Ma collègue très coquine

La rédaction 3 juillet 2021

Au bureau, j’ai une collègue de 27 ans de qui je suis hyper proche. On se dragouille gentiment, c’est la personne qu’on a hâte de retrouver le lundi matin. Elle est brune-châtain, sensuelle, seins volumineux. C’est la star de l’open-space. Et elle avait tendance à beaucoup me parler de sa vie sexuelle avec son mec, mais je la soupçonnais d’inventer pas mal de trucs juste pour me filer la trique. Ça commençait à devenir de plus en plus chaud et je me demandais où elle voulait en venir… Je m’appelle Aymeric, j’ai 28 ans et voici mon histoire porno.

Elle était joueuse

Un jour, elle m’a demandé quel type de porno je regardais et je lui ai avoué en riant que je tapais souvent “gros seins”, “gros tétons” ou que j’aimais aussi regarder des vidéos amateurs pour voir des chattes au naturel, que je ne me lassais pas de regarder l’anatomie féminine. Elle a rigolé en me disant : “C’est marrant, on dirait que tu parles de moi.” Le soir même, elle m’a envoyé une photo d’elle. Elle était nue, angle en contre-plongée, un doigt sur le haut de son sexe aux lèvres ravissantes, ses seins moelleux et larges épanouis, et… d’énormes tétons bruns ! Très larges, gonflés, impressionnants, vraiment bandants pour moi qui avais ce fétichisme des gros mamelons. Elle m’a envoyé une autre photo avec un angle différent sur ses seins, en vue plus plongeante cette fois, où je pouvais voir ces deux disques dans toute leur splendeur. J’ai commencé à me branler, je ne pouvais pas faire autrement. J’ai juste envoyé un timide “merci, c’est beau”. Je crois qu’elle aimait mon innocence et mon respect d’elle.

Le lendemain, au bureau, alors que tout le monde était déjà parti en pause déj, elle m’a fait signe de regarder dans sa direction. J’étais assis à côté d’elle et elle a éloigné sa chaise à roulettes de son bureau pour baisser son pantalon et, cul nu sur le siège, elle a relevé les jambes pour me montrer sa chatte ! Elle avait les pattes pliées et elle écartait pour que j’en voie l’intérieur, le paysage de peau, les différentes teintes et couches, la joliesse de la chose. Elle m’a pris la main et m’a emmené dans la salle de la photocopieuse qui est aussi une salle de pause. Elle s’est installée sur un pouf qui était là avec des coussins, et a sorti de son sac un gros gode.

Elle a joué

Je flippais trop que quelqu’un arrive ! Pas elle. Elle m’a dit de la regarder, son t-shirt relevé sur ses seins pour que j’admire ses tétons magnifiques, et le vibro qu’elle plaquait contre son clito. Elle était vraiment vicieuse ! Elle se prenait en photo elle-même et elle m’a demandé de le faire aussi : elle avait ce côté exhib’ dont elle semblait jouir infiniment. Puis elle s’est mise vraiment toute nue pour que je la prenne en entier en photo, en posant les coudes sur le bureau d’un freelance qui était là avec son ordi allumé. Son cul à la peau blanche sous moi, son air mutin tourné vers mon visage, son corps tout entier à ma portée, accessible et en même temps si sublime qu’il me paraissait un peu sacré. Je me suis avancé derrière elle pour la prendre contre ce bureau bringuebalant. J’avais peur qu’il soit mal fixé, qu’il fasse trop de bruit ou qu’on nous surprenne, mais j’avais été beaucoup trop excité par ses tétons hypnotisants pour m’arrêter là et repartir dans nos bureaux. Elle m’avait jeté un sort et je ne voulais pas me défiler. J’ai enfilé une capote que j’avais dans mon portefeuille et je me suis collé à son dos, à sa peau laiteuse et chaude de femme si férocement habitée par le désir de prendre son pied dans n’importe quelles conditions ! J’admirais ce tempérament de furie, prête à tout sacrifier pour la luxure. Je l’ai prise avec ma queue raidie par nos préliminaires photographiques. Et je suis entré en elle en oubliant toute bienséance. Elle m’avait ramené à mon animalité et je devais la prendre comme si ma vie en dépendait.

Elle m’a trouvé

Je l’ai pistonnée et sa chatte souple s’élargissait à chacune de mes entrées pour masser mon chibre de l’intérieur. Elle faisait partie de ces femmes que j’aime, celles qui ne se font pas “que” prendre, celles qui vous font l’amour en elles, qui vous prennent elles aussi et dont la croupe rebondit avec vous, et dont la chatte fusionne avec notre sexe. C’était ça qui se passait et c’était trop fort. Il fallait qu’on accélère les choses, car la pause déj allait se terminer. Elle a attrapé son gros vibro bleu pour se le coller contre sa chatte tandis que je la sautais. J’ai senti son périnée se contracter avec les vibrations du jouet. Sa chatte a tressailli, elle était tellement vivante ! Puis, pendant que je la baisais, elle a passé une main entre nos cuisses pour venir coller la pointe du vibro sous mes couilles, tout doucement. J’ai joui comme un fou en elle dans les derniers coups de queue que je lui ai administrés et elle aussi elle vibrait de plaisir sous moi dans sa jouissance. Elle était nue et elle aimait se dire qu’elle pouvait être vue dans pareille posture. J’ai dû presque la rhabiller moi-même pour que personne ne se doute de rien ! Je suis retourné à mon poste et tout l’après-midi, elle est allée aux toilettes pour m’envoyer des photos de sa chatte. J’avais rarement vu femme plus généreuse !

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