Couchés…sur papier

La rédaction 2 janvier 2019

Grégoire, 48 ans, Lille.

Couchés...sur papier

Ma femme et moi pratiquons le triolisme et le libertinage depuis six ans déjà. Après chacune de nos « aventures », je l’assieds à son pupitre, nue, et je lui demande de tout me raconter par écrit… Quand elle a fini, je veux qu’elle me lise ce qu’elle a noté pendant que je lui mange la chatte. Une fois n’est pas coutume, je vous envoie un des récits de ma petite femme…

« Nous étions debout, près de la table à apéritifs, tu me caressais les fesses du bout des doigts. J’avais des frissons tout partout. Il y avait pas mal de mateurs qui passaient derrière nous. Au bout d’un moment, je voulais qu’on aille s’asseoir. Tu as bien voulu et on s’est installés sur les chaises, le long du mur. Je t’ai caressé à travers ton pantalon.

Jean-Pierre est venu nous rejoindre. Il m’a mis la main sur la cuisse en enfonçant un peu ses doigts dans ma chair. Je t’ai demandé la permission de toucher sa braguette. Tu as dit oui. C’était un peu difficile parce que je me sers moins bien de ma main gauche. Jean-Pierre m’a demandé : « Tu sais comment ça s’ouvre ?» Je lui ai répondu: «Oui, mais il faut que tu m’aides.» Il a ouvert sa fermeture et j’ai pris la bête en main. J’avais la tienne dans l’autre ! Pendant qu’il m’embrassait il est venu toucher mon cresson. Toi, tu as mis un doigt dans mon petit trou. Vous me branliez tous les deux, c’était bon et j’ai joui sur ma chaise… Tout en vous tenant les queues.

Je t’ai tourné le dos et je me suis mise à le sucer. Je l’ai fait comme toi tu l’aimes bien: le long de la queue, les couilles, puis je remonte jusqu’à la fente. Le bourgeon de Jean-Pierre a un peu mouillé. J’aime bien quand les queues mouillent! Ce n’était pas très confortable, il m’a dit : « On serait peut-être mieux en haut, non ? » Je t’ai fait passer le message, mais toi tu voulais rester là et regarder les gens qui nous mataient. Alors Jean-Pierre a tourné sa chaise pour être plus en face de moi.

Tu t’es levé et tu t’es mis au-dessus de nous. Je voulais te montrer comment je le suçais bien. J’ai des gros seins, je lui ai fait une bonne bran-lette espagnole. Lui, il disait : « Oh oui ! Oh c’est bon comme ça ! » Ensuite, je l’ai branlé à la main, doucement. Ça a duré un moment. Toi, tu commençais à t’ennuyer, tu as voulu qu’on aille dans la salle d’à côté alors qu’il n’avait pas joui. J’étais embêtée de le frustrer, mais je t’ai suivi.
Je t’ai dit dans l’autre pièce que je n’avais pas fini Jean-Pierre, et que j’aurais bien aimé vous sucer tous les deux. Tu m’as retiré mon slip en me disant que, pour me punir d’avoir demandé, tu me le confisquais. Ça a fait rire Marie qui passait près de nous. Quand Jean-Pierre est arrivé, on l’a amené avec nous dans la salle de bain. Toutes les chambres étaient surchargées. Je me suis installée sur le bidet, et tu as fermé la porte à clé.

Vous m’avez déshabillée comme des voyous et vous avez descendu vos pantalons. Moi, j’ai pris le bout de vos deux queues en même temps dans ma bouche. Puis je vous ai branlés et sucés en changeant souvent de bite. Je passais de l’un à l’autre pour enfourner vos zizis dans ma bouche. J’ai pompé un peu plus Jean-Pierre car je savais que tu étais excité de me voir faire et que, si je continuais avec toi, tu allais tout lâcher avant l’heure !

Tu as eu l’idée de me faire asseoir sur le rebord de la baignoire pour qu’il me lèche le berlingot. J’ai presque joui. Ensuite, il s’est allongé par terre, et je me suis mise à cheval juste au-dessus de sa bouche pour qu’il continue à me lécher pendant que je te suçais. C’était sportif ! J’ai demandé à Jean-Pierre de mettre un préservatif. J’avais toujours ta bête en bouche quand il m’a prise en levrette. Lorsqu’il a joui, il a pris ta place, et toi la sienne. Toi aussi, tu as joui.
En nous rhabillant, tu lui as demandé son numéro de téléphone pour qu’il vienne chez nous pendant mes exercices d’écriture. Il était content. »

(Image à la une : Getty Images)

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