La bourgeoise et le jardinier
19 novembre 2020Patrick, 27 ans, est le jardinier d’une veuve bourgeoise et raffinée qui pense encore à son mari. Il va la réconforter en reboostant sa sexualité.
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Je travaille pour la plus belle des femmes. Jeune jardinier chez des particuliers, j’ai récemment commencé à exercer chez une veuve bourgeoise et raffinée qui habite dans la même ville que moi. Son mari est mort l’année dernière des suites d’une longue maladie et c’était lui qui entretenait leurs fleurs.
Ma patronne n’a pas eu le cœur de s’en occuper à sa place, mais elle ne voulait pas voir son jardin disparaître. Je me suis donc retrouvé à m’occuper de ses massifs de roses, de ses lilas et de ses géraniums aux teintes mauves. J’exécute ce travail avec soin et une attention particulière, m’étant attaché à l’histoire de cette femme seule, si digne dans son deuil.
Comme je l’ai dit plus haut, elle est la plus belle femme que je connaisse, malgré ses 60 ans. Chaque jour, ses cheveux teints en auburn sont lustrés et coiffés à la perfection. Elle porte du rouge à lèvres et un parfum capiteux dont les effluves me donnent un peu le vertige.
Il y a quelques semaines, elle a commencé à sortir de sa maison pour admirer son jardin qui reprenait vie. Ses antidépresseurs faisaient effet et elle semblait reprendre un peu d’entrain. Nous avons beaucoup parlé pendant que je taillais ses rosiers et nous avons noué une forme d’amitié. Elle m’a parlé de sa solitude, de la sexualité passionnée qu’elle avait eue avec son homme et qui lui manquait cruellement.
Je l’écoutais avec respect, mais à chaque fois qu’elle m’en parlait, je ne pouvais m’empêcher d’être troublé et de rougir, ce qui la faisait sourire. Mes mains aux ongles noirs de la terre de Madame devenaient moites d’émotion.
Un jour, alors que je fouillais le sol un genou à terre et qu’elle restait debout près de moi en parlant de son amour passé, elle s’est rapprochée. Elle a soupiré en me disant qu’elle rêvait qu’un homme pose la main sur elle et en se demandant à voix haute si cela se reproduirait un jour. Il y a eu un silence.
J’ai lâché la petite pelle qui me servait à planter des graines et je me suis tourné vers elle, contre ses jambes, sans la regarder. Toujours agenouillé, j’ai tendu ma main sombre et, dans un geste d’audace dont je ne me serais jamais cru capable, je l’ai posée sur son mollet blanc et parfumé. « Comme ça ? », ai-je demandé dans un souffle. « Oui… », a-t-elle approuvé.
Les yeux baissés, j’ai fait glisser ma main sur son genou et le long de sa cuisse. La peau était toujours ferme et charnue. Quand je suis arrivé sous sa jupe, j’ai effleuré sa fente à travers son slip blanc. Elle ne bougeait pas. J’ai caressé tout doucement, de haut en bas, très légèrement.
Son souffle s’est accéléré et elle a un peu écarté les cuisses. Je me suis mis à frotter son entrejambe de manière plus franche et je lui ai arraché un petit gémissement. Encouragé par la manifestation de son plaisir, et toujours sans oser la regarder, j’ai enfoui ma tête sous la jupe et j’ai écarté le slip.
Je me suis mis à lécher sa chatte. Je donnais des coups de langue sur sa vulve, puis une série très rapide sur son clitoris. Je sentais qu’elle avait renversé la tête en arrière et qu’elle s’abandonnait. J’ai continué mes coups de langue en la doigtant fermement. Ma main était trempée.
Mon élégante patronne s’est alors baissée pour s’allonger sur l’herbe et j’ai enfin vu ses yeux, brillants de désir et qui me disaient que tout cela lui plaisait bien. Elle m’a fait signe de m’allonger à côté d’elle.
Elle a déboutonné mon jean sale et s’est mise à me branler tout en me fixant. Sa main allait et venait sur mon gland et je jouissais tellement du spectacle de ses doigts vernis et impeccables qui s’activaient sur mon corps de travailleur de la terre que ma bite frémissait avec intensité sous ses caresses.
Madame s’est mise à me sucer et c’était une sensation extraordinaire. Là encore, le contraste de sa beauté éclatante et de mes sapes pleines de tâches, de sa bouche rouge sur mon sexe qui se rapprochait de ma toison noire entre mes jambes robustes, était saisissant. C’était comme si une reine s’était penchée sur l’ouvrier que j’étais pour, dans sa grande mansuétude, lui tailler la pipe la plus excitante de sa vie. Sa bouche inondait ma queue de salive et coulissait dessus avec une fermeté humide que j’adorais.
Ensuite, elle est montée sur moi pour me chevaucher. Ma belle a pris ma bite et se l’est fourrée puis elle m’a baisé en donnant des coups de bassin passionnés. Je sentais sa chatte se serrer autour de mon pieu dressé et cet étau de velours était l’endroit le plus doux qu’on puisse imaginer.
J’ai posé mon pouce noirci sur son clitoris et, tandis qu’elle s’ébattait en s’empalant de plus en plus vite sur mon sexe, je me suis mis à le titiller avec passion. Ma partenaire s’est cambrée dans un cri retentissant, sans cesser de me baiser, et j’ai moi-même laissé éclater ma jouissance en elle, inondant son trou affamé de sperme. Nous avons beaucoup ri en reprenant nos esprits, et nous nous sommes longuement caressés sur l’herbe.
Depuis, nous sommes amants et envoyons régulièrement balader nos vêtements dans les rosiers.