Kilt ou double

La rédaction 17 mars 2021

Jean, 51 ans, nous raconte sa folle aventure coquine : une drague assumée de la part de deux jeunes brunettes séduites par son kilt !

Voici mon histoire de cul. Vieux rêve depuis des années, je me suis enfin lancé dans l’achat de deux magnifiques kilts. De véritables tartans écossais avec tout le tremblement. Pardon mais je ne résiste pas à vous étaler ma (nouvelle) science : chaussettes, fixes chaussettes, flashes (les petites bandes de tissu coloré qui dépassent du rabat des chaussettes, sporran (la besace en cuir qu’on porte sur le devant), gilet en laine, bijou de kilt (ou kilt pin) et bien sûr un sgain dubh (le petit couteau damassé glissé dans une chaussette).

Je me suis dit qu’après tout, à cinquante ans passés, si je ne réalisais pas ce genre de rêves simples, j’étais un foutu idiot. Bien m’en a pris, voyez plutôt !

Me voilà donc allant faire mes courses par un beau week-end de mars, « enkilté » de pied en cape, portant avec fierté mon tartan à l’écossaise. Oui messieurs, dames, à vous, je l’avoue, j’avais la queue et les couilles à l’air !

Le froid, bizarrement, était beaucoup moins mordant que je ne le craignais et après quelques dizaines de mètres d’une marche rapide, j’ai senti la chaleur de la laine venir créer une bulle de protection sur mes cuisses et le reste.

Bien évidement ce à quoi je m’attendais s’est produit. De nombreux regards se sont tournés vers moi dans ma progression vers le marché. J’hésitais un instant à aller rejoindre mes commerçants favoris et puis zut ! On a qu’une vie. Mon choix était à prendre ou à laisser.

Jamais je n’aurais pensé qu’une telle ligne de démarcation se dessinerait aussi vite. La chose était entendue : les hommes détestaient, trouvaient cela ridicule ou pire, voyait en cet (dixit ces néanderthaliens) « accoutrement » une marque d’homosexualité (latente ou refoulée ?), les femmes ont adoré ! Toutes, sans exception !

J’ai refoulé plus ou moins gentiment les attaques sexistes, « old régime » et homophobes pour mieux me concentrer sur la gent féminine, toujours plus encline à apprécier les looks décalés et la mixité des tenues.  Certaines m’ont carrément interpellé pour me signifier qu’elles trouvaient même ça « super sexy » et le kilt m’allait à ravir. Que demander de mieux ?

Mes courses se sont déroulées entre compliments et étonnement, rythmées par la fameuse et inévitable question, réitérée un nombre de fois conséquent : « Et … qu’est-ce que vous portez en-dessous ? »

Interrogation attendue à laquelle j’ai systématiquement répondu : « Ah , Ah …  Mystère … » comme m’ont appris à le faire quelques écossais lors de matches de rugby. Enfin, lors de troisièmes mi-temps bien arrosées pour être plus précis. Mes amis gaëliques, du reste, ne m’avaient, eux, laissé aucun doute sur leur respect stricto sensu de la tradition ! C’est fou ce que la bière empèse les bedaines alors qu’elle fait s’envoler les kilts.

Mais revenons à mon marché, vers midi je me suis rendu au petit café à l’intérieur de la halle et j’ai commandé un whisky à Franck, le propriétaire des lieux, quand j’ai entendu deux voix féminines s’exclamer en chœur derrière moi « C’est pour nous ! »

Je me suis retourné sourire aux lèvres, je ne refuse jamais de me faire offrir un verre. Quelle surprise de découvrir deux jolies jeunes femmes, deux brunettes d’un mètre soixante environ qui se tenaient dans l’encadrement de la porte, l’une avait le feu aux joues, visiblement très gênées de m’interpeller ainsi, l’autre affichait un sourire éclatant et était d’évidence très sûre d’elle. La meneuse du binôme à n’en pas douter.

