Témoignage érotique :  » Escapade torride à Londres »

Sorelle Spet 7 juillet 2021

Sans même m’en rendre compte, je venais le rencontrer Christian Grey et mon souvenir en est plus qu’agréable

J’ai connu Christopher lors d’un séjour au ski. On s’est découvert une connexion hors normes (à l’instar de son chibre monumental qui m’a fait déglutir la première fois que je l’ai vu).  1m86, taillé comme un mannequin, un regard sombre et malicieux, un sourire timide qui ne s’offre pas à la première venue. Il est d’origine australienne de son père et italienne par sa mère. Il travaillait dans le monde de la finance à Londres et a tout plaqué pour être tradeur à son compte. Bien bâti et bien membré, il incarnait la virilité à l’état pur…. Un vrai Christian Grey. Le dernier jour de notre séjour à la montagne, il m’a laissé entendre qu’il serait enchanté de me revoir à l’occasion d’un week-end chez lui à Londres. Pleine d’engouement et d’excitation, j’ai spontanément proposé la date de mon anniversaire : le 14 février. Une semaine après, il m’a envoyé les billets d’avion pour que je puisse le rejoindre. La machine était lancée.

Que le voyage commence

L’excitation cumulée sur le mois d’attente (sextos, FaceTime coquins) était à son apogée, parcourant mon corps et réveillant ma déesse intérieure. À ma sortie de l’aéroport, une voiture de luxe m’attendait. Christopher s’est avancé vers moi, en m’attrapant d’une main ferme par le cou et la faisant glisser dans ma nuque. Il m’a offert un baiser langoureux et de son autre main m’a saisie fermement la fesse droite. Toute en galanterie, il a ouvert la portière de son coupé sport.

Dans la voiture, alors qu’il conduisait, il a glissé sa main dans mon décolleté, me caressant la poitrine, puis a conduit ma main vers son sexe bouillant et dur. S’en est suivie une fellation aussi dangereuse que nécessaire. Étant maître dans l’art de la tension, Christopher a doucement relevé ma tête en me disant qu’il fallait patienter encore un peu. Je me suis retrouvée face à la route, accompagnée du symbole même du sex-appeal, prenant mon mal en patience, comptant les minutes qui nous séparaient de son appartement, la culotte inondée de plaisir en devenir.

Enfin arrivés à destination, il m’a ouvert la porte de son entre. Il a déposé ma valise dans cette petite pièce dédiée, me laissant seule quelques instants pour déballer mes affaires. Quand il est réapparu, il tenait un verre d’eau ; moi à genoux en train de déballer mes affaires, son regard en disait long sur ses intentions. Atlante et tremblante imaginant le sort qu’il m’avait réservé, je le regardais avec des yeux de petite fille.

Le Maître de maison

D’un geste précis, il a déposé le verre sur la commode, est descendu vers moi tel un prédateur conduisant tout mon être à s’allonger à sa merci. Il a parcouru mon corps, déterminé à faire monter en moi le plaisir. Une chorégraphie tout en maitrise et spontanéité s’est enclenchée. Dévorant ma bouche, mon cou, suçant mes tétons dressés et glissant sa langue jusqu’à mon entrejambe, il m’a offert un cunni sensuel et sauvageIl saisit son pénis bandé et me l’a introduit lentement, relevant ses yeux vers moi, esquissant un sourire torride.

Ses coups de reins s’accélérant, je me suis retrouvée dans l’espace exiguë entre valise, mur, commode et cet homme qui me baisait avec passion. Telle une prisonnière d’une prison de plaisir. Je lui ai tendu mon cul bombé, lui offrant une vue plongeante sur la cambrure de mes reins. Savourant son plaisir, il a choppé mes hanches, claqué mes fesses tout en maintenant l’intensité de ses va-et-vient.

L’entendant s’exprimer de plaisir, je sentais que le moment allait arriver. Il m’a retourné et dans un ultime grognement, il a aspergé ma poitrine et mon visage de son foutre bien chaud. Se relevant sans un mot, je me suis agenouillée devant lui, le sexe encore dur, il a attrapé ma tête tendrement et m’a assigné trois coups de bite sur la joue, puis il a laissé glisser ses doigts délicatement pour m’essuyer les gouttes de sperme qu’il avait semé.

J’ai regardé partir cet homme bondé de testostérone, qui venait de me transporter au Paradis.

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