Céder à la tentation
29 décembre 2022Je parcourais des yeux la lettre griffonnée accompagnée du colis en carton avec affolement. Il savait toujours comment jouer avec mes nerfs ! Cédric et moi avions l’habitude de nous lancer des petits défis. Entre meilleurs amis de longue date, c’était devenu un rituel important dans notre relation, et nous avions tous les deux trop de fierté pour cesser ce jeu puéril. Mais là, il y allait vraiment fort ! Je m’appelle Jenny, j’ai 21 ans et voici l’histoire de mon défi porno.
Un cap ou pas cap
« Chère Jenny, comme tu m’as confié il y a quelques jours au téléphone que tu étais très angoissée à l’approche de ton examen oral d’anglais, j’ai décidé de te porter secours. Quel meilleur ami ne le ferait pas ? Tu trouveras dans le coffre une jupe rose taille 34, un débardeur bleu bien décolleté et un stick de rouge à lèvres écarlate. Tu devras porter le tout durant ton oral ! Non, ne me remercie pas, je sais que maintenant, ce n’est plus la grammaire anglaise qui te stresse le plus mais la façon dont tu arriveras à cacher les rondeurs de tes fesses. Affectueusement, Cédric. »
Et c’est comme ça que je me suis retrouvée face à mon examinateur, archimoulée dans une jupe trop courte et un haut indécent, à essayer de baragouiner en anglais une analyse pertinente d’Oscar Wilde. Derrière ses petites lunettes rectangulaires et ses cheveux grisonnants en bataille, je le voyais lorgner sur ma paire de loche qui débordait littéralement de mon petit haut. « lnteresting, miss. Go on ! » m’a-t-il invitée à poursuivre.
Je maudissais dans ma tête Cédric et nos jeux stupides et me suis promis d’arrêter ces enfantillages dès la fin de l’entretien. J’étais en train de me lancer dans une étude pointue du Portrait de Dorian Grey quand j’ai senti sa main glisser sur mon genou par-dessous la table. J’ai essayé de faire comme si de rien n’était et ai continué, imperturbable, mon analyse. Je sentais ses doigts remonter de plus en plus haut et s’aventurer sur ma culotte. « Et merde, il doit s’apercevoir que je suis trempée » me suis-je dit.
Un entretien en profondeur
Sa seconde main est venue caresser la mienne. J’étais trop gênée pour continuer à parler. Il s’est penché et m’a embrassée fougueusement. Il m’a collée contre la table et a sorti son sexe, énorme et dur, de son pantalon à pincettes. « Suck it ! », m’a-t-il ordonné. Je me suis mise à lécher de tout mon soûl sa grosse bite. De ses mains libres, il a fait jaillir mes seins hors du débardeur et a soulevé ma jupe pour dévoiler ma culotte. Il me branlait, me palpait, me tripotait de partout, et moi, je continuais à le sucer de plus en plus fort.
D’un coup, il a baissé ma culotte, a éjaculé sur mon cul et a remis mes vêtements en place, comme si de rien n’était, « Bon, ça y est nous pouvons poursuivre mademoiselle » m’a-t-il dit avec son accent so british. Je l’ai regardé avec étonnement. Il m’a simplement répondu : « Ce n’est pas à vous que je vais l’apprendre, non ? Le meilleur moyen de résister à la tentation c’est d’y céder. »
Ah ! Oscar Wilde…
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