A deux, à trois, puis à quatre…

La rédaction 11 avril 2019

Alain, 39 ans.

Suite à notre dernier courrier, Aurélie, ma femme, m’a mis au défi de vous raconter, à mon tour, l’une de nos « aventures ». J’ai volontairement choisi un souvenir assez ancien, mais qui nous a durablement marqués. La marraine de ma femme et son mari nous avaient invités à venir passer quelques jours chez eux, dans le Midi. Sur le trajet, Aurélie m’avait mis en garde contre la « beauté vénéneuse » de sa marraine. Je l’avais rassurée, n’ayant d’yeux que pour elle. Et pourtant, dès notre arrivée, je suis tombé sous le charme non seulement de la villa avec piscine, mais surtout de Marie, la quarantaine, brune aux yeux sombres et aux formes voluptueuses, notamment au niveau de la poitrine.

Bien qu’épuisé par le voyage, je me suis endormi avec l’image de Marie à l’esprit et une érection incroyable. Ce que je ne savais pas encore, c’est que notre vie sexuelle, à Aurélie et moi, allait basculer dès le lendemain. Après une grasse matinée un peu coquine, nous sommes descendus pour le déjeuner. Près de leur piscine, Marie et René sirotaient un apéritif. Quand Marie s’est levée pour nous saluer, sa tenue m’a fait un choc. Elle portait un top rouge tellement moulant qu’on distinguait parfaitement la forme plantureuse de ses seins. En bas, une jupe ample, courte et noire, légèrement transparente me permettait de deviner un string rouge. Nous sommes passés à table. Aurélie, qui avait senti mon trouble, m’a posé la main sur l’entrejambe pour vérifier que je bandais. Elle n’a pas été déçue. En gentleman, j’ai fait de même. J’ai alors eu la surprise de découvrir ma petite amie sans culotte et humide. Après le repas, ma chérie a eu des envies de shopping. Malheureusement pour elle, il n’y avait pas d’autre amateur. Elle est partie seule, avant de revenir moins d’une minute plus tard. Notre voiture ne démarrait pas. René lui a proposé de faire un rapide aller-retour en ville puis d’examiner le moteur.

Après leur départ, Marie et moi nous sommes installés près de la piscine pour prendre un café. Elle a très vite orienté la conversation sur ma relation avec sa filleule. J’ai essayé de lui répondre sans loucher sur son décolleté. Ses questions se faisaient de plus en plus indiscrètes. À un moment, elle m’a glissé qu’elle avait repéré notre petit manège sous la table, pendant le repas. Un peu jalouse, elle a dit regretter que je ne la regarde « que » dans les yeux. Je l’ai rassurée sur ses avantages. Joueuse, elle a suggéré que je me faisais peut-être de fausses idées sur sa poitrine, et m’a proposé de me la montrer. J’étais quand même un peu gêné : Marie était la marraine de ma copine ! Prétextant qu’elle bronzait seins nus, elle a ôté son top. Je suis resté sans voix devant ces gros lolos bien fermes. Marie a vite pu constater, non seulement mon admiration devant ses obus de rêve, mais surtout combien mon sexe se trouvait à l’étroit dans mon bermuda. Devant mon embarras, elle s’est approchée et m’a pris une main qu’elle a posée sur un de ses seins. Je l’ai palpé en douceur, puis mon autre main, attirée comme un aimant, s’est emparée du second. Là, Marie a décidé de prendre les commandes. Elle m’a fait m’asseoir sur un transat, a déboutonné mon bermuda et, accroupie à mes pieds, a calé ma queue déjà bien grosse entre ses seins pour une branlette espagnole où chaque coulissement se terminait par un coup de sa langue sur ma bite.

Au bout d’un moment, nous avons échangé nos places. J’ai enfoncé mon visage sous sa jupe et j’ai écarté le string rouge en dentelle déjà trempé par sa mouille. Ma langue a titillé son clitoris afin de le faire gonfler au maximum. Elle gémissait fort. Puis, je me suis vautré sur elle et je l’ai prise sauvagement. Elle a arraché mon T-shirt et a très vite planté ses ongles dans mon dos. Elle criait que ma grosse queue lui faisait du bien. Après quelques minutes, elle s’est dégagée de cette étreinte pour s’agenouiller et m’offrir la vue de son cul tendu que je me suis empressé de lécher. Puis j’ai repris ma chevauchée dans son vagin, mais en levrette cette fois. J’en ai profité pour introduire deux doigts dans son petit trou déjà dilaté. J’ai tout de suite deviné que la sodomie ne lui était guère étrangère : mes doigts ont vite été remplacés par mon sexe. Marie ne restait pas inactive, se tripotant les seins d’une main et le clitoris de l’autre. Elle s’est mise à crier de plus en plus fort.

