La belle au bois branlant
14 septembre 2019Caroline, 33 ans.
Nous aimons les situations excitantes, mais sans pratiquer l’échangisme.En dix ans de mariage, nous avons créé une vraie complicité sans préjugés. Nos meilleurs souvenirs sont nés de situations inattendues, comme celle que je vais vous raconter.
Sur la route des vacances, mon mari et moi avions fait étape en plein coeur du Massif Central. Nous avons posé nos bagages pour trois nuits dans un gîte très cosy et isolé, en bordure de forêt, sans nous douter que ce paysage allait devenir le théâtre d’une expérience très chaude. Ben (Benjamin), mon mari, avait repéré un joli petit chemin à côté de notre gîte. Il m’a proposé de réaliser une série de photos pour alimenter notre album érotique. J’ai enfilé une belle robe noire estivale offrant un magnifique décolleté. Le souffle de l’air chaud pouvait caresser mon corps sans être arrêté par le moindre sous-vêtement. Je voyais déjà l’excitation de mon amoureux au travers de son bermuda noir. Et son regard coquin me laissait deviner que nous n’allions pas faire que des photos… La séance a démarré très fort.
Après avoir chevauché quelques troncs d’arbre et traversé quelques fougères épaisses, une petite clairière romantique m’a inspirée. Ben me mitraillait avec son numérique. Pour être dans le vif du sujet, j’ai remonté lentement ma robe jusqu’à dévoiler ma petite toison brune. Ben m’a demandé de tourner sur moi-même, de bouger et d’en montrer un peu plus. Chauffée par l’ambiance, je me suis couchée sur un tapis d’herbe fraîche. Provocant mon homme du regard, j’ai écarté les cuisses pour qu’il puisse voir ma chatte bien ouverte et déjà trempée. J’ai massé mes seins pour les faire durcir et je les ai exhibés devant l’objectif de mon photographe pervers qui tenait son appareil d’une main et son sexe de l’autre. J’étais très inspirée par la nature environnante.
J’ai coupé une fougère et avec, j’ai caressé chaque centimètre de mon corps branlant. Ben s’est dévêtu et a exhibé sa queue dont la taille aurait fait rougir les sangliers de la région ! Je n’ai pas eu le temps de la mettre dans ma bouche gourmande qu’il avait déjà plongé la sienne entre mes cuisses. Dans ce contexte, j’ai joui très vite. Je n’ai pu m’empêcher de laisser échapper des cris de plaisir. Après tout, nous étions loin de toute âme qui vive. Ã mon tour, j’ai pris les choses en main. Je l’ai sucé avec une fougue démesurée. C’était une première pour nous d’être aussi libres et tranquilles en pleine nature. Ben a jailli rapidement dans ma bouche et sur mes seins. Complices et rassurés sur notre absolue tranquillité, nous avons rejoint le gîte en suivant un chemin aussi beau que sauvage.
Et c’est là que nous avons croisé le 4X4 d’un garde forestier. Celui-ci nous a salués en nous indiquant qu’il y avait beaucoup de belles balades à faire dans le secteur. Ben m’a dit en rigolant : « Imagine qu’il nous ait observés tout à l’heure, avec ses jumelles ! ». N’empêche que moi, j’ai très bien senti son regard appuyé sur mon décolleté et mes tétons qui pointaient au travers de ma robe. Mais mon esprit cartésien m’a poussé à rappeler à Ben que nous encourions une amende pour exhibition si nous nous faisions choper. Pour la suite, nous devrions être plus prudents. Le reste de la soirée, nous avons visionné le fruit de notre journée, en pensant les envoyer à notre magazine préféré.
Deuxième jour, deuxième séance photo en pleine nature. Nous avons décidé de nous enfoncer un peu plus profondément dans la forêt afin d’éviter tout regard indiscret, même avec des jumelles. Après trois-quarts d’heure de marche, le lieu étant idéal, je me suis assise sur un arbre couché. Et j’ai commencé mon effeuillage. Short et caraco ouverts sur ma petite chatte et mes jolis seins. Ben m’a suggéré de me déshabiller entièrement. L’endroit était si calme que je ne me suis pas fait prier. J’étais encore plus chaude que la veille. Ã mon tour, j’ai invité mon chéri à se dévêtir. Il montrait déjà une sacrée érection. Après un quart d’heure de photos, j’ai fait signe à Ben de s’approcher pour le prendre en bouche.