« Bonjour, on peut se joindre à vous ? Vous nous avez éclatées avec votre kilt ! Trop fort ! »

J’ai balancé mon plus beau sourire, mon sourire « BG » et j’ai pris ma voix la plus veloutée pour répondre un « Avec plaisir ! » d’une inconsistance et d’un artificiel navrants ! Qu’est-ce qu’on peut être crétin quand on se lance dans une parade amoureuse. Un vieil apanage lié à la reproduction sans doute ? Bref, j’ai fait la roue comme un beau paon dans sa basse-cour !

« Wouahou ! Et en plus vous avez une voix super sexy ! »

Comment dire ? Vous vous doutez que je trouvais la rencontre plaisante et pour le moins bien engagée bien que je n’avais aucun espoir de quelque nature que ce soit. Ces deux petites beautés devaient avoir vingt ans de moins que moi et, mis-à-part mon style décalé qu’elles trouvaient fun, c’était pour l’heure juste une rencontre sympa.

L’apéritif improvisé s’est soldé par quatre tournées, une offerte par Elisabeth (Babeth, la leader), une par Samantha (Sam), la troisième a été pour moi et la dernière par Franck, le patron de l’établissement. Autant vous dire que nous étions bien gais, bien pétillant des yeux et bien chauds ! Les courses de fruits et légumes pouvaient attendre, nous nous sommes finalement attablés et avons déjeuner ensemble. Babeth et Sam avaient déjà pas mal bourlingué du haut de leurs trente-deux ans et connaissaient bien l’Irlande et l’Ecosse, elles étaient toutes deux amatrices éclairées de whiskys et se sont révélées aussi passionnantes qu’érudites. Un vrai bonheur. Le temps a passé si vite que je ne me suis pas rendu-compte qu’il était déjà quinze heures, j’ai dû prendre congé non sans échanger nos numéros de téléphone. J’ai remercié pour les verres et je suis rentré ranger mes courses en titubant légèrement et en sifflant joyeusement. Cette parenthèse avait été un doux petit rêve éveillé.

Je me suis écroulé pour une sieste impérative et me suis préparé afin d’aller dîner chez des amis le soir même. L’ambiance était chaleureuse, mes amis et moi étions ravis de nous réunir et de passer un bon moment ensemble et, inévitablement, la discussion a glissé sur les amours et les espoirs de chacun. J’ai hésité à raconter mon aventure matinale mais je n’ai pu m’empêcher de faire le coq ! Mes amis me connaissent bien, ils ont facilement senti que j’avais quelque chose sur le cœur, enfin … le cœur ?

Parfois il y a des alignements planétaires incongrus, des coïncidences qui vous portent à voir des signes là où il n’y en a pas.  En l’occurrence, en plein milieu de mon récit, mon téléphone a vibré.

« Nouveau message du 06 54 … : UN dernier verre à la maison, ce soir 22H30 ? Babeth et Sam »

Nouvelle vibration : « 06 54 … vous a envoyé une photo » Les amis ont sifflé, aboyé, hurlé dans mon oreille. J’ai slidé mon écran en demandant à ce qu’on respecte mon intimité. Le brouhaha s’est tu et j’ai découvert mes deux brunettes en tenue sexy, jupe en tartan, chaussettes blanches au genou, topless avec les mains sur les seins mais avec les doigts juste écartés ce qu’il fallait pour laisser entrevoir de jolis tétons, roses pour l’une, bruns foncés pour l’autre. Une légende accompagnait le cliché « Nous aussi, on porte nos jupes à l’écossaise ! »

Il fallait s’y attendre, on m’a arraché mon téléphone des mains, le chahut bruyant a repris, on m’a envoyé des coups de coudes, les plaisanteries ont fusé et j’ai dû m’imposer pour récupérer mon smartphone avant que ces ostrogoths envoient une réponse aussi salace que disqualifiante.

J’ai réussi à recouvrer un peu de calme et c’est de deux mains tremblantes d’émotion que j’ai envoyé un « Avec plaisir, je serai là à 22H30 sans faute. »

Un bzzzzz m’a signifié la réception de leur adresse ainsi que du code de l’interphone. Il était presque vingt-deux heures, j’ai pris congé de mes amis sous un amalgame de huées amicales et d’encouragement … virils !

