L’essayer, c’est l’adopter !
4 juillet 2021Je m’appelle Clara, j’ai 26 ans et voici mon histoire porno : je vis en rase-campagne avec peu de divertissements depuis que j’ai quitté la maison familiale. Je rencontre quelques agriculteurs du coin, mais ce n’est pas folichon. Jusqu’au jour où j’ai été amenée à rencontrer un commercial en tournée dans la région pour vendre un bien auquel je ne m’attendais pas… des sextoys ! Ça avait fait l’objet d’articles dans la presse locale, ce monsieur qui vadrouillait au volant de sa voiture où s’empilaient des boîtes de godes et de vibros. J’avais lu tout ça avec curiosité et surtout, je trouvais ça intéressant que ce soit un homme qui soit représentant de la marque en question. J’avais vu sa photo dans le journal et j’avais hâte qu’il vienne toquer à ma porte ! Ce n’était pas tous les jours qu’un homme d’une trentaine d’années, jeune et vigoureux, s’aventurait dans la région ! Une vraie aubaine à mes yeux de jeune femme célibataire en milieu rural qui avait un peu les crocs (sous-entendu : envie de sexe). J’étais déjà toute troublée à l’idée qu’il sonne chez moi et je m’étais pomponnée au cas où. Complètement partie dans mon fantasme, j’avais même mis une sorte de body fendu au niveau de la vulve sous mes vêtements, un truc qui me faisait me sentir mega sexy, même quand personne ne le regardait directement.
Ce moment tant attendu a fini par arriver… J’ai donc ouvert à ce jeune représentant de sextoys quand il s’est présenté dans mon village et je l’ai fait entrer avec force cérémonie. Il avait prévenu de son arrivée en conseillant aux femmes de se réunir à plusieurs pour se sentir plus à l’aise, mais moi, je le voulais tout entier pour moi !
Isolée avec l’inconnu
Nous nous sommes installés dans le salon et il m’a déballé ses objets. J’étais très à l’aise et je l’écoutais avec intérêt. Il était tellement sexy quand il en parlait ! C’était un blond aux faux airs ingénus et je n’attendais qu’une chose : que ça dérape. Comme ça ne venait pas car il était trop respectueux, c’est moi qui me suis lancée. “J’aimerais vraiment juger de la qualité avant d’acheter, et même devant vous si ça ne vous dérange pas. Je ne dois pas être très originale, on a déjà dû vous faire la blague…” D’abord tout perturbé, le commercial s’est repris en me regardant avec intérêt. “Mais non, je vous en prie, ça me permettra moi aussi de mieux les vendre ensuite en ayant un retour direct de votre part.” Ah ouais, il voulait la jouer comme ça, le fripon ! Je ne me suis pas laissé démonter. Je me suis déshabillée sur mon coin de canapé et je me suis retrouvée nue, à écarter le tissu du body pour qu’il puisse bien voir ma chatte. Je ne la montrais pas souvent aussi directement, en plein jour, mais je ne sais pas, avec lui j’avais envie. J’ai d’abord saisi un gros vibro rose clair que j’ai activé pour me mettre dans l’ambiance et que j’ai frotté contre mon clito. Les vibrations étaient agréables, j’étais au diapason de l’objet, si bien que je l’ai enfoui dans ma chatte qui le réclamait. Le représentant regardait ça avec ses yeux remplis de curiosité et de fascination. J’ai dirigé l’objet entre mes lèvres intimes, au milieu des lanières de mes sous-vêtements qui couraient de part et d’autre de mon sexe. Je l’ai regardé et j’ai imaginé que c’était sa queue qui était entre mes jambes et j’aimais me familiariser avec cette idée en me préparant avec le jouet. Le pauvre, il ne pourrait plus le vendre après coup !
A quatre pattes devant le commercial
J’adorais souiller son joujou tout juste sorti de sa boîte. Puis j’ai saisi un autre jouet beaucoup plus fin, visiblement fait pour d’autres plaisirs et, courbée en deux sur le canapé dans une position acrobatique que je ne pensais jamais exécuter devant un inconnu, j’ai enfoncé doucement le sextoy anal au bon endroit, au-dessus du trou de ma chatte qui était prise par le gros vibro. Cette double stimulation était vraiment kiffante et surtout le fait qu’il me mate en train de le faire. Je me découvrais exhib’ et je lui ai même dit de me photographier, ce qu’il a fait tout en ne pouvant s’empêcher de se mettre à se branler. J’avais gardé mes bottes à imprimé serpent et je savais que j’étais chaude comme la braise. Harnachée de mes deux toys qui avaient exacerbé mes appétits sexuels, je me suis dirigée vers la queue du charmant représentant. Moi, créature nue et pénétrée par sa jolie marchandise, j’ai ouvert la braguette du gars et j’ai pris sa queue dans ma bouche pour m’en régaler. “Oh la la, je n’en demandais pas tant ! Ah…” Le commercial n’en croyait pas sa veine et il appréciait mon enthousiasme de cliente très intéressée… Son érection était belle, bien grosse comme j’aime. J’avais ces trois engins qui me prenaient par tous les bouts et je me sentais remplie. J’avais anéanti le vide dans ma vie pour m’adonner à mes plaisirs préférés. Je me suis tellement prise au jeu que je me suis retrouvée sur la table basse, à quatre pattes, les fesses cambrées en arrière, en mode modèle d’exposition. Puis j’ai fait sauter les deux vibros avec ma main pour lui montrer mes parties génitales dilatées par les jouets, lui montrer les merveilles que faisaient ses gadgets sur mon excitation. J’ai passé mes mains contre mon propre cul pour y glisser un doigt et me mettre en totale posture d’exhibition. Il a photographié mon cul dilaté et je jouissais d’être devenue son objet d’observation. J’ai fini par arriver à mes fins quand il a attrapé mon poignet pour retirer ma main et se mettre derrière moi pour me prendre en levrette contre la table basse. J’ai adoré ses coups de reins qui m’ont remplie de satisfaction. J’étais déjà au bord de la jouissance et il m’a suffi de quelques pénétrations pour me faire perdre la tête. Lui aussi avait été tant stimulé par mes poses et par son plaisir voyeuriste qu’il m’a très vite aspergée de son foutre…
C’était une pulsion vraiment incontrôlée et l’homme était ravi d’avoir vu dans quel état m’avait mise ses jouets… qu’il ne restait plus qu’à laver.
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