Chaude comme une Québécoise

La rédaction 4 juin 2019

Nahel, 19 ans, Bourges.

Chaude comme une Québécoise

Je vous écris pour vous dire que j’adore les histoires que les lecteurs racontent. Moi aussi j’en ai une. Ce n’est peut-être pas la plus excitante du monde, mais c’est marrant. En septembre, je suis allé en boîte avec des potes et des copines. J’étais bien décidé à me pécho une meuf. J’ai 19 ans. Je m’étais mis en mode beau gosse, petite chemise, pantalon ajusté, gel dans les cheveux. On est arrivés dans la boîte vers une heure du matin, il y avait pas mal de monde.

Avec mon pote Arnaud, on s’est un peu isolés du reste du groupe, histoire de faire des repérages. À notre droite, il y avait une bande de trois filles qui riaient et parlaient super fort en nous lançant des petits coups d’oeil pour voir si on les remarquait bien. Les meufs, elles sont comme nous, elles ne vont pas en boîte pour faire de la broderie. Elles chassent aussi. Avec Arnaud, on est allés leur parler. En fait, elles étaient québécoises, elles avaient cet accent super fort. C’est trop bizarre de voir une jolie fille avec un accent comme ça, je ne suis pas fan. Mais bon, je plaisais à la petite brune donc, accent ou pas, j’avais bien envie de me la taper. Je n’ai pas eu à faire d’efforts, c’est elle qui m’a proposé d’aller jouer ensemble, après m’avoir mis une bonne main au paquet. Je lui ai pris le bras en direction de la sortie.

J’avais du mal à marcher à cause de mon érection. Au dernier moment, elle m’a attiré aux toilettes des hommes. On est entrés à deux dans la cabine. Pendant que je refermais la porte, elle a eu le temps de soulever sa jupe et d’enlever son string. J’hallucinais. Elle était complètement épilée, et sa petite chatte avait une super jolie forme. J’ai déboutonné mon pantalon et baissé mon caleçon. Elle a hoché la tête en regardant mon pénis et elle m’a dit de son accent inimitable : « Classe, la bite. » Euh… Je ne savais pas qu’elles parlaient comme ça les Canadiennes. Ça m’a même un peu fait débander. Je l’ai tournée pour ne plus la voir, et la forme de son joli petit cul rond et ferme m’a permis de retrouver ma dureté. J’ai enfilé rapidos une capote. Je lui ai palpé les seins en lui disant de se taire, qu’on allait se faire repérer. En réalité, je m’en foutais qu’on nous entende, je voulais juste qu’elle arrête de parler pour me concentrer sur ma baise. Je l’ai doigtée, et son odeur d’excitation est remontée à mes narines, une odeur entêtante. J’ai joué avec son bouton, normal, elle était déjà pas mal humide.

J’ai frotté ma bite dure comme du béton contre sa raie, et je l’ai entendue dire : « Ben, fourre-moi ! » Je l’ai pénétrée en lui posant la main sur la bouche. Et là, je me suis mis à lui fracturer le bassin à coups de zob. Elle gémissait de plus en plus fort, c’était trop grillé qu’on était en train de baiser ! Quand ma main s’est retirée de sa bouche, elle a dit encore un truc hallucinant. Mot pour mot, c’était : « Tape dans le fond. » J’ai tout donné. En vérité, je voulais que ça finisse avant qu’elle ne me sorte encore un truc à la con, avec son accent québécois. Je faisais cogner mes couilles contre son cul et je la bourrais avec une force surhumaine. J’avais les yeux fixés sur sa jolie nuque, je la limais sans discontinuer, le plus fort possible. J’ai senti la sève monter. Je me suis sorti de sa chatte, j’ai viré ma capote et j’ai déchargé sur son petit cul rond.

Ensuite, on s’est rhabillés et on est allés danser. Il y avait un type dans les chiottes qui nous a lancé un drôle de regard. Elle voulait venir chez moi pour continuer. Mais je n’en avais plus trop envie. Et de toute façon, j’habite encore chez mes parents, alors ramener une meuf comme ça, c’était chaud. En tout cas, elle était bavarde ma Québécoise, mais elle était bonne. Voili voilou, c’était ma petite histoire.

(Photo à la une : Getty Images)

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Déflorée dans les toilettes
« Cette fois, les toilettes des femmes étaient ouvertes. Dans l’étroite cabine, Fouzia m’a plaqué contre la paroi et m’a embrassé fougueusement. » Jérémie.

À l’arrière du restaurant
« Elle a appelé le serveur, prétextant un problème. La porte à peine fermée sur eux, elle a sorti sa queue pour le sucer. Trois petites minutes plus tard, elle est ressortie. » Pascal.

À retrouver sur notre plateforme VOD 

Attention petite bombe ! Nelly est une petite brunette vêtue d’une combinaison-collant noire qui lui va superbement et ce n’est pas Rick qui va dire le contraire. Ça va l’exciter comme un dingue… Et hop leur partie de jambes en l’air est dans la boîte et rien que pour vous !


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