Voyages de noces
13 octobre 2023Patrick et son épouse sont parties en vacances en Tunisie pour fêté leur 40 ans de mariage Retour dans les années 80.
Voyage dans le temps !
Retour dans les années 80 ! C’était l’époque du top 50 et des tubes cathodiques ! Nous étions partis en Tunisie pour notre voyage de noces avec Patrick en Tunisie, dans une suite d’un grand hôtel. C’était immense et, chose rare, nous avions le privilège d’un jardin privatif. Dès notre arrivée, j’ai su que l’appareil photo flambant neuf de mon époux n’allait pas servir qu’à immortaliser les paysages !Je vous raconte mon histoire de sexe.
Je ne me suis pas trompée, cela a commencé dans la chambre, dès que j’étais à moitié nue, j’entendais les clic-clacs du déclencheur et le bruit caractéristique de la gâchette d’avancée de la pellicule. Pour éviter les marques de bronzage, je ne gardais que le bas de mon maillot de bain dans le jardinet. Mais une fois dans le secret de notre suite, c’était le festival tout le temps ! Patrick me demandait de poser, et capturait mes seins aux tétons saillants,mes fesses puis ma chatte et mon anus, cela le faisait bander systématiquement. Il s’approchait alors vers ma bouche et ses yeux me suppliaient de le sucer. J’adorais déjà sa longue queue au gland imposant, je m’exécutais donc avec une soumission feinte, en bonne « petite jeune mariée » pas très farouche.
Je le pompais en émettant beaucoup de bruit, comme nous l’avions vu dans les VHS de pornos de cette époque. Je le fais toujours aujourd’hui. Cette pipe durait à l’infini, la fellation c’est vraiment mon truc. Lui, infatigable, mitraillait mon visage de madone avec son pieu entre les lèvres ou posé sur ma joue. Il ne lâchait son cher boîtier qu’à regret, mais comment venir me lécher la raie avec son jouet en bandoulière ? Sa langue était un insecte fou et précis à la fois. Il n’a jamais eu de tabou et, déjà à cette époque-là, me bouffait non seulement la chatte, mais aussi le petit trou. J’avoue avoir été un peu étonnée la première fois néanmoins j’ai vite compris le bénéfice que j’en tirais. J’étais sensible au niveau de cette muqueuse cachée, mais cela m’excitait terriblement de me laisser ainsi lécher l’oignon.
Nous n’avions pas de sex-toy à cette période, Patrick, lors d’une soirée arrosée, s’est servi d’une demi-bouteille en verre comme d’un godemichet. Fin au niveau du goulot, le col s’évasait doucement et quand il me pénétrait, cela dilatait mon vagin, j’étais tout ouverte. La main sûre de mon époux prodiguait alors des impulsions de plus en plus fortes au flacon, froid au début, il chauffait au fur à mesure jusqu’à des orgasmes extravagants.
Quarante ans de jouissance
Évidemment cela a donné des idées à mon vicieux de mari ! Après tout, c’était notre voyage de noces, il fallait bien tout essayer et bien m’en a pris ! Après m’avoir préparé le cul avec son nouveau joujou, Patrick m’a enculée avec son gros engin, allongée sur le dos, je l’ai vu sucer le goulot et me le glisser dans la fente. J’ai eu l’impression d’exploser ! Le pénis énorme de mon mari dans le derrière, la bouteille qui m’éclatait la moule, c’en était trop, j’ai hurlé tellement fort que les voisins de la suite d’à côté ont tambouriné comme des bœufs sur le mur mitoyen !
Tant pis pour eux, nous étions là pour dix jours et je voulais tout donner à l’homme de ma vie. Nous avons même baisé dans la piscine de l’hôtel une nuit, sans être certains que personne ne nous espionnait. C’était délicieux de faire ça dans l’eau chaude sous le ciel parsemé de myriade d’étoiles scintillantes.
Dès que je le pouvais, je suçais Patrick, sa queue était devenue l’objet de toutes me convoitises, la pompant jusqu’à ce qu’elle me délivre tout son jus sucré dans la bouche. J’ai tout de suite adoré son sperme, le flux de ses éjaculations était puissant et garnissait mon palais d’une crème onctueuse que je dégustais jusqu’à la dernière goutte.
Le dernier soir, nous nous sommes aventurés dans les jardins fleuris, un transat isolé nous a tendu le bras, la lune blanche donnait au paysage une apparence surnaturelle, Patrick me caressait les fesses, il a glissé sa main dans ma culotte pour aller taquiner directement mon petit trou. J’ai mouillé instantanément, c’est moi qui ai enlevé mon bas et, en appui contre le dossier, j’ai offert ma croupe d’albâtre, Patrick bandait fort, il a enduit son gland de salive et m’a enculée là, debout au milieu des palmiers. Son foutre a giclé sur mon dos tandis que je m’astiquais le bourgeon et que je jouissais en sentant la semence chaude éclabousser ma peau.
Quarante ans plus tard, nous sommes aussi amoureux et cochons, nous baisons le plus souvent possible et la queue de mon homme me fait toujours autant d’effet !
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