A nous les petites anglaises

La rédaction 16 février 2019

Romain, 26 ans, Amiens.

Salut les chauds lapins, c’est Romain, interstron.ruiste convaincu depuis 2010. Voici l’histoire qui m’a donné envie de m’abonner et de me mettre au libertinage.
Avant, j’étais plutôt du genre puceau coincé. J’avais eu une meuf de mes 18 à mes 20 ans, mais elle n’était pas branchée cul. Pendant toute notre relation, elle ne m’avait sucé que quatre fois, et avec la lumière éteinte ! Heureusement, l’été après notre rupture, mon pote Mike m’a convaincu de partir avec lui à Majorque. D’après lui les filles étaient bonnes, et l’ambiance sympa. J’ai suivi.

Arrivé sur place, j’ai halluciné. Il y avait des bars partout et des nanas prêtes à tout pour qu’on leur paie des verres. Le premier soir, j’ai bu des shooters à la gelée sur le nombril d’une Belge avec des nibars énormes. J’avais une trique de malade… Mike et moi, on a passé un séjour sur les plages à mater les petits culs en string, et en soirées en boîte, à danser avec des chaudasses qui nous massaient la bite pendant les slows.
L’apothéose, ça a été la dernière soirée. Un groupe d’Anglaises qui partageait notre hôtel avait organisé une soirée au coin du feu sur la plage. On s’est pointé avec quelques bouteilles, bien décidés à conclure la semaine en ramenant de la meuf dans notre chambre. Finalement, on n’a pas eu à bouger du sable.
Très vite, deux des Anglaises ont commencé à nous chauffer. Elles voulaient aller se baigner à poil, mais n’osaient pas sans nous qu’elles disaient. Mike, pas timide, s’est dessapé et a entraîné la blonde vers l’eau. J’ai hésité un peu, et puis en voyant ma Bretonne, une jolie brunette, faire sauter le haut et agiter ses petits nichons pointus, j’ai suivi.

En arrivant en bas des dunes, ça n’est pas un bain de minuit qu’on a vu, mais la lune de Mike. À ses pieds, sa nouvelle copine blonde était carrément en train de le pomper. J’étais scié, mais mon Anglaise à moi a eu l’air emballée. Elle a poussé des petits cris de joie et a rejoint sa copine à quatre pattes. Je me suis approché doucement, la bite à la main, sans trop oser agir.
C’est Mike qui m’a dit de venir à côté de lui et de prendre ces deux cochonnes comme elles en avaient envie. J’ai commencé à me palucher en matant les filles s’embrasser puis gober le gland de Mike. Elles se guidaient l’une et l’autre sur sa queue, en se prenant par les cheveux, c’était hyper chaud.
Ma brune a fini par se relever quand elle m’a vu bien dur et elle m’a fait signe de m’asseoir. Elle est venue se placer devant moi et a écarté sa petite fente. Sans réfléchir, j’ai foutu ma langue dedans, toujours en me tirant sur la nouille.

Pendant ce temps, Mike avait relevé son Anglaise et avait entrepris de lui bouffer le cul. Elle couinait en se tortillant et j’imaginais déjà comme ça serait bon de la prendre par-derrière, maintenant qu’elle était bien lubrifiée. On s’est mis tous les deux à brouter les coquines, devant et derrière, pendant qu’elles gloussaient comme des pintades.

Quand elles en ont eu assez, elles nous ont fait mettre l’un a côté de l’autre et nous ont pompé façon goulues. J’avoue que j’aurais bien aimé les prendre en levrette, mais je me suis contenté de me faire gober les bourses et lécher le bout. Mike a giclé le premier dans la bouche de sa blondinette, pendant que sa copine lui doigtait la craquette d’une main et me faisait coulisser de l’autre. Puis la brunette s’est remise au travail avec moi : j’ai eu droit à une gorge profonde de luxe et je lui ai tout lâché dans la bouche, en la maintenant bien contre moi. Elle n’en a pas perdu une goutte.
On est rentré à la maison en se sentant les rois de la baise. Depuis, on se refait des petits séjours dans des coins chauds, mais j’avoue que les deux Anglaises restent mon meilleur souvenir de voyage.

(Photo à la une : Getty Images)

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