La revanche du loser
2 décembre 2019Baptiste, 23 ans
Pour parler franchement, j’ai toujours été le loser de service. Je ne suis ni bête, ni moche, mais je ne me foule pas trop. Du coup, quand tous mes potes chopent une meuf en boîte, moi je reste sur le banc de touche. Quand mes copains intègrent une grande école, c’est sur les bancs de la fac de Nanterre que je pose mes fesses. Bon, j’y suis peut-être allé fort avec le mot loser, mais disons que je suis toujours un peu à la traîne de ma bande de potes.
Franchement, ce qu’il m’est arrivé le week-end dernier, c’est assez rare pour que je le raconte. S’il vous plaît, publiez-moi ! Comme ça, je vous en achète dix et je distribuerai votre magazine à tous les copains qui se sont toujours foutus de ma gueule. Rira bien qui rira le dernier. [ndlr : voilà qui est fait ! À vous de jouer, Joél…]
Donc le week-end dernier, on s’est donné rendez-vous avec mes potes sur la place de la fontaine Saint Michel, à 17 heures précises. À 18 heures, tout le monde était là. On est partis dans un pub tout près, rue de la Bûcherie. À 20 heures, fin de l’happy hour, on était déjà bien beurrés. On a quand même continué à enchaîner les pintes. On faisait un peu pitié, cinq gars et pas une seule nana. D’ailleurs, le bar était presque exclusivement rempli de mecs. Et voilà que débarquent trois filles super mignonnes, qui viennent s’asseoir pile à la table à côté de nous.
Forcément, y’a eu un blanc à notre table. Normalement, ce qui se passe dans ce cas de figure, c’est que j’ai toujours des potes forts en gueule qui se débrouillent pour approcher les meufs, au bar, près des toilettes. Mais ce soir-là, j’avais décidé qu’il en serait autrement. Ça faisait deux semaines que j’étudiais le sujet. J’avais lu plein de bouquins sur la meilleure manière d’approcher les filles qui, paraît-il, sortent dans le même but que nous, les mecs, à savoir : choper.
Bref, j’étais à bloc. Je m’étais sapé comme un prince, et j’ai doublé tous mes potes sur ce coup-là. Je suis allé commander trois cocktails au bar, et je les ai ramenés aux trois filles avec un sourire plein d’assurance. Je les ai un peu pipeautées et deux minutes après, j’étais assis à leur table sous les regards envieux de mes potes.
L’une des trois filles me plaisait tout particulièrement. Une vraie bombe atomique, élégante, avec des traits superbes, une poitrine généreuse. Du coup, j’ai commencé par feindre de l’ignorer (règle n° 1 du bon dragueur), et je me suis intéressé passionnément aux études de comptabilité de Julie et aux problèmes de talons fragiles de Mélanie. Je voyais bien que ça éveillait l’intérêt de la miss.
Elle se rapprochait de plus en plus de moi et essayait d’attirer mon attention de toutes les façons possibles. Finalement, je me suis tourné vers elle, et nous nous sommes mis à discuter. Je lui ai lâché discrètement mon numéro de téléphone, sous la table (règle 21 : lui faire croire qu’elle est l’élue) et je suis retourné avec mes potes, que j’avais bien épatés. Ils ont décidé d’aller dans une boîte rue Saint-Séverin (donc tout près), et je les ai suivis. À peine le videur nous a-t-il laissé passer, un texto sur mon portable : « T où ? » J’ai eu un sourire victorieux. Une dizaine de textos plus tard, j’étais de retour sur la place Saint Michel, à attendre la jolie Manon. Je n’ai même pas dit à mes potes ce que j’allais faire, je me suis juste barré.
Je n’ai pas attendu longtemps. Je l’ai vue arriver, le rose aux joues, sur la place, fraîche comme une fleur que je m’étais juré de cueillir. Je lui ai proposé de venir prendre un verre chez moi. J’habite un petit studio près du Panthéon, on a marché main dans la main, elle m’a parlé d’elle, je l’écoutais comme si elle me livrait la théorie de la relativité. Arrivés dans mon repaire, que j’entretiens avec un soin maniaque, elle s’est assise sur le canapé. Je lui ai apporté ma couette, et je l’ai quasiment bordée. Quand je me suis relevé, elle m’a retenu par le bras. Je l’ai regardée droit dans les yeux, et je lui ai roulé le patin du siècle. Feux d’artifice dans ma tête. Une trique immédiate. Un sentiment de victoire. J’aurais pu passer la nuit à lui rouler des pelles, mais les jeunes filles, de nos jours, elles en veulent plus très vite. Elle m’a mis la main au paquet.
Forcément, elle a eu un grand sourire quand elle s’est rendu compte de mon état. Elle a fait glisser ma couette à terre et s’est entièrement désapée pendant que je caressais fébrilement son corps parfait. Une peau fine et douce, une silhouette élancée et une poitrine d’une rondeur pas possible… J’étais comme un fou. Elle s’est allongée sur la couette, au sol, et j’étais partagé entre l’envie de hurler ma joie, ce qui l’aurait fait fuir, et celle de me maîtriser pour pouvoir passer aux choses sérieuses.
Lentement, je me suis couché au-dessus d’elle. Ma bite tendue reposait sur son pubis bombé et son ventre plat. Elle était parfaitement épilée. J’ai saisi délicatement ses tétons entre mes doigts et je les ai fait tourner, elle s’est mise à gémir. Je lui soufflais des mots doux et des bisous au creux de son cou, derrière ses oreilles. Une de mes mains s’est aventurée en bas, insérée entre nos deux corps, mes doigts ont caressé sa petite chatte, mon index s’est introduit à plat dans sa fente, et j’ai senti son petit clitoris pointer. Je l’ai fait rouler sous mes doigts, la belle Manon ondulait en poussant de lourds soupirs, et quand j’ai rentré deux doigts à l’intérieur de son minou, elle a poussé un petit cri. J’ai fouillé son intimité qui devenait de plus en plus humide, je l’embrassais sur le front, les joues, le cou, ses lèvres charnues cherchaient sans arrêt les miennes et ses jambes avaient des mouvements désordonnés.
Sa respiration s’est bloquée en un hoquet, tout son corps s’est crispé, puis elle s’est entièrement relâchée en souriant. Voir le sourire d’une femme qu’on vient de faire jouir, il n’y a rien de plus beau. J’aurais pu m’en satisfaire, mais ma bite s’est chargée de se rappeler à moi. J’étais dur comme de l’acier, je sentais l’afflux de sang dans mon pénis, comme si mon coeur y battait. Doucement, mon noeud a cherché l’entrée de son paradis. Très, très lentement, je l’ai pénétrée, son vagin était très serré et très humide. Elle m’a pris par la nuque, a ouvert grand les yeux et m’a ordonné : « Baise-moi. » J’y suis allé comme un bourrin. Je lui ai dévissé les hanches tellement je lui ai donné des coups de bite. Elle avait l’air d’adorer. Au bout d’un moment, elle a crié presque en continu. Je n’en pouvais plus, j’allais exploser, je me suis retiré d’elle et j’ai éjaculé sur son ventre. Elle a saisi mes doigts qui avaient exploré son intérieur, et les a léchés en me regardant droit dans les yeux. Ce soir-là, on a fait l’amour trois fois. On est encore ensemble aujourd’hui, et elle m’a autorisé à vous écrire et à envoyer des photos. Ça, ça s’appelle scorer.
(Image à la une : Getty Images)
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