Sixtine à la plage
16 avril 2015Sixtine et Ludovic, jeunes lecteurs libertins d’Union, se sont offert des vacances de rêve pour fêter le cinquième anniversaire de leur rencontre. C’est en toute complicité qu’ils se sont rendus à la plage pour parfaire leur connaissance des autochtones…
Lorsque déboule Simon, l’un des serveurs de leur village-vacances, Ludo se dit qu’il est temps de faire quelques photos-souvenirs…Depuis le temps que mon homme désirait me voir dans les bras d’un autre, nous nous sommes dit que, si l’occasion se présentait, pourquoi ne pas profiter de ce merveilleux voyage au bout du monde pour passer à l’action ?
Ce jour-là, nous étions partis tous les deux dans une petite crique, à l’écart des touristes, afin de parfaire notre bronzage et buller en ce quatrième jour de vacances sous les tropiques.
Nous somnolions tranquillement, profitant de la légère brise qui parcourait nos corps et venait nous apporter un peu de fraîcheur sous ce soleil de plomb. Tout à coup, un bruit de pas non loin de moi m’a fait lever les yeux. C’était Simon, l’un des serveurs du club, avec lequel nous avions sympathisé. Je me demandais bien comment il avait réussi à nous retrouver dans ce coin sauvage, mais vu la manière dont il fixait mes courbes depuis notre arrivée, j’avais bien ma petite idée ! Ludo l’a invité à se joindre à nous et a sorti l’appareil photo pour immortaliser la chose. Simon semblait un peu timide, figé à quelques mètres de moi. Je lui ai fait signe de s’approcher plus. Je commençais à avoir chaud, et mon corps rougissait de plus en plus.
Bref, il était grand temps de passer une autre couche de crème solaire sur ma peau. Simon ne parlait pas français alors, pour me faire comprendre, je lui ai montré le flacon de lait afin qu’il percute ce que j’attendais de lui. Un large sourire a éclairé son visage, et il s’est avancé rapidement pour s’exécuter. J’ai dégrafé mon haut de maillot afin qu’il soit plus à l’aise pour passer la crème sur mon corps en feu. Ses mains douces et habiles massaient délicatement mon ventre, mon torse… Des picotements traversaient mon bas-ventre. Mon esprit, mes sens, mes envies se laissaient guider par ce massage si érotiquement relaxant. Mon corps tout entier commençait à se tendre de plaisir au fur et à mesure que les mains de Simon se faisaient plus fermes sur ma peau et s’aventuraient dans des endroits beaucoup plus intimes.
D’un geste, il m’a invitée à me mettre sur le ventre et a baissé mon slip de bain pour pétrir mes fesses qui, déjà, réclamaient ses doigts. Bien vite, mon maillot n’a plus été qu’un vague souvenir, et je me suis retrouvée entièrement nue, offerte. Les jambes largement écartées, je profitais des caresses dont me gratifiait le beau Simon.Malaxant d’abord mes fesses, les mains de mon masseur se sont dirigées peu à peu vers mon intimité pour écarter mes lèvres gluantes de mouille… Incapable de me contrôler, mon désir ayant depuis longtemps pris le pas sur mon esprit, je me sentais prête à toutes les folies en compagnie de cet homme à l’érotisme si envoûtant. Dans l’impossibilité d’initier les choses, je me laissais guider par mon partenaire qui, jusqu’ici, se débrouillait très bien… J’avais l’impression de n’être qu’un corps que Simon observait, inspectait, fouillait sous le regard complice de mon chéri. J’aimais ces instants de total laisser-aller.
Le souffle tiède de mon amant effleurait mon intimité, qu’il prenait un grand plaisir à écarter autant qu’il le pouvait. Sa langue est venue se poser délicatement sur mon clitoris qui ne demandait que ça ! J’étais au paradis et je pensais à Ludo qui, à quelques mètres, profitait du spectacle et se touchait en nous photographiant. Je me tortillais comme un ver, envahie par le plaisir que cette caresse me procurait. Sa langue ondulait dans mon sexe pour m’arracher des cris de bonheur. Quittant d’un coup ma chatte bien ouverte, elle s’est peu à peu insinuée dans mon petit trou.J’étais dilatée de partout, et Simon pouvait maintenant me combler de sa grosse queue. Je lui ai tendu un préservatif et, en chuchotant, je l’ai invité à venir me prendre. Un peu intimidé au départ, Simon n’a pu résister à la proposition. Vu sa dimension, sa queue gonflée augurait une étreinte comme je les aimais.
De la main, j’ai guidé ce gros bâton ferme entre mes cuisses. Bien vite, notre beau métis a pris possession de mon vagin. Son large membre a débuté ses va-et-vient au fond de mon ventre qui le réclamait toujours plus profondément. Mon partenaire, suivant mes désirs, a rapidement accéléré le mouvement, poussant sa queue épaisse qui venait taper au fond de mon passage intime. Sa bite était bien plus longue et large que celle de mon homme, et sa vigueur sexuelle m’arrachait des cris de bonheur impossibles à retenir. Abandonnée sur le sable chaud aux moindres désirs de mon amant, je me laissais faire sans résistance. Lorsque Simon m’a fait signe de m’asseoir sur son pieu dressé, tout mon corps s’est mis à frissonner. J’ai pris mon temps afin de bien sentir cette superbe matraque s’enfoncer de toute sa longueur en moi. Le soleil, la mer, les vacances et un énorme sexe qui me comblait, que demander de mieux ?
J’ondulais du bassin comme une vraie femelle en rut, et les râles de mon assaillant se faisaient de plus en plus forts. Simon me pétrissait les fesses, écartant encore mon petit trou déjà ouvert par ses coups de reins. Puis, délicatement, mon partenaire de jeu m’a fait comprendre qu’il n’allait pas tarder à jouir.
Agenouillée devant Simon, j’ai gobé sa bite, imaginant le foutre dont il allait bientôt me recouvrir.Je n’ai pas eu à patienter bien longtemps. Aux contractions de ses muscles, j’ai compris qu’il arrivait à l’orgasme. J’ai sorti sa tige, ôté le préservatif, et de longs jets crémeux se sont répandus sur mes seins… Coquine jusqu’au bout, je me suis régalée des dernières gouttes de sperme qui perlaient de son gland. Mes rendez-vous câlins avec Simon se sont poursuivis tout le reste des vacances avec, bien sûr, l’accord de mon homme qui prenait ensuite plaisir à me faire l’amour pendant que je lui racontais en détail mes ébats avec notre bel autochtone.