Ce n’est que mon beau-frère

La rédaction 3 décembre 2021

Je m’appelle Lorie et j’ai une confession à faire. Il y a quinze jours, j’ai trompé mon mari avec mon beau-frère, Rémi. Voici notre histoire de sexe.

Je veux mon beau-frère

Rémi est agent immobilier. Il est très proche de mon mari, Cédric, et lui ressemble sauf qu’il est plus mince et plus calme, presque mystérieux. Cédric, lui, est un vrai bon vivant : boîtes de nuit, repas entre potes, flambe en belle voiture… J’avoue m’être un peu lassée de ce rythme. Je me suis confiée à mon beau-frère et de fil en aiguille, nous sommes devenus amis.

Un soir, après quelques verres, je l’ai embrassé. Il a résisté mollement, « une question de principes », il ne pouvait pas faire ça à son frère. J’ai retenté ma chance un mois après mais là encore, il m’a dit non. Son sexe, lui, disait oui : je l’avais bien senti bander en plaquant ma main sur son entrejambe. J’ai donc échafaudé un plan. Quelques jours plus tard, j’ai appelé l’agence immobilière où Rémi travaille en me faisant passer pour une cliente. Une visite a été convenue le lendemain sous un faux nom. J’ai ensuite eu tout mon temps pour choisir un bel ensemble de lingerie dans ma collection. Une fois la nuit tombée, je n’ai pas fermé l’oeil, nerveuse à l’idée que mon stratagème échoue. Mais quand l’heure du rendez-vous est venue et que Rémi a ouvert la porte, j’ai compris que j’avais eu raison d’insister.

« Lorie ? Mais qu’est-ce que tu fais là ? » J’ai souri et j’ai dit que j’étais Mme X, locataire potentielle de ce joli meublé. Allait-il me montrer la chambre? Hébété, il m’a précédée dans une pièce où seul un lit était posé dans un coin. Pas vraiment un must pour poser ses valises, mais idéal pour une bonne baise. Je me suis assise et j’ai entrouvert mon trench. Les yeux de Rémi lui sont sortis de la tête.

Une baise tant attendue

« Arrête, tu me rends fou… On ne peut pas trahir Cédric comme ça ! » J’ai ri : « Tu crois qu’il ne fait pas pareil ? Quand il va en boîte, il ne chope jamais de petites minettes ? » Rémi est resté muet. C’est bien ce que je pensais : j’étais cocue, et mon beau-frère le savait. Mes derniers principes ont fondu. Le trench est tombé à mes pieds, et je me suis allongée de tout mon long sur le lit, cuisses ouvertes.

Mon argument avait fait mouche. Comme hypnotisé par mon corps, Rémi a enlevé ses vêtements un à un et est venu près de moi. Je lui ai tendu mes seins qu’il a baisés avec passion, léchant tout mon buste. Il préparait le terrain. Son sexe très dur est tout de suite venu se loger entre mes loches. Je les ai rapprochées le plus possible de mes deux mains. Rémi était comme possédé, passant ses doigts dans mes cheveux, murmurant combien j’étais belle et comme ça avait été difficile de me dire non. Je mouillais comme jamais. Rémi s’est lui aussi allongé et m’a dit : « Je veux te goûter pendant que tu me suces… » J’ai obéi, trop heureuse de pouvoir enfin sentir son sexe dans ma bouche. Je l’ai chevauché à l’envers, son gland entre mes lèvres, sa langue fouillant déjà mon con avec envie. J’étais au septième ciel. Son chibre avait un fort parfum de mâle en rut, et je suçais tout ce que je savais, avalant ma salive parfumée de son odeur.

Plus je pompais, plus il allait loin avec sa langue et ses doigts. Ma chatte était tellement ouverte que des petits bruits d’air s’en échappaient sans que je puisse le contrôler… Il était temps que Rémi me prenne. J’ai roulé sur le côté, le souffle court et la minette en feu. Quelques secondes ont suffi pour que Rémi se jette sur moi et enfonce sa bite gluante entre mes petites lèvres.

Combien de temps avons-nous tenu ? Peut-être trois ou quatre minutes. J’ai tourné la tête pour mordre un coussin, tentant de me concentrer pour retarder l’orgasme. Rien n’y a fait : j’ai éclaté dans un long cri, un cri que je n’avais jamais poussé avec mon mari. Rémi a suivi, remplissant mon vagin de son jus chaud. Il s’est effondré sur moi, et nous sommes restés là, allongés dans la pénombre, pendant près d’une heure. Il a ensuite fallu nous séparer non sans de longs baisers d’au revoir.

Depuis Rémi est parti en vacances avec des amis en Thaïlande. Il rentre bientôt, et j’avoue que je compte les jours. Je sais qu’il lit interstron.ru. S’il tombe sur ce courrier, je tiens à lui dire que je l’embrasse très fort et que j’espère qu’il acceptera de nouvelles visites avec moi…

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