C’est à ce moment-là qu’Aurélie et René ont fait leur réapparition dans le jardin. Je suis sorti de Marie et je suis resté sans bouger, comme un con ! Aurélie semblait à la fois choquée et émoustillée. René a alors conduit ma chérie jusqu’au transat. Marie a soulevé la robe noire de ma belle et n’a pu que constater l’absence de culotte. Elle s’est empressée de lui lécher la chatte. Tout penaud, je me suis approché d’Aurélie. Pour me faire comprendre qu’elle ne m’en voulait pas trop, elle a commencé à me sucer. Elle m’a pompé si fort que j’étais presque en transe. Mon visage ruisselait de sueur tellement ce plaisir était intense. Pendant ce temps, René s’était déshabillé et se branlait à tout-va. En bonne épouse, Marie s’est agenouillée devant lui afin de lui tailler une pipe. J’ai pris sa place entre les jambes de ma copine. Pour qu’elle soit plus à son aise, je lui ai ôté robe et soutien-gorge. Marie est revenue vers nous pour lécher les seins d’Aurélie. René en a profité pour enculer sa femme. Cela m’a incité à prendre ma belle. Là, Marie nous a demandé, à René et à moi, de la baiser simultanément. Le couple s’est installé très vite, elle montée sur lui. Voyant l’offrande de son cul, je me suis empressé d’y introduire ma verge et de me déchaîner dans l’étroit conduit. Les choses ont pris une nouvelle tournure quand Aurélie s’est penchée sur moi et a essayé d’introduire sa langue dans mon oeillet. J’étais véritablement aux anges, au point de lui laisser m’enfiler un doigt dans le cul. Je me suis agrippé aux seins de Marie, entraînant, malgré moi, cette dernière vers l’orgasme.

Aurélie s’est alors retrouvée au centre de toutes les attentions. À même la pelouse, René l’a prise en levrette pendant qu’elle me taillait une pipe. Puis, il s’est allongé, invitant Aurélie à le chevaucher en lui tournant le dos. De cette manière, elle pouvait continuer à me sucer, se faire prendre, et même lécher par sa marraine, extrêmement soucieuse du plaisir de ses convives, notamment de celui de sa filleule. René a proposé à Aurélie de l’enculer, ce qu’elle a accepté presque naturellement. Pour la première fois de notre vie (mais pas la dernière), un autre homme allait prendre possession de son oeillet. Ne voulant pas être en reste, Marie s’est attaquée, à grand renfort des coups de langue rapides et répétés, au jeune clitoris de ma petite amie. Bientôt, j’ai pris la relève de René. C’est là que Marie nous a suggéré de pénétrer Aurélie en sandwich. S’agissant de l’un de mes fantasmes d’alors, je ne pouvais refuser. René, lui, n’attendait que cela et s’est allongé directement sur le sol. Aurélie s’est emmanchée sur cette bite mature. Après quelques instants, j’ai rejoint le duo, introduisant délicatement mon sexe dans le cul de ma bien-aimée. Le temps de trouver le « rythme de croisière », Marie s’occupait déjà des seins de ma douce. Je sentais Aurélie comblée comme jamais : les nombreux cris de jouissance qui ont accompagné son puissant orgasme résonnent encore dans ma mémoire. Nous, les « mâles », n’avions pas encore joui. Chaque femme, de sa bouche, s’est occupée de sa « moitié ». J’ai été le premier à venir, éjaculant de manière désordonnée dans la gorge, sur le visage et les seins d’Aurélie. Cette dernière, pas encore « rassasiée », est allée épauler Marie. René était debout, les deux femmes à ses genoux : deux bouches, dont les langues s’exploraient mutuellement, massaient au passage la colonne de chair. René a fini par jouir sur leurs visages et leurs seins.

Pour « clôturer l’événement », Aurélie et Marie se sont embrassées à pleine bouche, leurs opulentes poitrines maculées de sperme. Autant vous dire que le reste du séjour a été torride et jonché de nouvelles expériences…

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