Sur les chemins de randonnée

La rédaction 28 octobre 2020

Gilles, 55 ans, adore faire l’amour avec sa femme en pleine nature. Un jour, une randonneuse les surprend et se joint à eux…

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Mon épouse et moi adorons faire l’amour dans la nature. Chaque année, nous choisissons un chemin de randonnée pour nous y rendre, faire de l’exercice et s’adonner à quelques parties de jambes en l’air durant notre parcours. Un rocher couvert de mousse, un lit de feuilles près d’un cours d’eau, le tronc d’un arbre massif : tout nous pousse au vice. Et si le chemin est particulièrement sauvage et sans témoins (nous partons souvent hors vacances scolaires), il nous arrive de marcher nus.

Cette fois-ci, nous étions sur un sentier dans les Alpes, au printemps. Le soleil réchauffait nos corps endoloris par l’effort et nous nous étions rapidement délestés de nos vêtements. Au bout de quelques kilomètres, nous avons vu une femme marcher seule au loin. En temps normal, nous nous serions hâtés de nous rhabiller, mais cette fois-ci, j’ai demandé à ma femme Mélanie si nous ne pouvions pas rester dans le plus simple appareil, car après tout, nous ne dérangions personne. Mélanie a un peu hésité puis a fini par accepter.

En arrivant à notre hauteur, la marcheuse, belle femme sportive dans la cinquantaine comme nous, a pris un air interloqué. « Vous ne vous en faites pas, dites donc ! » tout en se marrant, ce qui eut pour effet de nous faire rire à notre tour. « Vous devriez en faire autant, on se sent tellement mieux ainsi ! » ai-je répondu. Notre nouvelle amie n’était pas si timorée et avait visiblement l’esprit joueur, car elle s’est mise à se dévêtir. Elle avait un beau corps et des seins lourds. Intrigués et excités, nous lui avons proposé de faire un bout de chemin ensemble, ce qu’elle a accepté.

En marchant, nous lui avons confié nos aventures sexuelles dans la nature et notre camarade a demandé des détails sur les endroits, nos pratiques, nos ressentis. Nous commencions tous les trois à être échauffés par tous ces souvenirs partagés avec une inconnue. Je bandais et ne pouvais plus le cacher. La marcheuse l’a vu et s’est remise à rigoler.

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Nous avons fait une pause à l’ombre d’un petit bois et ma queue était toujours droite, intriguée par cette situation inattendue et très désireuse de pousser l’interdit plus loin. Ma femme, qui adore me voir bander, n’a pas résisté à la toucher et, alors que nous étions tous assis sur le sol, elle a commencé à me branler de sa main experte. Je grognais de plaisir. Puis elle s’est tournée vers l’inconnue qui n’avait pas cesser de rigoler, avec toutefois une certaine fascination dans le regard.

Ma femme a tenu ma queue bien droite à sa base et lui a fait signe de se rapprocher. Elle est venue et a penché la tête pour me prendre dans sa bouche. Elle s’est mise à me sucer, ma femme accompagnant ses lèvres avec sa main pour me donner plus de sensations. La vue était délectable : les yeux cochons de mon aimée qui m’astiquait la verge et le visage de la marcheuse qui m’aspirait. Les deux femmes se sont ensuite mises à me sucer à tour de rôle. C’était une première pour moi et la tête me tournait tant mon excitation était à son comble.

Elles se sont allongées sur le dos côte à côte et j’ai essayé de me dédoubler, doigtant l’une et léchant l’autre, puis alternant les gestes. La marcheuse avait une chatte salée et douce. Elle était tellement mouillée que je l’ai enfilée en une seconde. J’ai sauté notre nouvelle amie sur l’herbe sous les yeux de mon épouse, lui arrachant des gémissements de plaisir.

Mélanie en a profité pour se masturber et elle n’a pas résisté à l’orgasme qui l’a envahie. La voir aussi excitée alors que je baisais une autre femme m’a rendu fou. J’ai laissé ma partenaire et j’ai pris Mélanie en levrette, lui pilonnant la minette, toute ouverte et accueillante après sa jouissance. Je l’attrapais par les hanches et les cheveux en la baisant. Notre marcheuse a imité ma femme et s’est mise à se masturber à son tour.

Elle a joui pendant que je déchargeais dans ma femme et nos râles se sont confondus. Après une petite sieste, nous avons repris la route en faisant sécher nos sexes à l’air libre. À un embranchement, notre amie est partie de son côté en nous envoyant des baisers pour nous souhaiter bonne continuation. Nous ne connaissions même pas son prénom. Nous gardons, Mélanie et moi, un souvenir attendri de notre marcheuse des Alpes.

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