La sexagénaire coquine

La rédaction 21 décembre 2020

Marceline, 60 ans, craque sur le baby-sitter de ses petits enfants. Un jour elle met ses atouts en avant et il va finir par lui sauter dessus…

Je ne l’ai jamais dit à personne, mais vous êtes mon magazine préféré. Et j’ai longtemps rêvé de vivre une histoire de sexe comme les tiennes, une qui mérite de figurer dans votre courrier des lecteurs. C’est aujourd’hui chose faite !

Je m’appelle Marceline et j’ai 60 ans. Cela faisait longtemps qu’un homme n’avait pas attiré mon regard… Jusqu’à ce que je rencontre Vincent, le baby-sitter de mes petits-enfants. Le jeune homme de 24 ans, blond aux yeux noisettes, les garde le mercredi après-midi.

Je dois avouer que mes visites chez ma fille, de plus en plus fréquentes, n’étaient pas totalement étrangères à sa présence. C’était innocent, bien sûr ! Juste une femme mature sachant apprécier un jeune homme charmant et laissant son regard traîner quand il se baissait pour récupérer un jouet par terre. Il faut dire qu’il a de si jolies fesses, ce Vincent… Rien de bien méchant… jusqu’à ce que ça dérape.

J’ai cru pendant plusieurs semaines qu’il n’y avait rien de mutuel dans mon attrait pour le baby-sitter. Mais je suis assez bien conservée pour mon âge. J’ai notamment une forte poitrine, dont je prends grand soin : aujourd’hui, mes seins sont toujours fermes et ronds. Je sens qu’ils attirent les regards, quel que soit l’âge de ceux (et de celles !) qui les matent. Du coup, je ne rechigne jamais à les présenter avantageusement dans des décolletés bien échancrés.

Et ce mercredi-là, j’avais fait fort en la matière… J’avais ressorti une jupe très courte, qui dévoilaient mes jambes fines, et mon chemisier blanc était très plongeant. Les enfants étaient enfermés dans leur chambre, jouant avec leur tablette. Vincent profitait du calme régnant dans le salon pour étudier – il était en pleine préparation du CAPES.

Nous avons commencé à discuter, lui assis dans le canapé avec son livre sur les genoux, moi dans un fauteuil. C’est là que je l’ai surpris en flagrant délit de reluquage de nichons…

« Mes yeux sont là-haut, Vincent », ai-je ri. Vincent, gêné, a relevé la tête et bredouillé : « Pardon, Madame. Je… Vous êtes vraiment très belle, aujourd’hui. » Jouant les ingénues, j’ai enchaîné : « Oh, Vincent… Je pourrais être ta mère. Voire ta grand-mère ! ». « Ça ne vous rend pas moins belle », a rétorqué le beau blond. « Les filles de mon âge, je les trouve si fades, alors que vous avez tellement de classe. » J’ai rougi sous l’effet de ses compliments comme une jeune pucelle…

Devant ma mine flattée et sans plus de préambule, Vincent s’est alors levé de son canapé, s’est avancé vers moi… et m’a soulevée pour m’installer sur la commode le long du mur – un meuble recouvert de photos de famille en vrac qu’il a jeté sur un fauteuil. Une fois le terrain dégagé, il a grogné : « Ça fait des semaines que j’ai envie de vous, Marceline ! » « Mais, les enfants… », me suis-je inquiétée. « Quand ils sont sur leur tablette, ils ne bougent pas, ne vous en faites pas », m’a-t-il rassurée.

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Quel pervers ce Vincent ! Me prendre au milieu de ce salon bourgeois, dans la maison de ma propre fille… En plus, il agissait si vite que je n’avais pas moyen de retrouver mes esprits. Déjà, il faisait tomber son jean puis remonter ma jupe. Dans la folie de l’instant, j’ai ouvert mon chemisier pour lui présenter mes gros seins dans mon soutif pigeonnant. Il a plongé dedans pendant que je caressais la peau de ses biceps, si forts, si jeunes… Un corps d’étalon que j’avais besoin de sentir en moi, là, sur la commode.

J’ai fait descendre ma culotte sur mes chevilles et le beau blond l’a attrapée avant qu’elle ne tombe au sol. Lentement, avec un air gourmand, il l’a portée à son nez et l’a humée avec délice. Les effluves avaient l’air à son goût car son chibre a gonflé davantage. J’ai remarqué combien il était large et veineux. Mon Dieu, comme j’avais envie de sentir cette grosse queue dans mon sexe tendre…

« Crachez sur ma queue, Marceline », a alors ordonné Vincent. J’ai obéi à sa demande. Puis j’ai bavé dans la main qu’il me présentait, pour ensuite la frotter contre ma chatte afin de la lubrifier. Il ne s’embarrassait pas de tendresse, c’est le moins que l’on puisse dire ! Mais cela n’était pas pour me déplaire : j’avais envie d’être prise façon chienne, je peux bien l’avouer aujourd’hui !

C’est ce que Vincent a fait. D’un élan violent, il m’a possédée, mon entrejambe laissant échapper un bruit de ventouse. J’ai couiné tant c’était bon. Les coups de boutoir se sont alors succédés et faisaient trembler la commode. J’ai lâché : « Vincent, baise-moi ! » Entendre une sexagénaire des beaux quartiers lui parler ainsi a galvanisé l’étalon, qui a redoublé d’effort.

J’ai profité qu’il était à fond pour faire courir sur ses fesses mes ongles manucurés, osant titiller sa raie de l’index. Il a bourré plus fort. Repensant aux textes cochons que je lis dans interstron.ru, j’ai eu envie de me lâcher totalement. D’une voix sexy, j’ai gémi : « Vincent, vide-toi en moi ! Gicle, je t’en supplie ! »

Non seulement ces paroles salaces m’ont excitée au-delà du réel, mais le beau blond a complètement perdu les pédales. Ce n’était plus un chibre mais un marteau-piqueur que j’avais dans la fente ! Vincent a de nouveau enfoui son visage dans ma poitrine et a donné une série de coups de reins déments. J’ai dû mordre son épaule pour ne pas hurler quand j’ai senti son foutre m’emplir, l’orgasme me terrassant simultanément.

Mais ce n’était pas fini. Un peu honteux d’avoir joui si vite, j’ai vu mon Vincent glisser son visage entre mes cuisses. Le pervers a alors tendu ses lèvres… et il est venu me sucer le clitoris ! J’ai tressailli de plaisir, l’idée qu’il était en train d’avaler son propre foutre était totalement jouissif.

J’ai pressé sa tête, l’obligeant à entrer totalement sa langue en moi. S’étouffant à moitié, la bouche ventousée à mon abricot, le jeunot a bu son jus à peine éjaculé, s’en barbouillant les joues et me donnant un second orgasme encore plus violent que le premier.

Cette séance m’a donnée des envies de jeune fille en fleur, encore plus fortes que celles que je ressens quand je lis mon magazine chéri. J’ai décidé de les explorer autrement qu’en me faisant plaisir toute seule : j’ai proposé à mon étalon de venir chez moi une fois par semaine. « Tu dois apprendre comment traiter correctement une dame », lui ai-je expliqué. Ces cours particuliers nous donnent un plaisir infini. Peut-être vous les raconterai-je un jour ?

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