Bêtise avec le futur marié

Je crois que j’ai fait une bêtise. Mais le récit de cette bourde dans cette histoire de sexe devrait, chers lecteurs d’Union, vous intéresser. Et l’idée de vous excitez m’enlèvera peut-être un peu du poids de ma culpabilité…

Je suis très amie avec Quentin, un trentenaire que je connais depuis le lycée. On était sortis un mois ensemble il y a très longtemps, mais ce week-end, c’était son enterrement de vie de garçon. Je me suis retrouvée parmi les convives. J’étais la seule femme au milieu des garçons car j’étais sa seule amie fille vraiment proche. Le week-end s’est passé à boire, à nous baigner dans la piscine de la maison que nous avions louée, et à s’amuser tous ensemble. Toute cette testostérone autour de moi me faisait pas mal d’effet ! Je n’avais pas beaucoup d’occasions de me retrouver toute seule parmi les mâles !

Dans la piscine, je chahutais avec Quentin, je lui montais dessus, et nos corps se rapprochaient dans l’eau, de même que lorsque nous faisions la fête, le soir venu. J’étais tellement heureuse pour lui qu’il se marie ! Mais je dois avouer que ce soir-là, ma tendresse pour lui a un peu débordé le cadre admis. Comme j’étais convoitée par plusieurs mecs de la soirée, Quentin dansait tout le temps avec moi pour ne pas que les autres garçons s’approchent. Il m’a toujours gardée jalousement pour lui. Mais alors, pourquoi ce n’était pas moi qu’il épousait ? A un moment donné, agacée, j’ai embrassé un autre garçon.

Provoqué, Quentin est venu nous rejoindre pour nous embrasser tous les deux, chose qui peut arriver dans un cadre festif… Sauf que nous avons fini au bord de la piscine, à nous rouler des pelles tous les trois, leurs mains sur moi à me tripoter. « Bon, ce sera un secret entre nous, mais c’est ma dernière nuit non marié, j’ai droit à tout ce que je veux ! » s’est exclamé Quentin. Ses baisers avaient réveillé mon désir.

Il nous a entraînés dans sa chambre. Là, je me suis prise pour la strip-teaseuse des enterrements de vie de garçon et je me suis mise à danser devant eux, à me déshabiller. Entièrement nue, je savais l’effet que je faisais car j’ai un corps très bandant. Je me suis mise sur le lit les jambes écartées pour qu’ils admirent ma chatte et je me suis mise à me toucher. L’autre ami qui m’avait embrassée a pris des photos et s’est mis en retrait. Je crois qu’il avait juste envie de regarder. Je lui ai fait promettre de ne jamais révéler ces photos compromettantes et il m’a assuré qu’il ne prendrait pas le visage du futur marié… Je pouvais donc à présent me jeter sur lui !

Emportés par ce désir qui était subitement remonté depuis nos souvenirs de jeunesse quand nous fricotions ensemble à 18 ans, Quentin et moi nous sommes mis à nous frotter et à nous enlacer. J’ai poursuivi mon petit jeu de chaudasse pour lui laisser un souvenir impérissable… Désolée à la mariée ! Mais il était trop craquant ce soir-là et il méritait de s’amuser un peu, non ? Je l’ai déshabillé et je me suis mise à lui faire une branlette espagnole entre mes jolis seins. Je les ai rassemblés autour de sa queue pour la branler entre mes deux mamelles… Il était dur comme un roc… Je me suis allongée sur le lit et il s’est agenouillé près de mon visage pour que je le prenne dans ma bouche. Hum, quelle queue ! Bien raide, un peu épaisse mais pas trop, bien faite… Sa femme serait comblée ! J’ai joué avec pendant que notre ami me prenait en photo. Je n’ai pas résisté à l’idée de vous les envoyer car j’ai un petit côté exhibe qui m’excite beaucoup… Donc me savoir regardée par cet homme dans une posture aussi compromettante, loin de m’effrayer, m’envoyait direct au septième ciel !

Allongée sur le lit, jambes écartées, Quentin est venu se glisser en moi en missionnaire et sa jolie queue bien ferme m’a régalée… Il m’a prise avec force, me faisant ressentir toute l’attirance qu’il avait pour moi et qu’il avait contenue durant toute ces années… Notre complicité se révélait au grand jour. Comment allait-il faire ensuite pour ignorer cela tout en étant marié ? Ce n’était pas le moment d’y penser.

J’étais totalement absorbée par la sensation de sa bite en moi. Elle se coulait parfaitement dans mon sexe, le réveillait de l’intérieur. Sa bite prenait tout l’espace et glissait dans ma mouille. Il donnait des coups de reins et je me laissais saisir par cette compatibilité sexuelle hors-norme. J’adore qu’on me baise bien dur et bien ferme, et il se donnait à fond pendant de longues minutes, penché au-dessus de mon visage, ondulant contre mon corps. Le voyeur se branlait en nous photographiant. Je ne culpabilisais même pas à ce stade, et je ne pensais qu’à la vibration de sa queue dans ma chatte. Nous avons joui en même temps au milieu de ses coups reins et alors que je resserrais mon périnée autour de lui sous le coup de la jouissance qui nous a emportés tous les deux…

Le voyeur a joui aussi, faisant tomber du sperme sur le sol. Nous avons nettoyé et scellé un pacte : ces photos ne sortiraient jamais de son téléphone. Mais après le mariage, j’ai ressenti le besoin d’avoir la preuve que c’était vraiment arrivé. Il me les a envoyées. Et j’ai eu envie de pousser le vice jusqu’à vous les faire parvenir. En espérant que vous apprécierez ce partage…

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