Foudroyé au salon du X

La rédaction 4 juillet 2021

J’ai rencontré Sarah dans un contexte bien précis. C’était au Salon du X et de l’érotisme au Bourget. J’ai tout de suite flashé sur cette blondinette à la peau de lait, plutôt petite et ronde avec des seins et des cuisses bien potelés et bien moulés dans un haut décolleté et une jupe étroite. Elle était accompagnée de son copain qu’elle tenait par la main, mais je ne pouvais pas détourner mon attention d’elle. Elle a dû capter que j’étais à fond sur elle car elle a rougi en croisant mon regard. J’ai essayé de passer à autre chose, mais c’était compliqué, comme un coup de foudre, elle revenait en permanence dans mes pensées. Par la force des choses, je me suis retrouvé sur le même stand de lingerie qu’elle. J’ai posé la main sur un corset noir et elle a posé une main dessus en même temps que moi. J’ai levé les yeux vers elle et elle était là, resplendissante, toute ronde et jolie, vraiment à croquer. Elle m’a souri et j’ai eu l’impression qu’elle aussi, elle avait eu un coup de cœur pour moi. “Tu voudrais le voir sur moi ? Viens, mon copain est sur un autre stand.” Plus audacieuse que moi finalement, elle m’a pris par la main pour m’entraîner dans la cabine d’essayage de fortune au coin du stand, le corset sous le bras. Je m’appelle David, j’ai 30 ans et voici mon histoire porno.

De la cabine à sa chambre

Là, elle a essayé la lingerie que nous avions repérée tous les deux, ainsi qu’une petite cravate et une jupette à carreaux au motif écossais. Tout était allé très vite, elle avait été très entreprenante et nous étions collés l’un contre l’autre. Un coup de foudre, je vous dis. “Je ne voulais pas te laisser filer”, a-t-elle glissé. Elle s’est exhibée devant moi, éberlué par sa liberté. J’ai passé mes mains sur ses cuisses et son cul nul sous la lingerie, ébloui par elle. La raison nous avait quittés, elle avait envie de moi, elle aussi. Elle m’a chauffé en m’embrassant et en se frottant à moi en petite tenue. Puis elle a remis ses vêtements par-dessus la lingerie et elle m’a pris par la main une deuxième fois pour m’entraîner hors du Salon en catimini. Oublié le petit copain, oubliée la rationalité, oubliée toute forme de prudence. Nous avons pris le métro en silence, et mon désir grimpait à mesure que je réalisais qu’on allait baiser, que mon rêve allait être exaucé. Chez elle, elle m’a entraîné dans sa chambre et m’a révélé à nouveau la lingerie volée sous ses fringues. Son corset était même descendu sous sa poitrine et ses deux seins tous ronds qui dépassaient étaient plus qu’appétissants.

La prendre en cliché

La cravate descendait entre ses deux nichons en mode étudiante et très vite, elle a voulu prendre ma bite entre ses seins. J’ai prestement enlevé mon caleçon pour lui tendre ma verge et la laisser en faire ce qu’elle voulait. Je me suis allongé, tout nu, prêt à me faire tripoter par la plus belle fille du Salon de l’érotisme. La jeune femme en question, qui s’appelait donc Sarah, a rejeté sa petite cravate par-dessus son épaule pour me faire une branlette espagnole entre ses ravissants petits nénés étincelants de santé. Elle était au pied du lit, moi allongé, jambes ouvertes comme une femme et mes deux cuisses reposaient presque sur ses épaules, sa jolie tête entre elles, à me pomper, me prendre en bouche avec un entrain qui faisait plaisir à voir. Elle a sorti son téléphone et me l’a tendu pour que je prenne des clichés d’elle. Puis elle redressait son buste pour faire passer à nouveau ma queue entre ses seins et je pouvais alors la regarder en train de prendre plaisir à jouer avec mon corps. Je bénissais ma chance qu’elle m’ait, elle aussi, trouvé à son goût et qu’elle ait pris l’initiative de m’emmener sous son bras jusque dans sa chambre à coucher. Elle était magnifique dans son petit corset, ses cheveux tirés en arrière, et elle le savait. Elle voulait désormais que je la prenne, alors je me suis levé de ma position alanguie pour venir la prendre sur son petit lit de jeune étudiante. Elle a écarté ses deux jambes repliées comme des pattes de grenouille et m’a laissé entrer dans sa chatte qui était déjà à l’air libre, pleine du désir qu’elle avait de moi, de la folie de cet instant qui risquait de coûter cher à son couple. Mais je me suis dit qu’ils avaient peut-être un délire entre eux, vu qu’elle voulait absolument que je prenne des photos. J’étais peut-être la victime consentante de leur petit jeu de couple.

L’explorateur

Elle était sur le dos, ses deux seins tout ronds si fermes qu’ils ne retombaient pas sur les côtés, le corset qui recouvrait toujours son ventre, sa bouche qui poussait des petits gémissements, et moi à genoux contre elle qui pouvait l’explorer en changeant le rythme selon sa bonne volonté, plus fort ou plus doucement, elle n’hésitait pas à me guider. J’adorais la voir aimer ce que je lui faisais et savoir ce qu’elle voulait, alors j’ai encore pris des photos de cette beauté exaltée. Puis nous avons fini sur le sol, elle à genoux devant moi et moi à genoux derrière elle, à la prendre par-derrière sous sa petite jupe écossaise. J’aimais prendre sa chatte et voir ma bite y entrer sous son petit cul tout bombé. Puis elle s’est mise à plat ventre et j’étais à califourchon sur elle, et son sexe prenait le mien entre ses jambes resserrées, une position qu’elle aimait car elle lui permettait un frottement plus intense dans son sexe. J’étais comme sur une monture et je pouvais m’enfoncer en elle jusqu’à la faire crier de plaisir. Tout en se faisant pénétrer, son clito frottait contre le tapis et elle a joui, tout aplatie contre le sol tandis que je jouissais moi aussi sur son cul. Elle a pris une photo de moi en disant : “Mon mec sera ravi !” J’avais vu juste et même si j’étais jaloux, leur délire m’avait permis de vivre une folle aventure.

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