Lettre à mes amants

La rédaction 9 juin 2024

Mélinda – 29 ans – Diepp, une chaudasse qui aimerait se faire fourrer par 3 de ses amants en même temps.

Messieurs,

Vous le savez, à tout le moins vous le supputez, sans être une ribambelle, il y a plusieurs hommes qui visitent mes appartements et quand je dis « mes appartements », je parle bien évidemment de mes trois orifices ! Je vous fais don de ma personne, mais mes besoins et diverses envies sexuelles sont trop nombreuses pour ne me satisfaire que de l’un d’entre vous. Vous avez cependant tous un point commun, la couleur de votre membre viril. J’aime les bâtons de couleurs, qu’ils soient bien durs, bien gonflés, peu importe la taille de la bestiole, ce dont je raffole c’est que vous sachiez bien vous en servir et … longtemps, si possible.  Dominique, Jean-François, Babacar, vous êtes mes princes et je suis votre déesse callipyge dont la paire de nichons vous fait tourner la tête ! Voici mon histoire de sexe.

Un appétit sexuel sans limite

Vous le savez, mon appétit sexuel ne connaît pas de satiété, aussi, cette lettre sera une invitation. Les photos que vous prenez de moi, de nous, lorsque nous baisons sont suffisamment explicites pour donner à quiconque une idée de ce que j’aime, voire un mode d’emploi complet pour une partie de jambes en l’air réussie, des amuse-bouche au dessert !

Aussi, je vous laisse imaginer ce que pourrait être une partie à quatre… Vous me masseriez partout avec une huile parfumée, une fois mes muscles détendus, vous m’écarteriez les jambes afin de me regarder sous toutes les coutures. Je ferai semblant de rougir et feindrai la honte, tout en sentant couler ma chatte de désir devant vos trois pieux dressés.

Chacun viendrait me présenter ses hommes, à savoir, me bouffer la craquette, avant de me présenter vos hommages, bites raides et dures comme jamais qui défileront dans ma bouche gourmande. Je vous sucerai à tour de tôle, insistant sur le gland sensible de Jean-François, à la queue courtaude mais infatigable, gobant les couilles de babacar dont le sperme est un véritable nectar, et je suis connaisseuse, enfin Dominique, que je lustrerai avec soin puisque c’est lui qui aura, comme toujours avec sa longue sagaie d’ébène, le privilège de mon anus et des joies de la sodomie. Sans doute, si vous me faites jouir comme je l’entends, chacun aura le loisir de m’enculer après lui.

Trois queues pour ma bouche

Ce trio de pipes terminé, ce sera à vous de faire preuve d’imagination concernant les combinaisons possibles concernant les positions. Moi dessus, en missionnaire, en levrette, en cuillère, j’apprécie toutes les offres du Kamasutra, tant que j’ai une trique dans la chatte, une entre les lèvres et une dans la main, je serai la plus heureuse des femmes. Attachez-moi, ligotez-moi, menottez-moi, faites de moi votre chose, votre petite catin, mais défoncez-moi ! C’est tout ce que je vous demande. Je veux jouir successivement de vous trois, passez-moi sur le corps, limez, doigtez, lécher, mon con, mon anus, faites coulisser vos pieux entre mes monuments mammaires, offrez-moi vos rondelles à lécher, à goûter, plus vous serez vicieux, plus je mouillerai, plus je jouirai.

Mes jouets, nombreux vous le savez, sont à votre disposition. Enfilez-moi, traitez-moi de tous les noms, insultez-moi, mais ne baissez pas pavillon avant que je ne vous y autorise ! Je me donne à vous, mais la condition est que vous soyez des amants robustes, endurant et que je jouisse à mort de chacun de vous devant le regard des deux autres. Aussi, prévoyez une nuit entière dans mes draps et entre mes cuisses, ma chatte est toute poisseuse rien qu’à l’idée de vous voir arborer trois magnifiques érections devant moi. Je veux vous tâter les bourses, vous agacer le trou du cul, vous pomper jusqu’à ce que vous crachiez votre foutre chaud et épais dans ma gorge de petite putain. Oui, je serai votre putain et vous serez mes serviles godes sur pattes, des jouets humains qui feront de moi leur poupée, mais qui me laisseront dans un entre-monde peuplé de cris, de feulements, de jets de spermes, de giclements de cyprine, de parfums capiteux mêlant sueur, foutre et mouille poivrée.

Alors, mes amours ? Que dites-vous de cette indécente proposition ? Acceptez-vous de venir forniquer avec votre maîtresse favorite ? Si oui, dites-le-moi vite, je suis brûlante, mon entrejambe est en feu, mes seins douloureux et ma rondelle palpite d’impatience de prendre cher de votre part. Nous enverrons les photos de notre petite séminaire à interstron.ru, histoire que d’autres hommes, que j’imaginerai aussi dans mes fantasmes, se branlent et jutent sur mes gros seins blancs et affamés.

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