Bonne et belle soeur

La rédaction 5 décembre 2019

Raphael, 47 ans

C’était fin juillet, de retour de trois semaines de vacances sur la côte Méditerranée. J’avais 27 ans à l’époque. Mon épouse et moi-même avions roulé toute la nuit et nous étions arrivés à 6 heures du matin chez mes beaux-parents.

Après un coup de klaxon pour qu’on vienne nous ouvrir, c’est ma jeune belle-soeur qui est sortie de la maison en chemise de nuit. Alors que j’étais devant le portail, elle s’est penchée pour déverrouiller la porte. Et là, quelle surprise après dix heures de route ! Dans l’entrebâillement de sa chemise, une poitrine généreuse s’offrait à mes yeux, comme une invitation. En cette heure matinale, j’ai senti comme une raideur entre les jambes. Mais déjà, la porte était ouverte et il fallait rentrer la voiture.

Nous avons passé notre journée du dimanche à nous reposer et à peaufiner notre bronzage dans le jardin. Contrairement à ce qu’elle faisait sur la plage, mon épouse n’a pas pratiqué les seins nus, sûrement pour ne pas attirer la foudre de sa mère mais, je crois aussi pour éviter que sa soeur ne la suive et ne me fasse profiter de cette vue sublime. Je pense qu’elle se serait facilement prêtée au jeu. En effet, dès qu’elle était allongée sur le ventre, elle dénouait les bretelles de son soutien-gorge, laissant apparaître son dos nu et la rondeur de ses seins lorsqu’elle se tournait légèrement.

Le lendemain, mon épouse reprenait le travail alors que moi, je disposais encore d’une semaine de vacances. Le programme était toujours le même : bronzette intensive dans le jardin. Mes beaux-parents partaient l’après-midi faire quelques courses au bourg voisin, et nous nous retrouvions seuls, ma belle-soeur et moi. Elle m’a demandé si j’acceptais qu’elle ôte son soutien-gorge pour mieux prendre le soleil. Je l’ai naturellement encouragée dans cette démarche, lui garantissant mon total mutisme auprès de sa mère. Elle n’était âgée que de 18 ans, mais sa poitrine était très développée, sûrement un 95 C. La marque de bronzage dessinait le maillot et mettait encore plus en valeur ses seins et leur pointe.

Au bout de quelques minutes, je lui ai proposé de lui mettre de la crème solaire pour la protéger, lui glissant « qu’il serait dommage de brûler un si beau capital ». Elle a souri et a accepté mon offre. Je me suis agenouillé au niveau de son épaule et, après avoir versé un peu de crème dans la paume de ma main, j’ai commencé à l’étaler sur son sein gauche. Ma main en a d’abord parcouru le pourtour, d’un geste lent, circulaire, et a atteint progressivement la pointe qui, très vite, s’est dressée au contact de mes doigts. Ma belle-soeur ne disait rien.

Je l’ai vue fermer les yeux comme par approbation et plaisir. Moi non plus, je n’étais pas indifférent aux caresses que je prodiguais. Ma respiration s’accélérait. Mon sexe s’est mis à gonfler. Emprisonné dans le slip de bain, il n’avait d’autre possibilité que de s’allonger le long de mon ventre. Il dépassait maintenant de mon slip, laissant apparaître mon gland complètement décalotté. Compte tenu de ma posture, il n’était qu’à quelques centimètres de sa tête.

Me rapprochant un peu plus près d’elle pour lui caresser les seins à deux mains, j’ai senti qu’elle tournait la tête vers mon bas-ventre. Elle n’a pas eu beaucoup de difficultés à extraire de mon slip mon sexe de plus en plus gonflé, et elle lui a passé quelques coups de langue. Puis, très vite, elle l’a pris en bouche et m’a offert une pipe mémorable.

Malgré son jeune âge, elle était déjà experte dans l’art de la fellation. Elle savait parfaitement coordonner sa bouche et ses doigts, aspirant ma queue en pleine érection entre ses lèvres alors que sa main enserrait la base de mon pénis et le faisait coulisser entre ses phalanges. C’était franchement divin !

De mon côté, je n’étais pas en reste. Ma main avait quitté ses seins pour se glisser sous son slip de bain, et mes doigts exploraient ce sexe déjà bien humide. Ils la caressaient, passant de sa fente à sa toison. Ma tête s’est dirigée vers son entrejambe tandis que je me faisais toujours pomper le pieu. Nous étions maintenant en 69. Je lui ai ôté son slip. Le soleil éclairait son sexe tel un projeteur et j’en appréciais la toison finement taillée en triangle, au centre duquel s’offraient des lèvres roses toutes gonflées et luisantes de mouille.

