Un test très positif 

La rédaction 16 juin 2021

Thierry, 40 ans était déprimé à cause du manque de contact, heureusement, il participe à une étude sur le Corona qui va sauver sa vie sexuelle !

Je suis un quadra célibataire et citadin, suffisamment porté sur le cul pour vous écrire aujourd’hui. J’ai eu par le passé une grosse activité sexuelle, mais avec le contexte de la pandémie, je me suis retrouvé bien seul et ça m’a pas mal déprimé au point de faire baisser ma libido, un peu en mode cercle vicieux.

Ça ne m’a pas aidé à me sentir mieux. J’étais vraiment en besoin de contacts humains pour aller mieux, j’avais envie qu’on me prenne dans les bras, qu’un baiser flotte sur mes lèvres, que des mains effleurent mon corps avec tendresse, avoir un moment de sensualité et de complicité avec une femme… Ça me manquait bien plus que de pouvoir sortir ou de faire la fête.

J’ai trouvé mon salut tout à fait par hasard, une après-midi de novembre. J’avais décidé de participer à une étude scientifique sur les malades de la Covid, plusieurs mois après leur infection. Je vous raconte dans cette histoire de sexe.

J’avais eu un test positif en mars et j’avais vu passer une annonce pour faire des analyses et voir si nous avions des anticorps et comment nous nous portions. Quitte à être confiné, autant servir à quelque chose. À l’hôpital, c’est une jeune interne qui m’a pris en main pour me faire les bilans sanguins et tout m’expliquer. Elle devait avoir dans les 26 ou 27 ans et elle était à croquer : toute fine, corps tonique, joli minois de midinette, même derrière le masque. Elle me jetait de ces œillades ! Ou alors je me faisais des films, mais je ne pense pas.

On a pas mal parlé, car j’ai dû revenir plusieurs jours pour le suivi, pour répondre à des questionnaires et faire des prises de sang… D’autant qu’ils avaient égaré mes premières analyses ! Elle m’a dit qu’elle bossait comme une dingue et se sentait très seule, elle aussi. Elle me plaisait vraiment, elle était si mignonne !

Elle avait même accepté de baisser son masque pour me montrer son sourire. Elle m’avait proposé qu’on se voie en dehors de l’hosto et elle m’avait invité chez elle en me faisant une fausse attestation pour des soins. Elle avait de la suite dans les idées, la petite…

La belle, qui s’appelle Mila, était un peu jeune pour moi, mais elle m’attirait irrésistiblement, et vu ma situation, cette rencontre était du pain béni. C’était la première fois depuis des mois que je sentais le désir envahir mon corps.

Quand elle m’a reçu chez elle, elle avait mis une blouse blanche comme à l’hôpital. Je l’ai regardée, étonné. Mais je ne sais pas pourquoi, c’était pas du tout bizarre, plutôt sexy. Elle voulait jouer à fond dans le cliché car en fait, elle était nue en dessous ! Elle aimait s’amuser de son statut de potentiel fantasme pour les hommes et elle mettait souvent une blouse à demi déboutonnée pour ses jeux sexuels.

Ça marchait grave, car son décolleté plongeant dévoilait la base de ses ravissants petits seins, et le tissu blanc soulignait ses cuisses nues et lui moulait très joliment les fesses. Son petit carré de cheveux brun et ses lunettes venaient parfaire le fantasme de l’étudiante. Elle m’a servi une bière en prenant soin de se pencher pour que je voie ses seins. « Tu sais, moi aussi ça me manque le contact, et c’est pas avec les patients que je peux vraiment en avoir, j’ai pas trop le droit, mais toi, ta façon de m’écouter et de me regarder, ça m’a fait craquer et j’avais vraiment envie de te revoir.

Et la blouse, je ne te cache pas que c’est pour tester mon sex appeal sur toi ! » Quel aplomb ! Elle m’a servi mon verre et je la trouvais tellement belle que je l’ai attirée à moi. Elle s’est retrouvée à califourchon sur mon érection, à m’embrasser sensuellement. Les boutons pression de sa blouse sautaient un à un sous ses mouvements fiévreux et je n’ai eu qu’à tirer dessus doucement pour découvrir ses beaux nibards qui ont jailli comme deux petites collines. Avec ses seins, elle a caressé ma bite qu’elle avait sortie de mon fute pour la masser avec, avant de faire atterrir ses lèvres sur ma raideur et de me prendre en bouche, puis de me lécher comme une glace en tenant bien mon cône dans sa jolie main douce. J’étais bouillant et je devais me concentrer pour ne pas tout lâcher !

Elle m’a chevauché, en petite culotte blanche trop mimi, pour frotter son clito contre ma trique, et je sentais sa chatte aussi affamée que moi, sa chatte qui voulait cet accouplement avec véhémence, qui tempêtait pour se frotter contre mon désir et le provoquer. Elle a viré la petite culotte pour me monter comme une bête, et gober ma queue en elle.

Nus l’un contre l’autre, nous nous bercions des mouvements de la pénétration et de la rencontre de nos corps. Sa chatte était une merveille de douceur ferme et humide… Mon refuge. Elle a saisi son téléphone pour prendre des photos de nos deux corps l’un sur l’autre. Ma bite dressée qui lui ramonait la chatte, ses tétons durcis, son ventre laiteux à la peau de pêche… Quel joli tableau nous resterait en souvenir !

Elle se plaquait contre moi et nous étions comme deux reptiles entrelacés. L’éruption de la jouissance m’a fait exploser en elle tandis que la douce, qui habilement frottait son clito contre mon bas-ventre, éclatait elle aussi de plaisir. Depuis, j’attends les résultats de l’étude clinique et je rêve qu’elle vienne me les livrer elle-même chez moi.

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