me satisfaire.

Ma douce m’a rapidement demandé un traitement comparable. Sa pudeur et sa réserve aux choses du sexe se sont estompées progressivement au cours de notre jeune relation (moins de deux ans). À ce stade du manque charnel, elle me demandait que je promène le téléphone sur mon corps. J’éprouvais un grand plaisir pendant cette exhibition intime. À chaque soirée nouvelle, nous ressentions le besoin d’enrichir notre télé-sexualité. J’imaginais des scénarios. Ceux dont je sais qu’ils l’excitent, en poussant plus loin mes propos, au-delà des limites qui sont les siennes. Et je lui ai souvent raconté une histoire dont la trame est la suivante :

« Ma chérie, imagine que je te bande les yeux. Je te couvre de doux baisers en te promettant l’aventure sensuelle dont tu m’as déjà parlé : être confiée aux bons soins d’une femme fine et gentille pour qu’elle te fasse découvrir les moments du bonheur lesbien.

Je te déshabille en décrivant la femme qui sera ton amante et qui te regarde. Elle a de jolis yeux, une silhouette agréable. Elle se déshabille lentement en suivant la progression de ta propre nudité. Mais elle garde dans un premier temps ses sous-vêtements et préfère te voir déjà nue. Elle demande aussi que je me déshabille à mon tour pour être dans la même tenue que vous deux. Tu donnes ton accord et en profite pour saisir mon sexe dans ta main. Tu me tripotes doucement. Ta complice nous regarde et sourit. Je t’allonge sur une table confortable et laisse la place à notre amie qui te parle de ton corps, de son désir pour lui. Je me retire dans un coin de la pièce sur un fauteuil et je continue les caresses que tu avais commencées sur mon sexe.

Ton amante promène ses mains sur ton visage, l’embrasse tendrement, sa bouche ne fait qu’effleurer tes lèvres. Tu tends ta bouche vers la sienne, gourmande et désirante. Elle maintient la distance et caresse ton corps. Elle exige de ta part d’ouvrir tes cuisses à son regard et à ses effleurements sensuels. Je t’entends gémir faiblement. Te connaissant, je sais que tes pensées se promènent dans ce récit, imaginent les mains et les bouches, que ton corps ressent la puissance de ton imagination et ses bienfaits sur ta libido. Ta partenaire prend le dessus de ce corps-à-corps sensuel. Elle agit aussi pour son propre plaisir. Elle sait, elle aussi, qu’elle ne te fera jouir que si elle-même se lâche et vit pleinement la complicité entre deux femmes en chaleur.

À côté de vous deux qui êtes en pleine masturbation, je te raconte mon excitation, ma bandaison, mon désir pour toi. Je te dis le plaisir de vivre enfin cette transgression charnelle, en dehors des normes, de la morale habituelle, qui interdit et ne propose que la frustration. Vous êtes belles dans le plaisir. Lorsque tu es en pleine excitation, tu me dis que tu es à moi, que tu m’appartiens, que je peux faire ce que je veux de ton corps. Tu me fais confiance. Et je te demande de me prouver cet abandon, dont tu sais qu’il est réciproque, en jouissant d’abord du plaisir du moment. Ce que nous vivons, cette aventure lesbienne, cette exhibition, ce voyeurisme de ma part, c’est notre épreuve et notre preuve d’amour : nous nous donnons l’un à l’autre, pour notre plaisir personnel et réciproque. J’entends ton souffle qui s’accélère et devine les soubresauts de ton corps, le lâcher-prise qui te conduit à la jouissance, puis à l’orgasme. Je dois t’aider à y parvenir par ma voix, par ce téléphone. Alors, je te décris la façon dont ta copine profite de toi, comment elle s’y prend pour te doigter, te lécher, te complimenter et te traiter en jouisseuse. Comment elle abuse de ton corps si léger, si sensible, dans le but de satisfaire son désir de te voir jouir. Une fois le but atteint, elle te demande de s’occuper d’elle, de la posséder et de l’envelopper de cette sensualité féminine merveilleuse qui plaît tant aux femmes qu’aux hommes.

Et je te raconte enfin la façon dont je te posséderai après elle pour te baiser d’amour et de complicité indéfectible. Et bien sûr, mes mots te disent alors la chaleur du liquide qui coule sur mes doigts, résultat du plaisir que je n’ai pas su retenir plus longtemps. »

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