Une pipe pour l’ami de mon mari !

Manu, le meilleur ami de Joël, mon mari, nous a conviés à un apéritif pour fêter je ne sais quoi. J’ai conscience que ces deux-là sont comme larrons en foire et que, malgré leurs liens, Manu se verrait bien coucher avec moi. J’avoue qu’il est mignon et, très souvent, quand mon homme me baise, il nous met en situation à trois. L’un me prend pendant que je suce l’autre, je suis une petite chose livrée à leurs turpitudes, dans les fantasmes les plus fous. Dans ceux qui me font le plus jouir, ils me possèdent en double ou mon compagnon nous regarde nous envoyer en l’air, Manu et moi, tout en se branlant avant d’éjaculer dans mes cheveux ou dans ma bouche. Voici mon histoire de sexe.

Rien qu’une pipe pour cette fois !

Mon époux a insisté pour que je ne porte rien sous ma robe, il m’a pelotée et doigter tout le trajet, au moment où nous sommes entrés dans la maison de Manu, mes jambes flageolaient et je ne m’étais pas aperçu que j’avais une énorme tâche de mouille au niveau des fesses, la honte ! La conversation a rapidement glissé vers le sexe, le champagne me tournait un peu la tête, quand j’ai senti des bras m’enlacer par derrière, je n’ai pas réagi, pas plus que lorsqu’une main s’est aventurée sur ma poitrine pour en faire rouler les bouts. C’est là que j’ai vu Joël en face de moi, j’ai sursauté, c’était donc Manu qui posait avec une autorité toute sensuelle ses paumes sur moi. J’ai regardé mon mari, légèrement perdue, mais vite rassurée par son sourire éclatant et la bosse qui déformait son pantalon. Un autre renflement se faisait du reste sentir en douces pressions contre le bas de mes reins. J’ai envoyé quelques doigts en éclaireurs, notre hôte bandait dur et ce que je palpais était plus que prometteur.

Je savais que j’avais envie de cet homme, ma moitié était là, je me sentais en sécurité et très salope, j’ai juste posé une limite, pour cette première fois, ce ne serait qu’une pipe. Dans l’instant ma robe disparaissait et les jeux de mains reprenaient leurs droits, Manu très centré sur ce qui l’a toujours attiré chez moi, mes énormes nénés !Il les a caressés, malaxés, sucés, tétés, compressés tout en me laissant le déshabiller. J’avais faim de voir sa bite. Quelle merveille que de découvrir un autre sexe, une autre peau, une autre odeur corporelle ! Manu sentait bon, son membre était brûlant et palpitait au creux de ma paume. De son côté, Joël n’était pas resté inactif, il avait son téléphone en main et ne ratait pas une miette du spectacle en prenant des photos de nous par centaines. Se branlant doucement, il nous tournait autour, la fierté de son regard m’a animée d’intentions de plus en plus cochonnes. Manu était désormais nu comme un ver, je lui ai proposé de se laisser faire. Assis tous deux sur une large banquette, j’ai saisi son sexe entre mes doigts et j’ai parcouru la hampe en effleurements intenables, griffant très délicatement le scrotum, agaçant le gland de mes ongles avant d’ouvrir grand la bouche et d’accueillir contre mon palais le fruit de mon désir. Pour être encore plus irrésistible, je me suis mise à me peloter les nichons, cela a beaucoup plu aux deux mâles qui ont sifflé entre leurs dents.

Sacrée gorge profonde !

La bite de Manu a de nouveau gagné en volume, elle était belle, bien droite et dessinée tout en courbes sensuelles, j’ai pris un plaisir infini à cette fellation adultérine. Joël n’en pouvait plus de son côté, il était tout rouge et a éjaculé en un rien de temps, lui qui est un peine à jouir habituellement, le contexte devait vraiment l’exciter à fond. Manu, lui, se contrôlait, visiblement ravi de la situation et bien décidé à en profiter le plus longtemps possible !

Je lui ai aspiré les couilles, léché la base du sexe jusqu’à frôler son anus, là non plus, aucun souci pour lui. Je lui ai donc offert une feuille de rose, son petit trou était musqué comme j’aime,avant de reprendre le chemin de son vit et de le gober tout entier. Une main sur ma nuque, Manu amplifiait les mouvements de va-et-vient de ma tête, forçant ma gorge à accepter une pénétration très profonde, je salivais telle une petite chienne qui a trop couru. Je l’ai branlé juste en gardant sa hampe entre mon index et mon pouce, cela rend fou Joël. J’ai ainsi pu vérifier que c’était aussi le cas avec un autre homme, et Manu m’a averti qu’il n’allait plus tenir très longtemps. Je lui ai demandé s’il préférait jouir entre mes lèvres ou sur mes seins, il a choisi la seconde option et s’est lâché, le premier jet fut pour ma bouche et lorsque j’ai recraché le sperme sur mes lolos, le reste a jailli furieusement et a maculé ma poitrine.

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