La route m’a paru une éternité, j’étais dans un brouillard d’excitation et de peur. Excitation parce que l’épilogue de cette soirée ne laissait que peu de doutes, peur car je me mettais sans doute le doigt dans l’œil, les filles me tendaient peut-être un piège pour me ridiculiser, peur aussi, si tel n’était pas le cas, de ne pas être à la hauteur. Tous les scénarios défilaient dans ma tête. Dans les plus optimistes je me voyais en enfiler une en levrette tandis que l’autre petit cul attendait sagement sa saillie à côté, dans les plus pessimistes, je me prenais une bassine d’eau froide en bas de la porte sous les rires moqueurs de ces deux belles petites salopes.

A cette heure tardive je n’ai eu aucun mal à me garer, je sentais mon cœur à la limite de l’explosion dans ma cage thoracique. C’était une première pour moi. Tout était une première en l’occurrence ! Deux femmes ! Me faire draguer sans ambages ! Un rendez-vous chaud aussi rapide ! J’étais sens dessus-dessous.

Je me suis évidemment emmêlé les doigts en tapant le code, une fois, deux fois, trois fois ! J’ai même cru à un moment qu’elles s’étaient bien moqué de moi, peut-être même m’avaient-elles envoyé à une adresse totalement bidon. J’ai respiré à fond, je me suis calmé, 3, 5, 8 et 1 … bzzzzz clic ! La porte vitrée s’est ouverte. J’ai sonné au nom qu’elles m’avaient donné. De nouveau le bourdonnement suivi du claquement de la libération de la gâche électrique, mon cœur s’est remis à battre la chamade. Ascenseur ou escalier ? Troisième étage, aller ascenseur me suis-je dit. J’ai monté les marches trois à trois et j’ai poussé la porte brune du palier. Un couloir feutré, sol en moquette, quelques cadres impersonnels aux murs et là-bas, au bout du couloir, un rai de lumière indiquant un huis ouvert.

J’ai marché le plus lentement possible, j’avais envie de courir et de me jeter littéralement dans l’appartement, j’ai fait un effort surhumain pour prendre une allure nonchalante. « … J’étais si content de moi, que j’ai fait l’amour dix fois, en chantant … » la ritournelle de Sardou s’est imposée à moi quand je me suis retrouvé au pied du mur, enfin, au pas de la porte.

J’ai toqué par correction, j’ai entendu au loin un « Entre, c’est ouvert !» Et je suis entré.

Une petite entrée cosy avec une console et le bouquet de tulipes que les filles avaient à la main au marché le matin même, une lueur tamisée provenant de ma droite m’a indiqué le chemin à suivre, j’ai débouché dans le salon.

Babeth et Sam étaient là, assises lascivement sur un canapé en tissus anthracite, un sceau à champagne et trois flûtes trônaient sur la table basse, elles étaient enlacées et se bécotaient doucement, elles étaient dans la même tenue que sur le mms reçu un peu plus, sans les mains sur les seins.

Je suis resté interdit un bon moment jusqu’à ce que Babeth tende une main vers moi, Sam se tournant tout en ouvrant « négligemment » les cuisses et m’offrant ainsi une vue plongeante sur son intimité surmontée d’un frisottis châtain.

Je me suis approché et les deux jeunes femmes se sont écartées afin de m’inviter à m’asseoir entre elles. Toujours en kilt j’ai juste eu le temps de me mettre dos au canapé pour se faire que j’ai senti deux têtes venir jouer les voyeuses et mater … le mystère de mes dessous !

« Oh mais c’est que Monsieur respecte effectivement la tradition ! »

J’avais les jambes fléchies (pas la posture la plus digne, je me suis néanmoins figé sur place, deux mains remontaient le long de mes cuisses et venaient caresser mes testicules et mon sexe !

