Double pénétration !

La rédaction 12 mai 2020

Jean-Charles, 45 ans nous raconte l’histoire érotique qu’il a eu avec sa femme Iris, et leur découverte mutuelle de la double pénétration

Bonjour, ici Jean-Charles, 45 ans, marié à la plus belle femme du monde, Iris. Notre histoire est digne d’un film. On s’est rencontré sur les bancs de la fac, c’est sur elle que tous les étudiants bavaient à l’époque, mais c’est moi qui ai remporté ses faveurs. Ça fait une bonne vingtaine d’années maintenant que nous sommes éperdument amoureux, et comme tout bon lecteur de votre revue, nous aimons le cul !

Iris a eu un délire un peu bizarre récemment, elle voulait tenter une double pénétration ! L’idée d’avoir ses deux trous bien remplis l’excitait beaucoup. Ça nous a un peu gêné tous les deux au départ car je ne suis pas du tout partageur, et elle, elle est loin d’être libertine. On s’est donc dit que la bonne façon de procéder, c’était d’y mettre un sextoy. Je n’y connaissais rien en jouet vibrant alors j’ai farfouillé sur Internet pour avoir une idée de ce qui lui conviendrait le plus. Sur un site très bien documenté avec différents tests, nous avons convenu que le plus raisonnable était de commencer par un petit vibro. Je me voyais de toute façon mal jouer de la concurrence avec un gros de 25 cm.

Il nous a été livré directement à domicile, ça nous a évité la honte en magasin. Iris l’a réceptionné un après-midi (elle travaille à domicile) et m’a envoyé un message pour me dire qu’elle avait très envie de le tester seule avec plein de petits cœurs et de points d’exclamation. Je suis resté insensible à son numéro de charme et lui ai dit qu’elle avait interdiction de l’utiliser sans moi. « Prépare-toi pour le grand soir ma chérie, je veux te voir avec de la belle lingerie… » Ai-je même ajouter pour faire monter le désir.

La fin de la journée au bureau a été difficile, mes pensées étaient obsédées par le fantasme d’Iris se faisant fouiller par les deux trous. Heureusement, mon patron n’a rien remarqué. Arrivé à la maison, je bandais comme un fou. Iris m’attendait sur le lit, elle avait sorti le grand jeu : elle avait mis des bas et le petit string que j’aimais tant, le lit était couvert de quelques pétales de rose, et une bouteille de champagne trônait dans son seau. Elle léchait le sextoy blanc d’un air nonchalant. J’étais prêt à lui sauter directement dessus, mais je me suis contenu, savourant ce moment suspendu. Je lui ai demandé de se retourner et j’ai caressé ses belles fesses. Je me suis lentement déshabillé à mon tour, retirant ma cravate et mes chaussures. J’ai frotté ma bite contre son cul, son si mignon trou dans lequel j’allais plonger corps et âme. Elle roucoulait de plaisir, on aurait dit deux jeunes tourtereaux qui faisaient l’amour pour la première fois. J’ai mis un peu de lubrifiant sur le jouet intime et l’ai mis en marche. Il faisait un peu de bruit, mais rien d’insupportable. Avec une infinie lenteur, je l’ai fait rentrer en elle, jouant légèrement sur l’inclinaison, la pression sur la paroi. Son souffle commençait à devenir de plus en plus sonore, signe qu’elle y prenait du plaisir.

J’ai alors enfoncé tendrement mon gland dans son cul, suivi, millimètre après millimètre du reste de ma tige. Iris hurlait littéralement. « C’est tellement bon ! C’est tellement bon ! C’est tellement bon ! »

Je sentais les vibrations du sextoy contre ma queue, j’ai trouvé ça un peu gênant au départ et puis pris dans le feu de l’action, c’était plus excitant. Le sextoy ne tenait pas facilement en place, et je devais le repositionner régulièrement, ce qui était assez gênant.

J’ai rapidement éjaculé dans son cul. Puis elle s’est écroulée sur le lit, un large sourire lumineux aux lèvres.

« On ressaiera ma princesse, lui ai-je soufflé à l’oreille, mais avec une vraie personne, ça sera beaucoup mieux… »

Depuis, on cherche activement une personne pour un plan à trois, j’y pense parfois au bureau. Et mes journées sont de plus en plus difficiles…

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Une double pour Elisa

« Elle a gémi, je me suis enfoncé en elle de tout mon long. Je l’ai remplie, j’ai comblé ce boyau jusqu’à y être complètement englouti. Mes couilles se sont blotties entre ses douces cuisses. Nous avons baisé son cul, sa bouche et sa chatte tour à tour jusqu’à ce qu’elle nous supplie de la prendre tous les deux en même temps. » Charles, 33 ans.

Coup double

« Pour m’occuper la bouche, je suçais mon précieux jouet. Quand il est redevenu bien humide, j’ai dit à mon homme que je voulais une double pénétration : c’était tellement bon d’avoir une bonne bite et un joli gode dans le même trou ! L’extase ! Ses doigts continuaient à me remuer le clitoris quand j’ai fini par exploser de plaisir. »Julia, 42 ans.

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La rédaction


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