Le prof qui savait commu-niquer !

La rédaction 24 avril 2019

Lola, 21 ans, Nantes.

Bonjour à tous et à toutes ! Je m’appelle Lola et je suis une jeune étudiante dans le milieu de la communication. J’aimerais bien rejoindre une société de publicité ou gérer les relations presse d’une grande marque à ma sortie d’université. Celui qui m’a transmis ce goût de la communication c’est Pierre-Yvon, mon prof de sémiotique. Je me permets de l’appeler par son prénom dans les pages de votre magazine, mais devant mes camarades je l’appelle par son nom de famille et le vouvoie. Nous sommes passés au tutoiement et à une relation assez intime après un verre, auquel il m’a invitée à la fin d’un cours.

Pour être honnête, je lui lançais des regards très éloquents durant tous ses modules, et je pense que, lassé de mon insistance, il a simplement abdiqué. D’ailleurs ce n’était pas le genre de mec à draguer de la jeunette, et il m’avait prévenue au début de notre relation qu’il préférait des partenaires expérimentées. Il avait l’air d’avoir une vie sexuelle complètement débridée (enfin de ce qu’il me racontait), alors naturellement, ma curiosité m’a poussée à insister encore une fois pour finir la soirée dans son appartement. Je n’aurais pas pu le ramener chez moi, j’étais en colocation avec ma cousine, je n’avais pas envie qu’elle parle de cette histoire à ma famille.

Il n’était pas marié, et personne ne l’attendait chez lui. C’était le plan parfait. D’un naturel très doux et très attentionné, il est devenu beaucoup plus autoritaire en arrivant chez lui. « Pose tes affaires ici. Assis-toi là. Tiens, un verre de rosé ! Trinquons ! » Il redevenait le professeur, je redevenais l’élève. En fait, il maîtrisait complètement la situation alors que moi, je n’étais pas du tout en confiance.

Il m’impressionnait tellement ! J’obéissais à tous ses désirs, sans même imaginer que j’avais un libre arbitre. Il me parlait de tout et de rien, mais à travers ses propos, je sentais qu’il y avait une intelligence et une vivacité d’esprit que je n’avais que très peu connue, ou en tout cas pas chez les jeunes de mon âge. Quand nous avons fait l’amour, il ne m’a pas demandé la permission avant. Tout avait l’air simple, naturel, dans l’ordre des choses.

Il s’est déshabillé, il m’a déshabillée et m’a caressé tout le corps. J’avais peur d’être dégoutée par un corps plus vieux que ceux contre lesquels j’avais l’habitude de me frotter, mais ça allait ! Rien n’était si différent, la peau était douce, et puis il n’avait pas de gros ventre comme certains. Par contre, quand il m’a dit de le branler avec mes pieds, j’ai trouvé ça vraiment bizarre ! Jamais un mec ne m’avait demandé ça auparavant, et je ne savais pas si j’allais bien m’y prendre. J’ai essayé, tant bien que mal de lui caresser sa tige qui bandait en mi-molle, le pied droit sur le bout du gland, le gauche sur les couilles. J’ai voulu arrêter, mais il m’a dit que c’était la seule façon pour qu’il arrive à éjaculer. Alors j’ai continué plus fermement.

Lui, il me doigtait en même temps (très bien, d’ailleurs), alors ça m’a donné du courage pour ce que je faisais ! J’ai continué mes mouvements, et même si j’avais l’impression de faire n’importe quoi, il m’a dit : « Viens sous moi, Lola, je vais t’éjaculer dessus ! » Alors je me suis exécutée, et il m’a aspergée de foutre. C’était bon, mais je me suis demandée si c’était normal de faire ça. Ça faisait un peu film porno, et je n’avais pas envie qu’il me considère comme une actrice. Bon, ça, c’était notre première fois et encore c’était assez soft comme partie de jambes en l’air.

Les pieds, ce n’est pas la seule perversion que j’ai découverte chez mon cher professeur, mais je ne sais pas si j’aurai le courage de vous avouer la suite… Qui sait, peut-être dans un prochain numéro… À bientôt…

(Photo à la une : Getty Images)

Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…

Savoir ses leçons sur le bout des doigts
« Il avait poussé le vice jusqu’à acheter une règle en fer. Une vraie, une carrée en acier. Victor et moi étions en couple depuis deux ans et nous nous adonnions régulièrement à des petits scénarios coquins. » Alexia.

Un régal au Sénégal
« J’étais en déplacement pour un travail et c’est à ce moment-là que je l’ai rencontrée. Après qu’il ait eu fini de donner son cours, nous sommes allé nous promener sur la plage. J’étais allongé à côté de lui. Je ne tenais plus, il fallait que je le touche, il fallait que je le caresse, que je le prenne et que je l’embrasse. » Alicia.

À retrouver sur notre plateforme VOD

Pour notre serial sexy reporter : de la simple proposition à poser jusqu’à la convaincre de baiser avec lui, c’est aussi simple qu’un coup de bite.


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

  • julien

    Voilà une bien jolie histoire, un peu timide mais tentante.

interstron.ru