Le temps s’est arrêté. Je ne réalisais pas ce qui se passait ou plutôt je ne le réalisais que trop bien. J’étais interdit, incapable de bouger, toujours le cul un peu en arrière, concentré sur les caresses sur mon paquet. Autant vous dire que ma queue, en mode plus que demi-molle à mon arrivée, s’est retrouvée au garde-à-vous en un éclair.

Les mains se sont enfin repliées, me permettant de m’asseoir et les filles m’ont demandé d’ouvrir la bouteille de champagne. Le bouchon a sauté au plafond, une écume (annonciatrice d’autres effusions ?) a jailli furieusement du goulot, j’ai rempli les flûtes et nous avons trinqué pour la cinquième fois de la journée ! Mais cette fois-ci plus question de palabres ou d’approche en douceur. Nous savions tous trois pourquoi nous étions là. Les verres à peine entrechoqués et la première gorgée de champagne avalée que Babeth me mangeait la bouche tandis que Sam rabattait les plis de mon kilt afin d’avoir accès à ma bite qu’elle a enfournée entre ses lèvres avec une aisance trahissant une longue pratique. J’étais sur un nuage !

Elisabeth m’embrassait divinement bien, j’ai osé porter mes mains vers ses seins, elle a immédiatement bombé le torse afin de m’offrir un accès plus facile à ses magnifiques nibards. Ni trop gros, ni trop petits, juste ce qu’il fallait pour emplir la main d’un honnête homme comme disait ma mère, de larges aréoles presque couleur chair au centre desquels trônaient des tétons aux allures de drupes (ces petites boules qui composent les framboises). Deux merveilles qu’elle m’a encouragé à torturer gentiment. Je me suis mis à pincer ses bouts de seins au même rythme que Sam suçait ma bite. Soutenu pour le moins.

Elle aspirait ma queue pour mieux la relâcher et la laisser rebondir doucement sur mon ventre, ma petite bedaine de quinqua ne semblait en rien les déranger, ni l’une ni l’autre, puis Sam crachait sur ma hampe, me branlait d’une main tout en jouant avec mes couilles de l’autre avant de me reprendre totalement en bouche.

Babeth s’est alors levée et a défait l’accroche de sa jupe, elle s’est retrouvée à poil devant moi, ses hautes chaussettes blanches pour unique vêtement, elle est grimpée de manière acrobatique sur le dossier du canapé et m’a tendu sa chatte imberbe à déguster. Les mains accrochées à ma tignasse poivre et sel, son fruit mûr s’écrasait sur ma bouche telle une figue gorgée de soleil et de jus.

Je n’aurais jamais pensé qu’il fut si difficile de se concentrer ou de profiter de deux plaisirs simultanés ! Mon cerveau était en mode alternatif ! Pendant quelques secondes je portais mon attention à la pipe magistrale que m’administrait Sam et ma langue s’engourdissait à l’entrée de la grotte de Babeth, les quelques secondes qui s’ensuivaient, je reprenais férocement mon cunni, savourant la cyprine abondante qui me coulait dans la gorge et me nimbait le visage mais je perdais le fil des sensations que me procurait la fellation.

Un instant je me suis imaginé star de film X ! Ce que j’étais en train de vivre était quand digne d’un porno ! Deux jeunes nanas se tapant un quinqua avec un petit bidou, tout ça parce qu’il portait un kilt ! Ne manquait plus que je fusse plombier et le décor d’un film de boules des années quatre-vingt était planté ! Mis à part un petit détail, ma queue est loin de ressembler à ces andouillettes AAAAA qui servent de pénis aux acteurs

La petite séance de gym a néanmoins fini par fatiguer Babeth qui est descendue de son perchoir, m’arrachant par la même mon roudoudou. La belle avait une autre idée en tête, je me laissais guider, ravi de ne pas avoir à prendre l’initiative. Elle m’a fait m’allonger sur le canapé et à inviter Sam à venir se positionner en soixante-neuf au-dessus de moi.  Après la chatte toute lisse d’Elisabeth, je découvrais le buisson taillé ras de Sam. Sa toison était douce et soyeuse, son sexe sentait divinement et fort et bon ce qui, pour moi, est loin d’être incompatible. C’est même, je l’avoue, un plus. J’aime les parfums marqués de musc et de désir, j’aime l’odeur du cul !

