J’ai sucé mon collègue

La rédaction 26 mars 2020

Camille, 24 ans

Bonjour je m’appelle Camille, 24 ans, j’habite dans le Sud-Ouest de la France.

Suite à une rupture douloureuse avec mon petit copain, j’ai décidé de faire des extras chez un restaurateur, histoire de me changer les idées. Je travaillais les week- ends et jours fériés. Un soir que j’étais à la plonge en train de laver quelques assiettes, verres et autres, mon collègue est soudain apparu derrière moi et m’a félicitée sur mon « bon petit cul », j’ai répondu simplement « eh ouais ». « Et tu as un petit copain ? – Non, on s’est quittés il y a un mois… » Ai-je bien été obligée d’admettre. « Eh bien, il devait bien se régaler, le petit fumier. » Ensuite, il est reparti ranger les tables et les chaises dans la salle… Moi, j’étais rouge comme une tomate.

Au bout d’une demi-heure, il est revenu, et m’a relancée : « Tu sais, les ruptures, ce n’est pas facile et des fois, c’est même très dur… » Il a commencé à me mettre la main au cul. Le pire, c’est que, comme je l’avais toujours trouvé mignon, ça ne me dérangeait pas le moins du monde et puis, ça faisait longtemps que je n’avais pas baisé… « Tu as vraiment un bon petit cul bien ferme ! » Décidément, il ne s’en remettait pas. J’étais bien calée entre la plonge et lui en me disant quelques mots doux pour me détendre, mais en fait, j’avais déjà pris ma décision… Je le voulais ! «Tu as déjà sucé un homme de mon âge?» Il avait à peine 40 ans à ce que je savais, mais ça devait le faire triquer de s’imaginer en vieux beau avant l’âge. Je lui ai répondu que « non, je ne faisais pas dans les vieux dégueulasses d’habitude », tout en souriant. D’abord choqué par ma pique, il a quand même compris que je faisais de l’humour et a rigolé… Et là, il a sorti son énorme braquemart. Une belle bite bien raide. J’avais une énorme envie de sucette à l’anis… Je me suis mise à genoux et je l’ai sucé très doucement. J’ai passé ma langue tout le long de son monstre. Il gémissait et me disait « tu suces très bien Camille », puis il a couiné de plus en plus fort… Au bout d’un moment, il a joui dans ma bouche et j’ai tout avalé pendant qu’il me caressait les cheveux. C’était très tendre, sensuel, j’aimais beaucoup.

En me relevant, il a dit : « Tu vois, on se remet vite des séparations, même les plus difficiles. Merci beaucoup pour cette pipe de reine. À demain ma petite Camille. » Je suis rentrée chez moi, j’ai pris une douche et je me suis caressée longtemps sous l’eau chaude en y repensant, j’avais l’impression d’avoir fait un truc dingue et d’avoir un secret précieux à conserver. Ensuite, je me suis couchée et j’ai été obligée de me tripoter à nouveau pour me détendre. Cela a duré comme ça pendant les deux mois d’été, deux à trois fois par semaine, je lui  taillais des pipes, ça m’allait parfaitement en fait. Je baisais avec qui je voulais à côté, on n’était pas en couple, c’était cool. Quand j’ai fini la saison, on s’est claqués la bise et voilà, je n’ai plus jamais entendu parler de lui, mais j’y repense souvent.

(Image à la une : Getty Images)

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  • O

    Bonjour. Voilà une bien jolie histoire, fraîche et sensuelle. A poursuivre…

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