Tout à notre affaire, nous avons subitement sursauté et frôlé la crise cardiaque quand nous avons entendu : « Vous au moins, vous mettez de l’ambiance dans le secteur ! » C’était notre garde forestier de la veille qui, visiblement, nous avait suivi avec la discrétion d’un Indien sur le sentier de la guerre. Nous avons eu un moment de panique. Notre mateur s’en est rendu compte et, d’une voix douce, il nous a demandé de poursuivre notre activité qu’il n’avait jamais eu « la chance d’observer dans un tel endroit. »
Il avait environ une quarantaine d’années. Le teint hâlé, un corps musclé et de beaux yeux bleus. Et là, je ne sais pas ce qui a pris à Ben, mais il lui a lancé : « Puisque vous n’avez pas l’intention de nous coller une amende, ma femme serait très honorée de vous remercier. Si vous voulez vous joindre à nous… » Le garde a semblé aussi surpris que moi. Nos regards se sont croisés et je me suis dit : « Quitte à vivre une nouvelle expérience autant que ce soit ici avec un beau mec et mon homme adoré. » Je lui ai adressé mon plus joli sourire en guise d’acquiescement. Jean-François (entre-temps, on avait fait les présentations) a ôté sa chemise et son pantalon, baissé un slip pas super glamour, mais duquel a surgi un sacré engin. Toujours assise sur le tronc d’arbre, j’ai offert ma chatte à Ben. Il m’a léchée pendant que ma main faisait connaissance avec cette nouvelle queue. Ben, galvanisé par les événements, a rapidement introduit ses doigts dans mes orifices. J’ai gémi de bonheur. Ben, surexcité, a installé nos vêtements sur les feuilles et m’a invitée à me mettre à quatre pattes. Il m’a profondément enfourné son engin pendant que je m’occupais de l’athlétique garde forestier.
J’avais le feu partout en moi. Je ne me doutais pas à quel point c’était bon d’avoir deux queues à disposition. Comme je ne prenais pas la pilule, Ben avait toujours des préservatifs sur lui. Il s’est retiré, a fouillé dans ses poches, mais n’en a trouvé qu’un seul, qu’il a tendu à notre hôte des bois ! J’ai fait signe à Jean-François de me prendre par-derrière en me caressant les fesses. Ben a proposé de reprendre notre séance photo. Mais notre complice a refusé net. Déçue, mais décidée à vivre jusqu’au bout cette nouvelle aventure coquine, j’ai suggéré à mes deux mâles en rut de me prendre en même temps, cela faisait partie de nos fantasmes secrets. Le garde s’est enfoncé progressivement dans mon petit trou sans trop de difficulté en me tenant fermement les hanches. Mon mari, sous moi, n’a plus eu qu’à se glisser dans ma chatte, tout en me chuchotant que j’étais une sacrée belle salope qui allait recevoir ce qu’elle méritait. Je découvrais une nouvelle sensation, tellement plus forte que lorsque nous réalisions cette position avec l’aide d’un gode…
Complètement en transe, j’ai hurlé des mots très crus, ce qui a accéléré le rythme de mes deux étalons. Ils me défonçaient littéralement et c’était sacrément bon ! Ben a juste eu le temps de remonter jusqu’à mon visage pour gicler sur ma bouche et mes joues, tandis que mon amant du jour explosait dans son capuchon avec des râles de bête sauvage. Un peu gêné et maladroit, Jean-François s’est rapidement rhabillé et a pris congé, disparaissant d’un pas rapide vers la lisière de la forêt. Je me doutais qu’il repartait avec un secret un peu trop lourd pour lui, et qu’il devrait garder jusqu’à la fin de ses jours. Alors, Ben et moi, nous nous sommes blottis l’un contre l’autre le regard brillant, encore plus amoureux et complices au beau milieu de la forêt.
Je ne sais pas si votre magazine arrive jusqu’aux villages isolés d’Auvergne, mais si notre garde forestier lit cette histoire, j’aimerais qu’il sache qu’il est notre plus chaud souvenir de vacances.
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