L’introduction d’un doigt dans sa chatte a provoqué un léger sursaut suivi d’un râle d’approbation. Ma langue s’est emparée rapidement de ces lèvres intimes qui s’offraient à moi et que j’ouvrais des doigts pour mieux tout sucer. J’ai senti très vite une petite boule à l’extrémité de son clitoris, noyé d’une liqueur de plus en plus abondante. Ma langue s’en est emparée, et ma belle-soeur a été envahie par une onde au point qu’elle s’est arrêtée de me sucer, la tête renversée par la jouissance…

Je voulais maintenant la prendre. Mon sexe gonflé par cette fellation magistrale s’est enfoncé avec délectation dans sa chatte chaude et détrempée. Son vagin serré amplifiait la pression sur ma queue et, à chaque va-et-vient, je sentais la jouissance qui montait. Aussi, pour ne pas me vider trop vite et mieux profiter de ces instants de bonheur, j’ai ralenti la cadence. Mais elle m’encourageait par des mouvements de bassin de bas en haut et me criait des : « Baise-moi, oui baise-moi, c’est trop bon ! »

La pression devenait de plus en plus forte, et ma queue était sur le point d’éclater. Aussi, subrepticement, je suis sorti de ce gouffre chaud et j’ai placé ma verge entre ses seins, qu’elle a rapprochés pour mieux l’enserrer. Au bout de quelques va-et-vient dans ce nid douillet, j’ai explosé. Un jet puissant suivi de plusieurs saccades a jailli de mon membre et a aspergé son visage. Elle a ramassé avec sa langue et ses mains ce qu’elle pouvait avaler, puis je lui ai présenté mon sexe pour un nettoyage total.

Sous l’effet de cette « toilette », ma queue s’est remise à gonfler. Je voulais maintenant explorer son deuxième orifice, sûr qu’elle aimerait également cette voie. J’ai dilaté son petit cul à grands coups de langue, et j’y ai introduit un doigt, puis un deuxième. Elle se laissait faire, ouvrant largement les cuisses afin de me faciliter le passage. Visiblement, ce n’était pas sa première expérience de ce côté-là.

Elle s’est retournée et mise à quatre pattes. J’ai présenté ma queue bien raide sur son oeillet dilaté. Par petits coups, je poussais progressivement mon engin qui a commencé à s’enfoncer. Je me retirais puis je me renfonçais un peu plus. J’ai continué ainsi jusqu’à ce que mes couilles tapent sur ses fesses. Je l’ai alors saisie par le bassin et j’ai entamé des va-et-vient puissants.

Elle gémissait de satisfaction et en réclamait encore. Pour cette deuxième jouissance, ma queue m’a laissé un peu plus de délai. J’ai pu ainsi continuer quelques minutes cette pénétration anale alors que mon sexe allait et venait dans son cul de plus en plus dilaté.

Pendant que je la baisais, j’ai réussi avec ma main à lui caresser le minou qui coulait de mouille. Elle a de nouveau joui, me suppliant de la défoncer. J’ai quitté ses fesses pour la prendre par-devant. Sa chatte était encore plus chaude que la première fois, et ma bite s’y est engouffrée aisément.

Je sentais la jouissance monter en moi, mes bourses se gonflaient et, très vite, avec son accord, je me suis vidé en elle. A près une bonne toilette, nous avons repris notre place sur la pelouse et répondu en coeur à ma belle-mère qui, de retour, nous demandait si tout allait bien : « Nous n’avons pas vu le temps passer« .

Cette baise en plein air m’a permis de découvrir que ma belle-soeur aimait le sexe, et sous toutes ses formes ! Les jours qui ont suivi me l’ont confirmé… Et, vingt-sept ans plus tard, le souvenir de ces parties de baise est toujours aussi brûlant et présent dans ma mémoire.

(Image à la une : Getty Images)

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Comment j’ai défoncé belle-maman

« Elle a voulu se lever pour s’habiller. Je l’ai retenue sur le lit en lui disant qu’il ne restait plus qu’à goûter. J’ai placé ma tête entre ses cuisses pour la lécher. Elle était bouillante d’envie et totalement en manque » Ghislain

Ma belle soeur sait me remercier

« Bérangère couinait de plus en plus, ondulant du bassin. J’ai plongé mon visage dans sa fente, pénétrant son intimité avec ma langue » Vincent

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