L’arroseur arrosé

La rédaction 22 juillet 2019

Fred, 39 ans, Haut-Rhin.

Ceux qui ont lu Polyeucte le savent bien : « Le désir s’accroît quand l’effet se recule. » dixit Corneille. C’est un peu ce qu’a vécu Fred, lecteur du Haut-Rhin, qui use d’un astucieux stratagème avec la belle Alex. Mais, au lieu d’arriver à ses fins, il reçoit d’abord une première paire de claques... Dans ce récit, c’est la femme convoitée qui mène la danse, ce que nous avons particulièrement apprécié. En prime, des descriptions savoureuses et des odeurs, un point trop souvent négligé chez nos lecteurs mâles. Messieurs, vous savez ce qu’il vous reste à faire pour être plus souvent dans interstron.ru…

Les vacances approchant à grands pas, il fallait trouver quelqu’un pour garder notre chienne. Alex, la meilleure amie de ma compagne, nous a gentiment proposé son aide. Pour éviter tout chamboulement, nous avons accepté son offre, à condition qu’elle vienne loger chez nous le temps de nos vacances. Le marché a été conclu sur le champ. Alex est une belle blonde trentenaire, célibataire, avec un cul à faire pâlir un aveugle. Pour ne rien arranger aux ardeurs masculines, elle se promène toujours en string, soit en minijupe, soit avec un jean taille basse d’où l’on voit dépasser la ficelle. Mon fantasme était de faire un trio avec elle mais elle était toujours opposée aux avances de ma copine. Néanmoins, elle était très ouverte et n’hésitait pas à parler de cul avec nous deux. M’avisant qu’elle resterait seule pendant ces deux semaines, j’ai « caché » dans un tiroir de la table de nuit le livre de Deborah Sundahl sur l’éjaculation féminine, ainsi qu’un gode spécial point G que je venais d’acheter à ma bien-aimée et deux films sur le squirting [ndlr: éjaculation féminine]. Avant de partir, j’ai bien pris soin de laisser le tiroir entrouvert pour qu’elle s’en aperçoive. J’avais quelque espoir de piquer sa curiosité ! Au cours des vacances, plusieurs coups de fil nous ont rassurés sur le bon déroulement de la cohabitation entre Alex et notre chienne, mais pas un mot sur une éventuelle découverte ! A notre retour, nous avons parlé de choses et d’autres, mais là encore, nada sur le fameux tiroir… Elle nous a simplement demandé de pouvoir garder les clefs encore quelques jours et s’est discrètement intéressée à mes horaires de travail.

Un soir, je suis passé chez mon buraliste acheter ma revue favorite et je me suis empressé de revenir à la maison pour pouvoir la lire. Mais, en entrant tranquillement dans la cuisine, je me suis trouvé nez à nez avec Alex. Mon coeur s’est mis à battre à mille à l’heure car nous étions mardi soir… C’est-à-dire celui où ma copine était à la chorale. Mon fantasme allait-il se réaliser ? J’ai posé interstron.ru sur la table et j’ai commencé à lui faire la bise quand deux grandes gifles m’ont ramené sur terre. Je lui ai demandé de se calmer et de m’expliquer les raisons de cet accueil viril. Elle m’a répondu qu’elle en avait marre d’être considérée uniquement comme un objet sexuel et qu’elle était offusquée par ce que je lui avais préparé ! Je lui ai rétorqué qu’elle ferait mieux d’arrêter de jouer à la sainte-nitouche. J’ai ajouté qu’elle ne se souvenait sûrement pas de la soirée où nous avions regardé ensemble un film de squirting alors que ma dulcinée dormait à l’étage. Visiblement, elle avait également oublié que je n’avais rien tenté ce soir-là, alors qu’elle m’avait avoué être à la recherche de son point G.

Sur ce, elle s’est approchée et m’a collé un smack sur les lèvres. Je n’y comprenais plus rien ! Alex m’a remercié pour mon initiative, puis elle m’a avoué que tous les jours, elle avait utilisé le gode et qu’elle avait même réussi à éjaculer quand elle était bien excitée. Elle ne savait pas comment me remercier. Je lui ai rétorqué qu’une simple démonstration me suffirait. Une nouvelle claque m’a cueilli en plein visage avec, en prime, un « espèce de salopard ». Alors que je m’attendais à ce qu’elle s’en aille, elle m’a pris par la main et m’a emmené à l’étage. J’ai eu tout le loisir de mater sa belle paire de fesses sous sa minijupe. J’ai senti mon sexe se dresser au moment précis où j’ai aperçu la ficelle de son string rouge.

Arrivé à l’étage, j’ai été très surpris de constater la présence de notre balançoire érotique et de notre boîte à sextoys dans la pièce. La petite coquine avait donc trouvé notre cachette. Je lui ai dit qu’elle méritait une fessée pour sa curiosité. Elle m’a immédiatement calmé en me menaçant de partir si j’entreprenais quoi que ce soit. Elle m’a chauffé en m’avouant avoir essayé toute la collection de godes (une vingtaine) et qu’elle adorait le gode-ceinture. J’ai rougi car c’était justement le gode qui m’était régulièrement destiné. Elle m’a averti qu’elle était au courant de mes « déviances » et qu’elle enviait même ma copine pour mon ouverture sexuelle. Elle m’a demandé de me mettre à quatre pattes et a descendu mon pantalon. Elle a commencé à me masser les testicules à travers mon caleçon tout en appuyant son majeur sur mon oeillet. Des « tu aimes ça salope » accompagnait ses caresses. Elle s’est saisie du plus gros plug, me l’a fait lécher (je me suis presque étouffé) et me l’a brutalement enfoncé dans les entrailles, sans préparatifs ! Elle a remonté mon pantalon aussi sec et m’a demandé de m’asseoir sur une chaise qui se trouvait devant la balançoire.

