Première pipe pour la voisine

La rédaction 9 août 2021

Je ne pensais pas avoir une vocation de prof de baise et pourtant, depuis quelques semaines, je joue les instructeurs avec ma voisine de palier. Je m’appelle Samir, j’ai 32 ans et voici comment mon histoire porno a commencé…

Je lui plaisais

Sabine s’est installée avec son mec dans l’appart d’en face il y a environ un an. Je la croise de temps en temps dans les escaliers, et on bavarde. Je sens depuis le début que je lui plais, mais elle est avec son keum, un gros relou qui ne sort quasiment jamais de chez lui. C’est Sabine qui fait bouillir la marmite, et je me demande pourquoi elle reste à s’occuper de ce boulet.

Un jour que je galérais dans l’escalier à porter un carton de vaisselle et une lampe que je venais d’acheter, je suis tombée sur elle. Elle descendait de chez elle, mais quand elle a vu que j’avais du mal à ne rien casser, elle m’a proposé son aide. J’ai accepté et on s’est retrouvés chez moi.

Quand elle m’a dit qu’elle pouvait me filer un coup de main pour déballer la vaisselle, j’ai senti qu’elle avait envie de compagnie. Je n’y suis pas allé par quatre chemins. « Ça ne va pas à la maison ? » Elle a rougi… Et puis elle a tout balancé. Que son mec la traitait mal, qu’il ne cherchait pas de boulot et l’empêchait de voir ses copines, et puis aussi qu’elle s’ennuyait avec lui, surtout au lit. Cette dernière confidence a laissé un gros blanc.

Sabine a levé les yeux vers moi, toute rouge. Je n’ai pas laissé filer cette occasion. J’ai posé l’assiette que j’avais dans la main et je l’ai entraînée dans ma chambre. Là, je l’ai regardé en détail. Elle était vraiment belle avec ses yeux noisette et sa bouche sensuelle. Son corps était en plus très bien fait, un gâchis de ne pas en profiter ! J’ai allongé Sabine sur le lit et j’ai relevé son t-shirt pour embrasser son ventre, remontant peu à peu vers les nichons.

Elle n’a pas du tout joué les effarouchées. Au contraire, on aurait dit qu’elle attendait qu’on s’occupe d’elle… Je lui ai bouffé les seins à pleine bouche, pinçant ses tétons tout durs entre mes dents. J’ai ensuite baissé son pantalon, dévoilant une belle touffe odorante. Sans hésiter, j’ai plongé mon nez dedans, me régalant du jus salé qui coulait déjà en abondance.

La guider vers la jouissance

J’ai ensuite eu envie qu’elle me suce. Le goût de sa chatte m’avait enivré et je voulais qu’elle me rende la pareille. Mais devant ma demande, Sabine a rechigné. J’avais sorti mon engin, et les regards qu’elle jetait dessus ne faisaient pas de doute sur son envie, mais quelque chose la retenait. J’ai demandé pourquoi elle ne le voulait pas dans la bouche. Alors, Sabine a expliqué. Son mec était le seul homme avec qui elle avait couché dans sa vie et il n’aimait pas la pipe, il trouvait ça dégradant pour les femmes. Elle ne l’avait du coup jamais pompé. J’ai rigolé et je lui ai dit : « Ça n’est pas dégradant si c’est bien fait. Laisse-moi te montrer. »

Je me suis assis près d’elle et j’ai rentré mon pouce dans sa bouche. « Tète doucement, comme un biberon », j’ai expliqué. Sabine, très appliquée, a suçoté mon doigt. Je l’ai fait coulisser doucement entre ses lèvres, puis j’ai passé la main dans ses cheveux. Lentement, je l’ai guidée vers mon gourdin, en lui laissant toujours le pouce dans la bouche. Enfin, j’ai replacé mon doigt par mon sexe.

Les petites succions timides de Sabine m’ont mis le gland en feu. On aurait dit un petit animal en train d’aspirer le lait de sa mère. Je l’ai laissé prendre confiance, la guidant de mes mains. Progressivement, Sabine s’est mise à avaler ma queue avec plus d’envie. Je grognais et je l’encourageais à me prendre carrément en gorge, ce qu’elle a fini par faire. Pour une première, ça n’était pas mal… Au bout d’un quart d’heure, elle était bien emmanchée sur moi et je pouvais même appuyer sur sa tête pour aller au fond de son gosier !

La garce faisait un bruit hyperexcitant en me pompant à fond. Elle ravalait sa salive, et je sentais mes couilles prêtes à m’envoler quand le liquide repartait dans sa gorge. J’avais envie de lui cracher dans la bouche mais je n’osais pas. C’est elle qui a donné le signal. Elle a relevé la tête et m’a dit, les yeux dans les yeux : « Je veux ton foutre. ». Je lui ai collé le nez dans mes poils, l’obligeant à avaler ma queue en entier.

Je n’ai pas pu me retenir de l’insulter un peu, lui disant qu’elle était la plus bonne des suceuses et que j’allais lui retapisser les amygdales. Ça a motivé Sabine encore plus, la cochonne s’aventurant même avec son doigt du côté de mon anus. Surpris, j’ai lâché un flot de sperme hallucinant, insultant la garce de plus belle. J’ai alors cru qu’elle allait recracher mais, très lentement, elle a avalé rasade après rasade ma sève épaisse.

Sabine n’a pas quitté son mec depuis mais elle vient de plus en plus souvent à la maison. J’espère bien qu’elle finira par faire ses cartons pour vivre ici : j’ai encore des tas de choses à lui apprendre.

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