L’apprentissage de la fellation

La rédaction 30 mars 2019

Amélie, 25 ans, Melun.

L'apprentissage de la fellation

Je m’appelle Amélie et j’ai 25 ans. Je suis mariée et très amoureuse. J’ai rencontré mon futur époux quelque temps après l’aventure que je vais vous raconter. À€ l’époque, je venais d’avoir le bac. J’avais passé toute ma scolarité dans un internat de filles catholique. Oui, ça existe encore !
Le niveau y était excellent. Par contre, je n’avais pas appris grand-chose de la vie… Je fantasmais beaucoup. Certaines de mes camarades avaient des relations ambiguë, mais moi je ne jouais pas ça.

Seuls les garçons m’excitaient, ou en tout cas ce que j’en imaginais… J’attendais la rentrée avec impatience ! Mon propre appartement, dans une grande ville. Je devais à tout prix rattraper mon retard en matière de mecs ! J’ai eu l’idée de « m’entraîner » sur mon voisin. Je n’ai pas eu de mal à le convaincre ! Bien que plus jeune que moi, il était expérimenté. Il avait plusieurs petites amies. Quant à moi, je devais tout apprendre : c’est lui qui m’a donné mon premier vrai baiser. Nous étions dans sa chambre. J’ai approché timidement ma bouche de la sienne, et la suite s’est déroulée comme dans un rêve. Nos langues se sont emmêlées, nos salives se sont mélangées, c’était divin. Je sentais des vagues d’excitation monter dans tout mon corps… Mon sexe s’ouvrait, mouillait… Je me préparais à l’amour. Mais je ne souhaitais pas aller trop loin : je comptais garder ma fleur pour l’homme que j’aimerais. Cependant, nous n’en sommes pas restés à l’étude du baiser. Ce que je voulais apprendre, c’était la pipe.

Là  encore, je n’ai eu aucun mal à le persuader de me servir de « cobaye » ! Je n’étais pas une dévergondée. Je faisais ça pour apprendre. Ce jour-là, il s’est déshabillé devant moi, déjà en érection. C’était le premier sexe d’homme que je voyais de ma vie. Il se dressait fièrement, vertical et gorgé de sang. Je me suis agenouillée et j’ai timidement posé mes lèvres sur son gland. J’ai trouvé ça chaud et doux. J’ai eu immédiatement envie d’aller plus loin. J’ai fait glisser ma bouche le long du bout, puis de la hampe, lentement. Je voulais avaler le sexe tout entier. Les soupirs de mon voisin m’indiquaient que j’étais efficace. Prise par mon désir de bien faire, j’ai varié les figures en passant ma langue tout le long de son membre, comme on lécherait une glace ou en suçant ses boules. Leur douceur m’a d’ailleurs surprise ! Mes caresses lui faisaient beaucoup d’effet et m’excitaient vraiment. Tout en le pompant, je me suis masturbée. Ma main fouillait mon vagin et s’attardait sur mon clitoris. J’étais bien ouverte. S’il avait voulu me pénétrer, il aurait pu sans difficulté.

Mon plaisir montait en même temps que le sien, et j’essayais de me contrôler. J’avais envie que nous jouissions ensemble. Je faisais entrer son sexe profondément dans ma bouche. Mes doigts pénétraient mon minou aussi loin que possible. J’avais les yeux fermés. Je soupirais, je criais de plaisir. Il s’est aperçu que je me faisais du bien tout en le suçant. J’ai senti son excitation monter de plusieurs paliers d’un coup ! Son orgasme approchait. Alors j’ai moi aussi accéléré. Je me masturbais beaucoup à l’époque, et j’étais experte pour me faire décoller. De la pulpe du pouce, j’ai frotté plus vite et plus fort mon clitoris. Des décharges de plaisir traversaient mon bas-ventre. J’ai joui juste après lui. Il m’a prise de vitesse ! J’ai senti sa verge se tendre, ses mains me tirer les cheveux.Un liquide épais et salé est venu gicler contre mon palais, puis s’étaler sur ma langue. Passé la surprise, j’ai été excitée encore plus. Ça n’avait pas mauvais goût du tout ! Et puis ça me plaisait de provoquer chez un homme un plaisir aussi intense. Après avoir avalé sa semence et terminé de nettoyer son sexe encore dur, j’ai joui à mon tour. Nous avons continué ces travaux pratiques, sans jamais aller plus loin, pendant toutes les vacances d’été.

À la rentrée, j’ai rencontré celui qui allait devenir mon mari. Je l’ai sucé dès le premier soir et depuis, je n’ai jamais refusé de lui faire offrir du plaisir avec ma bouche. Je crois bien que c’est une des raisons qui l’ont fait tomber amoureux de moi ! Avec lui, j’ai découvert le reste. Enfin une bonne partie ! Car j’ai la nette impression que j’ai encore beaucoup à apprendre.

D’ailleurs, mon chéri, si tu me lis, sache que j’ai réfléchi et que maintenant, je suis d’accord pour t’offrir ma petite porte quand tu auras envie de venir y toquer…

(Image à la une : Getty Images)

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