Découverte de la bisexualité
10 juin 2019Édith, Bretagne.
Bonjour, nous sommes un couple de seniors, je m’appelle Édith et mon mari, c’est Stéphane. Je suis fière de mes formes généreuses (poitrine 105F et taille 48/50), et mon mari les apprécie également. Nous formons un couple épanoui. Je vais vous raconter l’aventure bisexuelle que nous avons eue avec un couple d’amis, Murielle et Pierre.
Nous avions loué une villa avec piscine tous les quatre. Un soir, nous avions décidé d’assister à un feu d’artifice. Nous nous sommes tous les quatre préparés. Avec Murielle, nous avons choisi de faire une surprise à nos hommes en portant une robe sous laquelle nous serions entièrement nues afin de les exciter. Nous avons pris une douche et nous nous sommes tous épilés. J’ai choisi une robe portefeuille légère à fleurs, des escarpins mettant en valeur mes jambes et ma chute de reins. Pour Stéphane : un string, un pantalon et une chemise blanche. Le frottement du tissu sur mes seins m’a échauffée. Mes tétons arrogants pointaient au travers du tissu. Murielle souriait, car elle aussi avait ses tétons érigés. Nous étions déjà très excitées, cela annonçait une soirée chaude…
Quand la foule a été suffisamment importante, je me suis discrètement mise à frotter mes fesses contre le bas-ventre de Stéphane qui en a été tout émoustillé, ne pouvant pas cacher son excitation. Je sentis sa queue toute dure en érection au travers de son pantalon. Stéphane glissa discrètement une main dans le décolleté de ma robe, me caressa les seins, pinça mes tétons, je ne pus retenir un petit cri. Murielle se retourna, me regarda et me lança un sourire complice.
À la fin du spectacle, Murielle et Pierre plaisantaient, nous avons alors compris qu’eux aussi avaient profité du spectacle pour se câliner. Nous avons éclaté de rire en rentrant main dans la main. Nous avions des idées coquines.
En arrivant, Murielle décida que pour nous rafraîchir un bon bain de minuit serait le bienvenu. Sans attendre notre réponse elle retira sa robe, entièrement nue elle exhiba son corps, ses seins généreux aux tétons érigés, son pubis à la fourrure noire que nous voyions pour la première fois. Puis elle sauta dans l’eau. Je fis de même, dévoilant à mon tour mon corps avec mes seins épanouis aux tétons érigés comme des tétines, mon pubis rasé avec mon abricot juteux et mes fesses rebondies. Toutes les deux dans l’eau, nous attendions nos hommes. Une fois nus, nous les avons regardés arriver. Stéphane a exhibé son corps imberbe. Ses coucougnettes bien rondes, rasées, sa queue épaisse en érection droite et parcourue de soubresauts. Murielle n’a pas pu s’empêcher d’exprimer sa surprise et sa stupéfaction à la vue de la taille de son sexe. Elle m’a glissé à l’oreille : « Tu ne dois pas t’ennuyer au lit, toi ! » Pierre a à son tour dévoilé une longue queue fine en érection. J’ai répliqué, sans réfléchir, à Murielle : « Par-derrière, ça doit rentrer tout seul ! »
Nos hommes sont entrés dans l’eau. Une fois rafraîchis, nous sommes ressortis pour aller prendre une douche. J’ai regardé Murielle droit dans les yeux, j’ai pris sa main et lui ai donné le gel douche, puis lui ai ordonné de laver Stéphane. Murielle, étonnée, hésitait… Puis, elle a saisi ses coucougnettes lisses dans sa main, ainsi que sa queue toute dure qu’elle a décalottée en faisant jaillir son gland congestionné de sa large couronne. Murielle n’en croyait pas ses yeux. Elle a poussé un cri d’admiration. Elle lui a massé délicatement le gland, puis l’a posé sur son pubis soyeux. Stéphane frottait sa queue contre elle. Je me suis approchée de Stéphane par-derrière, me suis collée à son dos, frottée à ses fesses, et je lui ai caressé les mamelons. Stéphane fermait les yeux pour mieux savourer ce moment, deux femmes pour lui. Je me suis rapprochée de Murielle dont les yeux brillaient d’excitation. Mes mains sont venues se poser sur ses fesses, je les ai caressées, avant de me plaquer contre son dos.
