Une sodomie complète

Paule 4 novembre 2023

Karim travail comme serveur dans un restaurant, il fait la rencontre de Anne – Laure une cliente qui l’invite tout de suite chez elle pour une baise.

Petit boule d’été

En juin 2018, j’ai très vite trouvé un poste de serveur dans un restaurant sur la Côte d’Azur, j’ai rapidement compris pourquoi. Je fais de la musculation depuis l’âge de seize ans et tous les mecs en salle étaient torse nu, à l’exception de quelques lanières de cuir qui dessinaient pectoraux et abdos. On dit souvent que bosser dans un resto est dur … pas faux … mais ce sont surtout les nuits sans sommeil qui sont les plus exigeantes ! Je n’ai jamais autant baisé de toute ma jeune vie ! Je vous raconte mon histoire de sexe.

Anne-Laure est arrivée un soir avec des amis, j’ai tout de suite flashé sur elle. La paillote pour laquelle je travaillais permettait aux clients d’aller se baigner et lorsque j’ai vu cette brune incendiaire dans son maillot de bain minimaliste, je n’ai plus pensé qu’à cette bombe.

C’est elle qui a lancé les hostilités en glissant un énorme pourboire dans mon short, accompagné de son numéro de téléphone. Quelques heures plus tard, je sonnais chez elle, je n’étais même pas douché, elle m’a ouvert la porte de sa villa, elle était à poil, je bandais comme un sagouin, nous sommes allés direct dans sa chambre. Elle m’a arraché mon bas, je n’ai pas eu le temps d’ôter mon tee-shirt qu’elle était déjà en train de me sucer à fond. J’ai pourtant une bonne queue, cela ne l’a pas arrêtée, face à mon épaisseur, elle a ouvert grand la bouche et m’a avalé tout entier. Je n’avais jamais reçu de gorge profonde, j’ai compris à quel point c’était agréable. Mais une fois ma bite totalement recouverte de salive, Anne-Laure s’est mise en position sur le lit, cul en l’air, reins cambrés à mort, raie ouverte à en exploser et elle m’a réclamé de lui préparer le fion et de la sodomiser. Enfin, en vrai, elle m’a demandé de l’enculer à fond, de lui prendre le trou de balle de toutes mes forces.

Anne – Laure une cliente très anulingus

C’était une première pour moi, le premier soir je n’ai pas osé lui lécher l’œillet, cela me rebutait un peu, j’y ai vite pris goût par la suite. J’ai craché sur le cône tout lisse, j’ai étalé ma salive et j’ai enfoncé mon pouce dans cette volupté étroite. Son anneau réagissait, il s’épanouissait pour mieux se rétracter puis recommencer. Mais elle s’est impatientée et m’a demandé de lui fourrer ma bite au fond. J’ai posé une main sur sa chute de rein, de l’autre j’ai dirigé mon machin circoncis au milieu de la cible. Je n’ai même pas eu besoin de faire quoi que ce soit, c’est Anne-Laure qui a reculé et s’est empalée sur mon engin gorgé de sang. Une fois bien plantée, elle m’a laissé piloter la suite. Je n’en revenais pas qu’une femme puisse prendre du rond comme ça. Jamais mes copines ne m’avaient autorisé à ne serait-ce qu’approcher leur petit trou avec mon gland, alors une sodomie complète, jamais je n’en aurais rêvé.

Je me suis lâché, j’ai fourré ce tunnel ténu avec toute l’énergie dont je suis capable, la première fois, j’ai joui très vite, mais je me suis attaché à contrôler ensuite mes éjaculations et j’ai pu tenir longtemps. Heureusement, car Anne-Laure était une marathonienne du sexe et de l’étroitchemin arrière en particulier. À chaque occasion où nous nous sommes rencontrés, nos coïts commençaient et finissaient par un assaut dans son cul.

Il faut dire que j’ai rarement vu une nana prendre autant son pied, elle avait cinq ou six orgasmes à chaque fois minimum, plus je lui tapais dans le fond, plus elle aimait ça et aussi que je l’insulte. Je devais la traiter de tous les noms et ces mots couplés à mes coups de boutoir la faisaient monter au plafond. Je devais lui demander, entre autres, où était ma bonne grosse queue, et elle répétait sans cesse « tu me l’as mise dans le cul ta grosse bite n’est-ce pas, oh, je suis une fille pas sage du tout, vas-y encule-moi, encule-moi fort … »

Lorsqu’elle avait déjà eu plusieurs décollages, je lui baisais la chatte, honnêtement il n’y avait pas grande différence, elle était hyper serrée de là aussi. Je prenais des photos, ses fesses écartées au maximum puis je jetais mon portable et je la défonçais de toutes mes forces. Elle criait tant qu’elle pouvait et ruisselait de mouille jusqu’à l’orgasme. Son derrière tremblait, je lui donnais quelques claques bien sèches et je regagnais le chemin de l’un des deux fourreaux. Son anus s’ouvrait, comme une petite bouche, réclamant mes assauts toujours plus puissants, plus profonds. Quand elle voulait que je jouisse à mon tour, elle me griffait les couilles avec douceur ou m’emprisonnait tout le paquet d’une main ferme, à chaque fois cela me faisait juter au fond d’elle. Elle se régalait ensuite à me voir fasciné de regarder mon sperme couler del’un de ses trous et souiller les draps.

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Paule


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