Seuls au milieu du lac

La rédaction 28 juin 2021

Je m’appelle Dimitri, j’ai 46 ans et voici le récit d’une histoire porno vécue il y a bien longtemps. J’ai toujours voulu vous l’envoyer sans jamais oser, je franchis le pas aujourd’hui. Ça s’est déroulé en été 1993, un torride mois de juillet comme l’est de la France les connaît régulièrement. Béné­dicte et moi avions décidé d’al­ler passer une journée au bord d’un lac au pied des montagnes vosgiennes. Une fois arrivés sur place, le matériel débarqué, on a constaté que les plages aménagées du lac étaient toutes bon­dées de vacanciers. J’ai donc proposé à Bénédicte d’utiliser notre matelas pneumatique com­me embarcation de fortune et d’aller, au gré des vents et cou­rants, dériver sur le lac, de taille plutôt modeste. En même pas dix minutes, m’aidant de mes palmes, je pouvais transporter notre matelas pneumatique au centre de l’eau. Béné a dit oui.

Sur le radeau de fortune

A quelques centaines de mètres de la rive, Bénédicte est venue me faire des petits bisous, et je ne suis pas resté longtemps insensible à ces mar­ques d’attention. J’ai été très vite pris d’une bonne érection, et cela a amusé ma compagne qui m’a offert une petite branlette bien agréable, tout en laissant doucement glisser sa tête sur ma poitrine. Toujours avec mon sexe en main, elle a écarté mon mail­lot, et sa bouche a atteint ma queue pour me régaler d’une succulente fellation. Le mate­las dérivait sur le lac, tantôt à proxi­mité d’une berge peuplée de pê­cheurs au calme placide, tantôt près d’une plage surpeu­plée de vacanciers.
Le contexte flottant, la cha­leur, l’odeur huilée de Bénédicte m’ont donné une envie folle de m’occuper d’elle en profondeur. Je suis descendu du grand matelas pour me met­tre à l’eau et j’y ai discrète­ment ôté mon maillot de bain. Je suis remonté du mieux que je pouvais sans faire chavirer notre radeau de fortune. Une fois à bord, je me suis installé en plein milieu du matelas et Bénédicte m’a en­jambé en s’asseyant sur moi. D’un geste précis, elle a écarté son maillot de bain et a glissé mon sexe dans le sien.

Flotter sur l’eau

De toute évidence, la situation lui faisait beaucoup d’effet car sa chatte était trempée. Elle a ensuite entamé un léger mouvement du bassin de faible amplitude mais terriblement agréable. L’ondu­lation du matelas pneumatique et du lac ridé par une légère brise nous donnait un retour de mou­vement amplifié. Je profitais de ces instants intenses tout en m’amusant à regarder les gens sur les plages. Cela semblait également plaire à Béné qui observait autour de nous sans modifier son balancement de hanches. Je commençais à ne plus pouvoir contenir mon éjaculation, je me régalais de la vision du ballotte­ment de ses seins. Dans un ultime coup de reins, j’ai éjaculé au plus profond de sa chatte. Pour se reposer de son effort, Béné s’est affaissée sur moi, allongée, sans bouger, les mains plongées dans l’eau fraîche.
Le calme retrouvé, on a ri de ces ébats, on espérait bien que quelques curieux ou ama­teurs de la nature avaient pris une bonne paire de jumelles afin de mieux saisir les détails de nos aventures sur l’eau.

Depuis cette époque, Béné­dicte est devenue mon épouse. Nous avons encore cette scène gravée dans nos têtes comme si c’était hier. Nous nous étions promis de renouveler l’ex­périence mais, bien évidem­ment, comme nous avons eu des enfants, les plaisirs de la plage sont devenus bien différents. Je continue d’être un homme com­blé (même sans matelas pneu­matique) par une épouse que j’aime, en espérant que d’autres aventures nous arriverons.

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