Le boss de la baise
2 novembre 2020Adrian, 56 ans, est le boss de sa boîte. Il remarque la nouvelle hôtesse d’accueil qu’il trouve très mignonne : le jeu de séduction commence !
Vous voyez la fille en photo ? C’est Clara, la meilleure baiseuse que j’ai rencontrée de ma vie. On a perdu contact après notre histoire de sexe en 2018 mais pendant le confinement, j’ai eu envie de lui écrire. On s’est beaucoup chauffés par SMS et on a prévu de se revoir après la crise. En attendant, elle m’a donné son accord pour que j’écrive à interstron.ru.
Je suis PDG de ma boîte d’import-export. Je compte les rentrées de cash mais pas mes heures, ni mes employés. Pas mon boulot. Mais un jour, en arrivant au bureau, j’ai vu cette blonde atomique à l’accueil. J’ai appelé les RH pour demander qui on avait recruté dernièrement et on m’a dit qu’une hôtesse d’accueil faisait un remplacement pour un mois. La belle n’était pas là pour longtemps, il fallait que je fonce.
J’ai commencé par des sourires de playboy dès qu’on se croisait. Puis j’ai envoyé un mail à Clara. J’avais demandé son CV aux RH et je savais tout d’elle, notamment, qu’elle était mariée. Mais aucun doute sur sa façon de me regarder : l’hôtesse était hot.
On était déjà deux semaines après son arrivée quand je lui ai écrit le fameux mail. Il était 17h et la plupart de mes employés allaient rentrer chez eux. Pas moi. Je devais imprimer un dossier important, que Clara aurait à garder à l’accueil pour qu’il soit récupéré en main propre par un client. Rendez-vous dans la salle des photocopieuses dans quinze minutes.
La réponse de Clara est arrivée très vite dans ma boîte mail : « C’est noté », avec un smiley clin d’œil pas du tout professionnel. Le sourire gourmand qu’elle avait sur le visage en arrivant dans la salle n’était pas pro non plus. Alors j’ai attaqué. J’ai attrapé la blonde par la taille et je l’ai fait valser contre la photocopieuse. Elle était plus chaude que la machine que je venais d’utiliser : à peine je l’embrassais qu’elle fouillait déjà ma braguette.
Je l’ai soulevée et posée sur la photocopieuse. Ma queue durcissait tandis qu’elle essayait de la faire sortir de mon pantalon. J’ai remonté sa jupe d’un coup. La chaudasse avait enlevé sa culotte… J’ai eu envie de la baiser là, tout de suite, là sur la machine. Mais pas envie que ça jacasse au sujet du patron. J’ai murmuré à l’oreille de la belle le chemin vers mon bureau.
J’avais fait mettre un petit canapé-lit dans la pièce collée à mon bureau, pour les soirs où je dois rester tard et que je suis trop cassé pour rentrer. J’allais pouvoir tester sa solidité à deux. Clara est rentrée en trombe deux minutes après moi. Elle aussi, elle avait l’intention d’éprouver les ressorts du matelas.
LE LIVECAM interstron.ru
On s’est mis à poil en se galochant à pleine bouche. L’hôtesse gémissait dès que je la touchais, un truc de dingue. Et je vous laisse admirer la suceuse en action. Des coups de langue de velours sur mes couilles, et ses lèvres sur ma tige… Elles étaient serrées comme une tenaille mais moelleuses à en juter partout dessus.
Clara avait faim de bite, et pas que dans sa bouche. Après m’avoir avalé à fond, elle s’est foutue en levrette. Elle avait la minette épilée, un bonheur à lécher. Mais elle couinait tellement, elle voulait plus que ma langue. J’ai frotté mon bout sur sa chatte et j’ai senti comme une aspiration. J’ai décalotté à la seconde où je l’ai pénétrée.
C’est comme si j’étais aimanté en elle. Elle s’est mise à onduler tandis que j’étais aspiré par ses sables mouvants. Et c’était juste des préliminaires, pour la blonde ! Elle s’est tournée vers moi au bout d’une minute et m’a regardé dans les yeux : « Je crois qu’elle est assez lubrifiée comme ça, patron. »
Et là, elle s’est désemmanchée. J’ai baissé les yeux. Ma bite ruisselait du jus de Clara, qui se tortillait comme une diablesse. Alors j’ai plongé en enfer, dans son cul bouillant et tellement dilaté qu’on aurait dit qu’un autre était passé avant moi. Quand j’ai été au fond, la belle s’est mise à contracter l’anus en rythme. C’était comme si elle me branlait avec le cul, incroyable ! J’ai levé les yeux au ciel et prié pour me retenir.
Mais Clara m’a fait le pire des coups : elle s’est désemmanchée encore une fois et m’a tendu une capote qu’elle a chopé dans son tas de fringues. J’ai failli hurler. Mais elle m’a dit : « J’aimerais que vous terminiez là-dedans… » J’étais à bout, la queue en feu, alors j’ai attrapé le préso et je l’ai enfilé.
La blonde a continué avec sa voix de chienne en chaleur : « Je voudrais votre sperme dans ma bouche… S’il vous plaît, patron ! Oh oui, du bon foutre ! » J’ai craché en grognant comme un animal, les dents serrées, frustré et surexcité à la fois.
Le temps que je capte ce qu’il se passait, Clara avait attrapé le préso et penchait la tête en arrière. Il n’en est pas resté une goutte : elle a pressé la capote comme un tube de dentifrice.
Dans les messages qu’on s’est envoyés récemment, la belle m’a dit qu’elle était divorcée et prête à encore plus de folies. Je me repasse les photos pour tenir jusque-là.