Murielle avait la peau douce. J’ai saisi ses seins, les ai effleurés, j’ai joué avec ses tétons, mes mains ont glissé sur son ventre, puis vers son pubis. J’ai caressé son clitoris hyperdéveloppé, lui arrachant des cris de plaisir sous les yeux de Pierre. J’ai saisi mon homme par la queue et nous sommes allés dans notre chambre en leur souhaitant une bonne nuit avec un grand sourire. J’ai fougueusement embrassé mon homme, mes doigts ont joué avec ses coucougnettes, puis je me suis mise à genoux pour lui offrir une fellation. Nous entendions des râles et des gémissements provenant de la chambre voisine, ce qui nous a déclenché une forte crise de voyeurisme… Nous sommes allés les observer. Murielle était sur le lit, en levrette et se faisait copieusement ramoner par Pierre.
Elle a posé la tête sur les draps, elle s’est cambrée, a pointé ses fesses vers le plafond… Dans cette position nous pouvions voir ses fesses ouvertes, son petit œillet frémissant ne demandait qu’à être pénétré. Pierre n’a pas hésité une seconde, il a saisi Murielle par les hanches et, sous nos yeux, d’un puissant coup de reins, il l’a sodomisée. Murielle criait sous les assauts de Pierre à présent. Cette vision de lupanar nous a encouragés à retourner dans notre chambre pour faire l’amour à notre tour une grande partie de la nuit.
Après un sommeil réparateur, je me suis levée nue pour aller me rafraîchir à la cuisine. J’ai ouvert le réfrigérateur, me suis penchée en avant et j’ai perçu derrière moi une présence. Des mains douces et chaudes m’ont fermement saisie par les hanches et m’ont immobilisée. J’ai senti la douceur moelleuse des poils pubiens contre mes fesses et j’ai compris qu’il s’agissait de Murielle.
Je me suis redressée, Murielle s’est collée à mon dos et m’a glissé au creux de l’oreille : « Depuis le temps que j’attendais ce moment… » Un frisson a parcouru tout mon corps. Elle a fait glissé ses mains sur ma poitrine, m’a câliné les seins et a joué avec mes tétons. Sous ses caresses, je me suis mise à gémir, à onduler du bassin en me frottant à son pubis. Murielle m’a caressé les cuisses, puis une de ses mains a glissé sur mon ventre, est descendue vers mon entrecuisse.
J’ai écarté les jambes pour lui offrir l’accès à mon intimité. Ses doigts ont caressé mon clitoris, écarté mes lèvres, j’ai senti un doigt fouineur me pénétrer. Je lui ai demandé de continuer tout en criant mon plaisir. Murielle m’a plaqué contre l’îlot central, s’est frottée contre mes fesses, m’a donné des coups de reins comme mon homme. Mon clitoris était au niveau de l’angle arrondi du plan de travail et à chaque butée je gémissais de plaisir.
Murielle m’a retournée, regardée et embrassée avec fougue, ses seins contre mes seins, son ventre contre mon ventre, tout cela me faisait chavirer de plaisir.
Elle m’a allongée sur l’îlot central, a écarté mes jambes et a observé mon intimité. Elle a écarté mes lèvres baveuses, puis m’a offert un cunnilingus qui m’a arraché un puissant orgasme.
Stéphane qui avait entendu mes cris de plaisir est venu dans la cuisine. Le spectacle de deux femmes qui s’aimaient l’a excité au plus haut point. Il s’est approché, la queue triomphante, le gland violet congestionné et luisant d’excitation. Stéphane nous a proposé de rejoindre notre chambre. J’ai pris Murielle et Stéphane par la main pour les entraîner avec moi. Je me suis allongée sur notre lit, j’ai écarté les jambes. Murielle est venue me rejoindre. Elle s’est mise à genoux et a repris son cunnilingus. Sous ses coups de langue agiles, je gémissais de plaisir.
