À la recherche du temps perdu
16 mars 2022Armelle s’envoie en l’air avec le stagiaire cochon ! De l’interrogatoire torride à la sodomie, il n’y a qu’un pas qu’ils vont allègrement franchir !
Mon Dieu ! Je retombe sur ces photos et je ne peux m’empêcher de voyager dans le temps. J’ai longtemps hésité avant de vous écrire et puis zut ! Il y a prescription. Ah ça, on peut dire qu’elle en a vu des choses, ma vielle reproduction de Kandinsky ! Elle est toujours là, accrochée au mur, mais mon ordinateur s’est rajeuni tout comme mes amants.
Je dis ça, mais je me souviens très bien à qui appartenait cette bite qui me défonçait le cul ! Maxime ! Le petit stagiaire vicieux du service commercial.
Un stagiaire cochon
Je l’avais repéré dès son arrivée dans l’entreprise ! En tant que gérante je me devais de l’accueillir, de lui faire faire le tour de la société et de l’aider à approfondir ses compétences.
J’ai toujours eu un radar pour dénicher les belles queues et les gros cochons. Et si le talent n’attend pas le nombre des années, la perversion non plus, semble-t-il !
J’avais déjà surpris Maxime en train de peloter plusieurs secrétaires et je n’étais pas dupe de ses longs séjours aux toilettes. Je savais qu’il culbutait au moins deux donzelles et que le reste du temps, il se branlait.
Je l’ai donc convoqué un soir, après que toutes mes équipes soient parties. Je l’ai mis sous pression. Persuadé que j’allais le virer, il a tout avoué. Alors que je lui demandais de force des détails, il a compris que je jouais un double jeu. J’ai défait ma robe portefeuille et lui suis apparue dans la tenue d’Eve.
Aux seins de l’entreprise
Mes gros seins étaient bien mis en valeur et j’ai senti ma vulve proéminente s’épanouir lorsque je suis monté m’asseoir sur le bureau. J’ai écarté en grand mes cuisses devant ses yeux devenus fous !
Ah que c’est bien d’être une patronne. Je n’ai eu qu’un geste à faire et j’ai eu le droit à un des meilleurs cunnilingus de ma vie. J’avais bien pressenti ce garçon, un pro, un amoureux de la foufoune et de la petite porte. Il m’a littéralement bouffé de partout ! Sa langue était dix, cent, mille. Il m’écartait les lèvres et faisait saillir mon clitoris que j’ai très développé, comme une mini queue.
Il a aspiré mon gros bourgeon. Il l’a éreinté à force de le mâchouiller, de le liquéfier, de le téter. Je ne sais plus combien j’ai eu d’orgasmes. J’avais la tête qui me tournait lorsqu’il m’a rejointe et s’est glissé sous moi. Le petit caméscope que j’avais toujours dans un de mes tiroirs bien calé contre un volumineux dictionnaire. Maxime s’est assuré qu’on « voyait bien tout » et il m’a laissée m’empaler sur sa bite épaisse et dure comme une barre d’acier. Ah, c’est beau d’avoir la libido et les érections d’un gaillard d’à peine vingt-cinq ans.
Il a craché dans sa main et m’a enduit le trou du cul avec sa salive, quelques secondes plus tard son énorme chibre me défonçait la rondelle. Je crois bien me souvenir que, pendant les six mois qu’il a passés auprès de moi, jamais il ne m’a pénétré par la chatte. Il n’avait d’obsession que mon anus élastique, sa capacité à encaisser sa queue large et démesurément grande. Jamais il n’a pris la peine de s’aider de lubrifiant. De longues séances de bouffe minette puis il me sodomisait, comme ça, à la hussarde, quel que soit l’endroit où l’on soit. Dans la voiture, dans l’ascenseur, dans le parking, dans les toilettes.
Sodomie au bureau
Cela se terminait toujours pareil, il ne jouissait jamais dans mon fondement. Il s’arrêtait après m’avoir fait décoller un nombre incalculable de fois. Il me tripotait le clito et me donnait du mot cru en veux-tu en voilà. Enfin il se retirait prestement de mon fourreau, il y glissait plusieurs doigts et me fourrant d’une main et s’astiquant de l’autre.
J’ai reçu son foutre sur chaque centimètre carré de ma peau et de mes cheveux. Il avait des éjaculations explosives, pliniennes ! Ses giclées puissantes n’en finissaient pas et son sperme liquide me coulait de partout. Son plus grand délire ? Mes gros seins évidemment, mais aussi mon visage, mon postérieur, mes pieds, ma crinière. Ce qu’il adorait par-dessus tout c’était de cracher tout en haut de mon fessier et de regarder s’épancher sa semence jusqu’à ma fente. Elle tombait enfin en goutte-à-goutte sur la moquette de mon bureau qu’elle maculait sans vergogne.
Le lendemain, lorsqu’il revenait pour me défoncer, il me faisait mettre à quatre pattes à la recherche des stigmates de la veille pour mieux m’enculer ainsi, à sa disposition, le fendu bien cambré en levrette.
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