La trique du général

La rédaction 30 novembre 2021

Je m’appelle Charles, j’ai 65 ans et j’aimerais prendre le temps de raconter une histoire porno.

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J’ai raccroché mon képi de général depuis quelques années. Il m’arrive toutefois d’assister à des cérémonies officielles, comme en cette journée grise d’octobre dont je ne préciserai pas l’année, toujours par soucis de discrétion. La cour de la vénérable école militaire était empreinte de cette solennité propre aux remises de médaille. En l’occurrence, elle avait lieu en l’honneur d’un colonel jadis sous mes ordres, qui m’avait aimablement convié.

Sa famille était également présente, notamment une donzelle elle aussi militaire. Jeune cousine ? Nièce ? Je l’ignore. Une Saint-Cyrienne en tout cas, d’environ 25 ans, reconnaissable à son uniforme beige et son couvre-chef strict. Un chignon bas et des gants blancs complétaient l’ensemble. Je ne confierai pas plus de détails sur l’intéressée, si ce n’est sa seule coquetterie : un baume à lèvres rose pâle. Soldat, elle n’en restait pas moins femme…

Mes regards, insistants bien malgré moi, ont capté l’attention de la damoiselle. Durant toute la cérémonie, nous avons échangé des œillades fort déplacées. Je me sentais aussi vibrionnant que dans ma prime jeunesse, sauf que mon habit chargé de décorations et mes tempes grisonnantes trahissaient âge et position. Mais peu importe pour la belle qui, après que le clairon a retenti et que la foule a rompu les rangs, a disparu.

Alors que j’allais à regret rejoindre le cocktail avec le reste des invités, j’ai aperçu sa silhouette entre les colonnades du bâtiment principal. J’ai regardé autour de moi ; tout le monde se pressait à l’opposé. J’ai donc furtivement quitté la zone pour rejoindre l’inconnue. J’imaginais alors quelque conversation badine, peut-être un baiser… Mais pas que mon beau soldat me tendrait une embuscade entre les colonnes de pierres grises.

L’audace militaire

J’avais beau dominer la nymphe de trente centimètres et de quarante années, elle a surgi sans hésitation. Je me suis retrouvé plaqué contre un pilier, passablement gêné de m’être laissé avoir comme un bleu. La belle a alors posé son index ganté sur ses lèvres. Il fallait faire vite et dans une discrétion absolue.

Mes nerfs, habituellement d’acier, ont frémis sous ses premières caresses. Le froissement de l’étoffe du pantalon, l’éclair blanc du gant qui pénètre dans l’interstice ouvert, le soupir féminin quand le sabre a jailli… Je durcis en repensant à ses douces lèvres qui se posent sur ma vigueur.

Au fur et à mesure que mon érection atteignait sa pleine mesure, les joues de la nymphe ont gonflé. Puis ses yeux bleus se sont fermés. Sa concentration était maximale, mon plaisir, total. Les mains fébriles, j’ai saisi son chignon strict pour guider l’attaque.

Mais impossible de me dominer pour autant : la langue s’enroulait maintenant autour de mon gourdin tandis que la belle allait intensément d’avant en arrière. Ma reddition était proche. Et voilà que le gant blanc frôlait à présent mes bourses, déclenchant une décharge électrique le long de ma moelle épinière ! Je me suis raidi et j’ai lâché un râle d’agonie. Dans la seconde, l’encens coulait en la gorge de mon joli soldat, qui m’a lancé un regard victorieux.

Honteux de m’être laissé vaincre en quelques minutes à peine, j’ai quitté les lieux sans même arranger mon attirail. J’ai par la suite envoyé un courriel d’excuses au colonel, dans lequel j’ai prétexté un léger malaise m’obligeant à partir précipitamment.

En écrivant chaque mot, j’ai revu les lèvres de la Saint-Cyrienne et la marque rose pâle qu’elle avait imprimée sur ma vigueur.

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