Murielle a changé de position et s’est mise sur moi en 69. Je pouvais admirer son entrejambe poilu. Elle a fait glisser mes doigts dans ses poils soyeux et s’est caressée avec. Elle a découvert son gros clito, c’était une vraie petite queue. Je l’ai aspiré entre mes lèvres, lui arrachant des cris de plaisir. J’ai écarté ses fesses pour dévoiler son anus plissé que j’ai léché et doigté. Murielle fermait les yeux, soupirait, ondulait comme une anguille. Elle en criait, la cochonne.
Stéphane s’est approché, j’ai saisi sa queue toute dure et j’ai posé son gland sur l’entrée du vagin de Murielle qui a instantanément reculé dessus pour s’empaler d’elle-même en exprimant son plaisir de bruyante manière. Stéphane lui a saisi les hanches et l’a pilonnée énergiquement. Il la limait en profondeur sous mes yeux. Je l’encourageais en lui caressant les couilles.
Puis, j’ai pris le diable par la queue et l’ai déposé devant l’autre entrée plissée de Murielle. D’un coup de reins puissant, il l’a sodomisée. Murielle a poussé un cri où se mêlaient surprise, peur et plaisir. J’avais sous les yeux la queue de Stéphane et ses coucougnettes que je léchais à chaque va-et-vient.
Bientôt, les cris de Murielle ont réveillé Pierre qui est venu observer nos ébats. Je lui ai souri en attrapant les couilles de mon homme pour les masser et les presser. Pierre, à la vue de Murielle sodomisée sous ses yeux, a chopé une violente érection… Mais ses belles intentions se sont rapidement dirigées vers les fesses de Stéphane !
Il n’a pas hésité une seconde à s’approcher. Je lui ai pris la queue et l’ai posée sur l’anus de Stéphane. Pierre l’a attrapé par les hanches, s’est immobilisé, puis, même traitement : d’un coup de reins puissant, il l’a enculé !
Stéphane a crié car pour lui c’était la première fois. Pierre s’activait en lui, il lui ramonait violemment les fesses. Submergé par un immense orgasme, Stéphane a éjaculé au plus profond des entrailles de Murielle qui s’est écroulée, toujours avec la queue de mon homme dans le cul.
Après avoir repris ses esprits, Murielle est allée dans la salle de bains et elle est revenue équipée d’un magnifique harnais orné d’un godemichet très réaliste. Elle est venue me rejoindre dans le lit, avec ses yeux de biche et m’a juste informée : « À toi maintenant. » J’allais découvrir un nouveau plaisir entre ses bras.
La douceur de sa peau, de sa bouche, de sa langue, de ses coups de reins amples m’ont emmenée vers une magnifique jouissance. Après avoir récupéré, j’ai changé de position et me suis empalée sur elle en me penchant en avant pour l’embrasser langoureusement… Malicieusement, je présentais aussi mes fesses à nos hommes. Quelle opportunité… Il ne fallut pas longtemps pour qu’ils comprennent ce que j’attendais d’eux.
Ils se sont approchés de moi, j’ai pris la queue de Pierre sous les yeux de Murielle, lui ai fait une fellation pour lui redonner de la vigueur. Pierre me caressait l’anus, puis il m’a sodomisée. J’étais prise en sandwich, une première pour moi, mais quel plaisir d’être baisée des deux côtés en même temps.
Nos cris ont excité mon homme qui a voulu se joindre à nous. Murielle a lubrifié la queue de Stéphane, et Pierre qui était en pleine action dans mes fesses ne s’est aperçu que trop tard que Stéphane était dans son dos, la queue raide prête à le saillir. Nous encouragions Stéphane qui a pris Pierre par les hanches, lui a écarté les fesses et l’a pénétré sous ses cris. Murielle caressait les fesses de Stéphane, les doigtait, lui massait la prostate. Stéphane n’a pas pu retenir plus longtemps son plaisir, il a éjaculé dans les fesses de Pierre. Nos deux hommes en action, c’était un beau spectacle pour nos yeux !
Voilà comment nous avons découvert notre bisexualité. Merci encore à Murielle, Pierre et à mon homme pour cette expérience. Bise à toutes et tous, kenavo.
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