Elle a mis de la musique et a commencé à danser lascivement. Elle a ôté ses vêtements un à un pour ne garder que son soutien-gorge et son string. Elle s’est installée sur la balançoire et m’a fait signe d’approcher avec ma chaise. Étant une ancienne gymnaste, elle a pratiquement fait le grand écart à vingt centimètres de mon visage. Quelle vue magnifique ! Elle a commencé à parcourir langoureusement son entrejambe avec ses doigts et a tiré sur son string. La ficelle formait un parfait axe de symétrie avec son corps. Le spectacle était grandiose car son oeillet était coupé en deux et, de chaque côté de la ficelle, dépassaient ses grandes lèvres. Un vrai support pédagogique d’apprentissage de la géométrie. Elle a doucement retiré son string pour que je puisse voir toute son intimité. Un sexe glabre avec un ticket de métro au-dessus de son clitoris gonflé est apparu. La situation semblait beaucoup l’exciter car de la mouille suintait aux abords de ses lèvres. Elle a tâté doucement son bouton pour ensuite descendre le long de sa fente et finalement, remonter… À un certain moment, elle a carrément enfoncé deux doigts dans sa chatte en ébullition et les a ressortis pour mieux me les fourrer dans la bouche. Je me suis appliqué à bien les sucer, puis elle a saisi ma tête et l’a dirigée vers son entrejambe. Je l’ai léchée goulûment en m’imprégnant de ses effluves de femelle en chaleur. Des petits cris de contentement s’échappaient de sa bouche. Mais ça ne lui suffisait apparemment pas… Elle a brusquement amené ma tête vers le bas pour que je lèche son anus. Pendant que ma langue entrait dans son fondement, j’en ai profité pour la pénétrer avec mon nez. Sa mouille coulait sur mon visage.

Elle m’a supplié de lui amener le gode spécial point G. Elle s’en est saisie et se l’est immédiatement enfoncé. Pour faire durer son plaisir, elle a mis la vitesse la plus lente et m’a demandé de lui doigter le cul tout en lui léchant le clito. Je sentais les vibrations du sextoy de l’autre côté de la paroi anale. J’en ai profité pour tapoter le gode avec mes deux doigts emprisonnés dans son fourreau. Au bout de quelques minutes de ce traitement, des contractions sont arrivées. Elle a jeté le gode au sol et m’a attrapé la tête. J’ai vu couler un liquide de son gouffre béant avant d’être frappé au visage par un puissant jet. J’ai ouvert la bouche pour recueillir deux autres jets moins conséquents et j’ai immédiatement avalé cette liqueur que je ne connaissais pas auparavant ! Un râle de jouissance l’a achevée, et je me suis empressé de récupérer les dernières gouttes du nectar 100 % pur jus. J’en ai profité pour lui faire une petite toilette intime. J’avais une gaule du tonnerre ! J’ai déballé ma verge et je me suis approché pour la pénétrer. Mais là, vlan ! Un violent coup de genou dans les côtes m’a fait reculer! Elle m’a demandé de la laisser récupérer quelques instants avant la suite des ébats. Une fois revenue à elle, elle est descendue de la balançoire et m’a annoncé que le spectacle était terminé.

Elle est passée nonchalamment devant moi et a commencé à se rhabiller. Elle n’allait pas me laisser dans cet état sans rien faire, quand même ! Si ? Elle m’a suggéré d’utiliser le mode manuel pour me finir. Elle est quand même venue se blottir derrière moi. Elle a attrapé ma tige tout en tapotant sur le plug qui était toujours en moi : « Ça te plaît, hein, petite salope ?« , a-t-elle encore ajouté. Ce traitement m’a rapidement fait cracher. L’orgasme a été d’une intensité rare. Un long jet peu puissant, mais ininterrompu s’est lentement écoulé de ma verge. Elle m’a saisi par les cheveux et m’a fait déguster ma liqueur à même le sol. Elle m’a laissé là et a ouvert la porte pour partir. Je lui ai demandé si une deuxième séance était probable à l’avenir, mais un cinglant « TU RÊVES !« a tout de suite mis un terme à mes espoirs. Je me sentais encore bien excité, alors j’ai décidé de me masturber à nouveau en regardant les photos du dernier numéro d’interstron.ru. Mais à peine arrivé dans la cuisine, j’ai réalisé que la garce m’avait subtilisé mon magazine ! Ma copine a été surprise de me voir nettoyer le sol quand elle est rentrée à 21 h. J’ai dû lui expliquer que j’avais renversé un verre… Et ensuite, il a fallu la combler. Elle s’est étonnée de la trique que j’arborais. Normal je repensais en fait à l’entrejambe de sa copine.

Deux années se sont écoulées depuis cette aventure sans aucune allusion ni confidence de ma part, alors je décide de me lancer car je ne peux plus garder ce secret. Que va-t-il se passer quand ma bien-aimée va le découvrir… Quand elle va se voir en photo dans interstron.ru ? Peut-être vais-je tout perdre… Ou peut-être pourrai-je un jour assister à mon premier trio ? Je prends le risque tout en sachant que la condition sin qua none est que je sois publié dans mon magazine fétiche ! Ci-joint une photo de ma bien aimée dans sa position favorite.

(Photo à la une : Getty Images)

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