Collé serré de Caro
25 mars 2019Caroline, 31 ans, Emerainville.
Je m’appelle Caroline mais on m’appelle Caro. J’habite en Seine-et-Marne. J’ai 31 ans, je suis blonde et bien roulée, comme dit mon mari. Une bonne entente règne dans notre foyer.
Il y a trois semaines, Jim, mon époux, est parti du samedi au dimanche pour un tournoi de foot en province. Dans la soirée, en rentrant des courses, je suis tombée sur Steph, un copain de football qui n’avait pas pu faire le déplacement à cause d’une blessure. Nous avons discuté un peu et, me sachant seule, il m’a proposé de me joindre à sa bande de copains pour aller boire un verre. Après tout, pourquoi pas ? Je suis rentrée à la maison. Une douche, une jolie petite robe noire, des bas, des escarpins à talons… J’étais prête. A 22 heures tapantes, Bruno m’attendait en bas. Je l’ai rejoint dans sa voiture. Il m’a complimentée sur ma beauté et cela m’a beaucoup touchée. Je voyais son regard se poser fréquemment sur mes jambes. Ses paroles étaient douces et agréables. Nous sommes arrivés dans un ensemble hôtel-restaurant-discothèque et nous avons rejoint Marc, un de ses copains.
Comme je m’étonnais qu’il n’y ait que Marc, ils m’ont répondu que les autres larrons s’étaient désistés, mais que nous allions nous amuser quand même… Et puis, pourquoi ne pas profiter de cette soirée et s’éclater en dansant ? Nous sommes entrés dans la boîte et nous nous sommes installés à une table. Nous avons commandé une bouteille de vodka et du jus d’orange, et puis c’est parti pour la danse. Quel plaisir de se trémousser sur la piste, au rythme de la musique ! L’ambiance est montée, la chaleur aussi. Les vodkas orange nous ont enivrés. Vers une heure du matin, des slows ont calmé notre exaltation. À tour de rôle, Bruno et Marc m’ont fait danser et rapidement, c’est devenu assez « collé-serré ». L’ambiance était électrique. J’étais sur un petit nuage et j’avais chaud et soif. L’alcool me faisait du bien. Souvent, nous revenions nous asseoir. Ma robe était alors relevée et je voyais mes deux compagnons me mater de haut en bas. C’était excitant de faire cet effet sur de beaux mâles. Vers deux heures du matin, une nouvelle série de slows a commencé.
Mes deux compagnons m’ont entraînée à tour de rôle entre les danseurs. Comme il faisait très sombre, leurs mains parcouraient mon corps. Je me suis collée à eux et ils en ont bien profité. Je sentais les bosses dans leurs pantalons et je pressais mon ventre dessus. Ils m’ont alors proposé de sortir et m’ont emmenée dans un des petits bungalows de l’hôtel, sur le parking. J’étais tellement excitée que je ne me rendais plus compte de ce que je faisais. J’étais complètement ivre et chaude comme la braise. Dans la chambre, ils se sont collés à moi, et nous nous sommes dévorés à pleine bouche. Leurs mains se sont insérées sous le tissu, sur mes seins. Bientôt, ma robe a été défaite, mon string et mon soutien-gorge enlevés. C’est nue, avec mes bas et mes hauts talons, que j’ai été touchée, palpée, caressée. Bruno et Marc se sont dévêtus à leur tour et m’ont présenté leurs sexes tendus, que j’ai pris à pleines mains. Avoir deux beaux mâles virils à ma disposition m’a rendue complètement folle. Nous avons fait l’amour pendant trois heures.
Chacun leur tour, ils m’ont prise dans toutes les positions : en levrette, un devant, un derrière… J’étais comme une chienne en chaleur. Quand l’un était fatigué, l’autre prenait le relais. Je montais sur chacun d’eux et je dansais de haut en bas, souvent avec un sexe en moi et l’autre dans ma bouche. J’ai dû jouir cinq ou six fois, et j’ai reçu des jets de sperme sur tout le corps. Le pied, c’est quand je me suis empalée sur Marc et que Bruno est venu se placer derrière. Je savais bien qu’ils voulaient me prendre en sandwich. J’ai senti leurs deux sexes en moi qui allaient et venaient, et j’ai hurlé mon plaisir, à en réveiller tous les clients de l’hôtel… Il était six heures quand nous avons décidé de rentrer. J’étais épuisée à dormir debout. Pendant le trajet, Marc, qui conduisait, me glissait des doigts dans le sexe… Ils m’ont laissée devant chez moi en me disant que j’étais une super baiseuse. Je ne tenais plus debout. J’ai pris une douche et je me suis couchée. Je crois m’être endormie comme une masse.
Vers 11 heures, Jim est rentré et a été surpris de me trouver au lit. Tout endormie, j’ai prétexté que j’avais pris froid car il voulait faire l’amour. Heureusement qu’il ne m’a pas touchée car j’avais le sexe très gonflé et en feu… Trop baisé !
(Image à la une : Getty Images)
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