Et Sam m’a régalé ! Vingt-six ans et les hormones en folie ! Elle twerkait sur mon visage tout en partageant ma bite avec Babeth, agenouillée au sol, la tête faisant d’amples mouvements pour bien avaler puis recracher ma queue qu’elle branlait doucement lorsqu’elle se libérait de sa bouche.

Sam m’a bien fait comprendre qu’elle voulait ma langue partout, s’écartant les fesses de ses mains afin de faire saillir un petit anus en forme de cône parfaitement lisse. J’ai dardé mon appendice lingual au maximum et la petite salope est venue s’enculer légèrement, je sentais le sphincter légèrement poudreux de son trou du cul, un régal absolu. J’ai attrapé les globes charnus à mon tour et je lui ai manger l’abricot et l’oignon dans de grands mouvements désordonnés, pour finir, sentant la belle amatrice de plaisir anal, je lui ai enfoncé deux doigts dans son petit anneau tout en agaçant son clitoris. Cela lui a déclenché des tremblements puis, d’un coup, elle s’est figée, s’est arquée très fortement en arrière et a crié un simple mais très long « Je vieeeeens ! Ouiiiiii ! » tout en m’arrosant le visage et le cou de sa mouille aqueuse et légèrement acide.

J’avais besoin de reprendre mon souffle, j’avais mal au frein de ma langue tant j’ai papillonné, aux commissures des lèvres. On oublie souvent de le dire mais le sexe, c’est du sport par certains aspects ! Sic ! Nous avons fait une pause, deux flûtes de champagne, quelques petits fours et un grand verre d’eau plus tard, nous prenions la direction de la chambre. Les « choses sérieuses » pouvaient commencer.

Ma bite avait pris un peu de repos et était redevenue flasque mais j’ai pu compter sur mes deux acolytes pour redresser la situation en deux temps, trois mouvements et quelques succions délicieuses. Recouvrant ainsi toute ma superbe je me suis vu posé un préservatif avec beaucoup de dextérité par la bouche de Sam.

Sur le lit au milieu duquel s’est allongée Babeth trainaient quelques sextoys aux couleurs chatoyantes, dont un gros gode nervuré violet. Surprenant, ai-je pensé, chez deux jeunes femmes que je m’imaginais plutôt avec des jouets plus « girly ». Néanmoins il y avait aussi une de ces merveilles technologiques qui sollicite le clitoris sans contacts, une espèce de baguette mauve vibrante, des menottes, deux paddle et un des plus gros modèles de wand que j’ai jamais vu. Diable ! Ces deux jeunes filles avaient de la ressource à n’en pas douter.

Elisabeth a ouvert ses nymphes, deux doigts de part et d’autre de son sexe. Contrairement au salon, la lumière de la chambre était relativement vive et me prouvait, si besoin était, que la pudeur n’étouffait ni l’une ni l’autre. Je découvrais toute son intimité, dans les moindres détails, les pieds relevés presque au-dessus de ses épaules son anus baillait presque autant que sa chatte. J’ai profité de sa posture pour lécher de nouveau son calice puis j’ai glissé mon gland dans l’entrebâillement de ses lèvres intimes, j’ai poussé doucement et ma queue « passe-partout » s’est fichée en elle jusqu’à la garde.

Je me suis mis à la baiser avec vigueur et Sam s’est assise contre les oreillers à ses côtés, elle a, elle aussi, ouvert ses jambes afin de m’offrir son trésor et s’est mise à se caresser, à se doigter avant d’attraper le « suceur de clito ». Ses doigts ont délicatement décalotté sa larme de chair qui a éclos dans son écrin satiné et elle a appliqué la petite cloche en silicone dessus avec précaution. Les « flap, flap, flap, flap » caractéristiques de ces jouets qui aspirent l’air et créent la stimulation du clitoris ont empli la pièce et sont venus cadencer mes coups de reins et les ahanements de Babeth.

