Lettre à celle qui m’a appris le plaisir

La rédaction 23 avril 2021

Maurice, 65 ans plonge dans ses souvenirs et nous raconte comment sa belle prof Pamela l’a initié au plaisir de la chair dans sa jeunesse.

J’aimerais dédier ce courrier à Pamela, la femme qui hante mes rêveries érotiques depuis des lustres et qui a joué pour beaucoup dans mon rapport à la sexualité. Pamela est une femme plus âgée que moi et elle avait beaucoup plus d’expérience quand elle a remis en question mes certitudes. A l’époque, j’étais encore un jeune homme de 30 ans (j’en ai aujourd’hui 65), elle en avait 40, était mariée, et professeure de français. Elle deviendrait aussi ma professeure en amour… C’est simple, c’est elle qui m’a appris à donner du plaisir. Je vous raconte dans cette histoire de sexe. 

Nous étions en vacances avec un groupe d’amis, dont son mari, qui est le cousin d’une de mes connaissances et qui s’était joint à nous avec sa femme pour louer une maison à la campagne. Moi, je dormais dans une tente dehors, car j’étais le seul jeune célibataire et parce qu’il n’y avait pas suffisamment de couchages à l’intérieur. J’avais déjà repéré Pamela, une Américaine rousse à la peau laiteuse que je trouvais sublime. Un soir, quelle ne fût pas ma surprise quand elle me rejoignit sous la tente !

Elle m’a fait signe de ne pas parler fort. Elle avait quitté le lit de son mari, prétextant une balade nocturne en réponse à une insomnie. Elle s’était étendue à mes côtés et m’avait embrassé. Tout feu tout flamme à cause de cette liaison impromptue, je l’avais prise maladroitement en missionnaire, jusqu’à jouir en quelques minutes et retomber, encore tremblant, sur le tapis de sol, sous le duvet. Elle n’avait même pas eu le temps d’enlever son col roulé. Elle m’a regardé dans le noir : “Tu fais comme tous ces hommes qui prennent leur plaisir et ne pensent pas à l’autre. Mais je sens que tu es assez ouvert pour apprendre, alors je vais prendre le temps pour t’expliquer.” Je me sentais un peu honteux, c’est vrai que je n’avais jamais vraiment appris à donner du plaisir à mes partenaires. Voici les instructions qu’elle m’a données.

“Embrasse-moi pour de vrai, laisse vagabonder ta langue, prends mes lèvres entre les tiennes, goûte-les.” C’est ce que j’ai fait. Elle a ôté son col roulé blanc et dévoilé ses seins tout aussi blancs, qui dégageaient presque un halo dans l’obscurité. Elle a exigé que je les caresse, que je roule les mamelons entre mes doigts, que je caresse tout son corps, et que je m’attarde sur les cuisses, à l’intérieur, en dessous, que je fasse naître des frissons sur son épiderme. Emerveillé, je sentais sa peau frissonner. Je m’aventurais vers son sexe, mais elle m’en interdisait encore l’accès. “Non, pas encore, embrasse d’abord ma poitrine, mon cou. Passe tes mains dans mes cheveux”, continua-t-elle avec son accent américain. Je découvrais les différentes textures de son corps. “Maintenant, touche mes poils, pas ma fente, juste le dessus.” J’ai promené ma main sur sa petite motte de poils pubiens pour en éprouver la consistance, la finesse, l’érotisme.

Elle reculait le moment où je toucherais son sexe et m’obligeait à prendre mon temps. Puis elle m’a dit enfin d’effleurer son clito, les petites lèvres, elle m’a fait tremper très doucement mes doigts dans son sexe humide puis revenir délicatement sur son clito. Son souffle se faisait plus saccadé. Elle a saisi ma bite qui était redevenue dure face à tant de sensualité et l’a branlée avec douceur. “Rentre tes doigts, mouille-les un peu plus avec ta salive, re-rentre, recourbe-les doucement. Avec sa main à elle, elle se caressait le clito pendant que je la doigtais avec application, en bon élève que j’étais. L’air saturé dans la tente se chargeait de l’odeur de ses sécrétions. “Maintenant, lèche-moi en continuant avec tes doigts.” Ce que j’ai fait.

Son sexe répandait sa mouille odorante sur mes lèvres et mes doigts se recouvraient de sa cyprine. Je réalise que c’était la première fois que je prenais le temps de ressentir les sensations de mon amante, de guetter les réactions de son corps. J’ai continué à presser le plafond de son vagin en suivant ses instructions et en lapant son minou, tout en prenant soin de viser la petite bosse ronde du clito. J’adorais ça et elle aussi, elle gémissait entre deux ordres : “plus fort les doigts, moins fort la langue, vas-y, accélère les deux ensemble”. Ses cuisses tremblaient. Elle a lâché un gémissement qui venait du plus profond d’elle et a joui en éjaculant, chose que je n’avais jamais vue ! Mes mains, ma bouche, mon duvet, étaient tout mouillés. Ça m’a beaucoup excité. “Voilà, maintenant, tu sais comment prendre soin d’une femme”, a-t-elle dit, le regard brillant dans la pénombre. Elle m’a à son tour gratifié d’une pipe que je n’oublierai jamais. Depuis toutes ces années, il ne se passe pas une fois sans que je repense à elle, même l’espace d’un quart de seconde, quand je fais l’amour avec une femme.

Pamela, je rends hommage à ta patience, à ta douce et puissante lascivité, qui ont fait de moi un homme plus éclairé.

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