Cette dernière a eu, non sans que j’en tire une immense (et ridicule) satisfaction, une fierté macho mais qui m’a donné confiance en moi pour la suite et Dieu sait qi j’en ai eu besoin. J’avais oublié à quel point on est infatigable quand on a vingt-cinq ans.

J’ai, du coup, osé demandé à mes deux belles amantes si elles étaient partantes pour réaliser mon petit fantasme de l’après-midi, à savoir me présenter, côte à côte, leur croupe offerte en levrette au bord du lit. Elles ont accédé à ma demande en me souriant, en me caressant et en jouant les petites chattes dociles tout en me mettant à disposition la boite de capotes. Sage précaution, un peu contraignante mais tellement rassurante. J’ai donc possédé ces deux farouches, debout, bien sur mes appuis, claquant leur cul à la ronde et à leur demande, changeant de préservatif avant que de changer de partenaire. J’étais en eau, transpirant et respirant fort. Babeth et Sam m’ont offert une plage de répit en m’invitant à aller me rafraîchir en leur compagnie. Nous nous sommes savonnés avec beaucoup de sensualité, leur corps étaient somptueux sous la pluie fine dispensée par la pomme de douche. Seul regret, contrairement à mon intuition, elles n’étaient pas du tout attirées l’une par l’autre, rien de lesbien dans leurs gestes mais, compensation notoire, j’étais, du coup, le seul et unique récipiendaire de leurs caresses.

Nous nous sommes séchés, j’ai de nouveau eu le droit à leur Viagra naturelle, une magnifique fellation à deux bouches. Sam se caressait le sillon, je voyais ses doigts biller tant elle mouillait, Elisabeth se caressait les seins et étirait ses tétons à l’extrême, ayant repéré que cette vision m’excitait fortement.

Il était déjà trois heures du matin quand le baroud final a conclu cette nuit aux accents de conte de fée. Babeth a voulu jouir de ma langue pendant que j’animais un petit vibro très fin dans son anus. Elle a trouvé ma science du cunni hors pair et j’ai été ravi de lui montrer toute l’étendue de mes talents linguaux. Elle a été rapide à atteindre l’orgasme, orgasme qui a été bruyant et long.

Sam, elle, m’a demandé de lui lécher à nouveau le petit trou puis m’a chevauché en glissant ma queue dans son anus. La taille plus que raisonnable de mon membre l’avait rassurée quant à une possible sodomie. Elisabeth lui a tendu la baguette violette qui était en fait un stimulateur clitoridien. J’ai rarement connu pareille sensation, elle s’enculait sur mon pieu tout en appliquant la vibration sur son capuchon, elle a atteint le paroxysme du plaisir en lâchant le jouet et en plantant ses ongles acérés dans ma poitrine. J’ai ressenti une légère douleur mais la main de Babeth puis sa langue se sont posées sur mes couilles et elle a agacé mon scrotum du bout des doigts.

Je n’ai, cette fois, rien pu faire pour retenir mon éjaculation. J’ai joui au fond du cul de Sam dont je sentais l’anneau se contracter autour de ma hampe. J’ai attiré cette dernière à moi pour lui bouffer les seins et la bouche, nous avons finis dans un roulage de pelle à trois langues !

La pièce sentait la sueur, le musc, le cul, la chatte, le sperme. Nous avions les cheveux collés mais un sourire pugnace accroché aux lèvres.

Babeth m’a glissé à l’oreille « Tu dors avec nous cette nuit. »

Ça n’était pas une invitation mais un fait établi. Le lendemain matin nous avons remis ça, nous avons pris pas mal de photo de moi en kilt possédant divers orifices de mes nouvelles amies. Nous sommes tous les trois partis en Ecosse un mois plus tard passer quinze jours idylliques et formons désormais un trouple libre. La vie commence à cinquante ans ! Vive le kilt !

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