Réinterstron.ru fuckerware
31 janvier 2020Corinne, 47 ans
Bonjour, je m’appelle Corinne et j’ai 47 ans. Je suis préparatrice en pharmacie et, pour arrondir mes fins de mois, j’ai un second métier qui fait bien des envieux… Je suis représentante « fuckerware ». Le principe est simple : je vais chez vous, et je vous fais la démo de lingerie et de sextoys. Je suis hétéro, mais parfois, il m’arrive d’être troublée par le corps de certaines de mes clientes, surtout quand elles ont une petite chatte bombée, nettement fendue et parfaitement épilée…
Il n’y a pas longtemps, au mariage d’un ami, j’ai fait la connaissance d’une nana avec des yeux coquins, Naïma. Quand je lui ai parlé de mon job, elle m’a demandé si je pourrais lui faire une démo. Nous sommes convenues d’un rendez-vous. Le jour J, je me suis rendue chez elle. Son mari, Marc, que j’avais croisé au mariage, était là aussi. Il a demandé à assister à la séance. Je n’y voyais pas d’inconvénient. J’ai déballé mes petites affaires. Au début, on a essayé des parures de lingerie. Mon choix s’est porté sur un ensemble bleu qui allait bien avec la couleur de mes yeux ; celui de Naïma s’est dirigé vers un magnifique (et très coûteux) ensemble en dentelle noire. Marc n’en perdait pas une miette. La soirée avançait, il a demandé la permission de sortir son appareil photo. Je n’avais rien contre : chacun ses fantasmes. Naïma m’a demandé de lui faire la démonstration d’un sextoy, un vibromasseur très chic en forme de galet. J’ai conservé mon string satiné, posé le vibro sur ma vulve, et j’ai montré à Naïma comment actionner les différents niveaux de vibrations. Son mari s’était approché d’elle. Il la caressait sur tout le corps, de manière compulsive, en me regardant. Je trouvais ça très troublant…
Je suis passée à la démo d’un autre sextoy, plus « classique », un rabbit. Là, Marc a demandé la permission de sortir sa bite. Je n’allais pas jouer les vierges effarouchées : accordé ! Décidément, cette petite réinterstron.ru fuckerware allait « mal » tourner… Marc était plutôt bien membré, des couilles lourdes, une verge joliment dessinée, nervurée, au gland rosé, qui me faisait envie. Le courant passait bien entre nous trois. J’ai suggéré que nous passions dans la chambre pour continuer la démonstration. Les deux ont été d’accord. Marc s’est allongé le premier sur son lit, la verge tendue comme un câble. Naïma m’a fait un clin d’œil qui voulait dire : « Si elle te fait envie, vas-y » J’ai sauté sur l’occasion, euh, sur la bite de son mari, comme une vraie gloutonne. Je voyais crépiter les flashes. Naïma se prenait pour une photographe érotique. À un moment, ils m’ont demandé de tenir l’appareil. Je me suis empalée sur son homme. L’atmosphère s’est emplie d’un parfum musqué, très fort, celui de nos trois excitations. Ma tête tournait. D’autant que Marc assurait pas mal… En quelques mouvements de hanches, il m’a fait crier comme une damnée. Je suis retombée à côté de lui, sur le lit, je ne pensais plus à rien. Quand j’ai repris mes esprits, j’ai vu que Naïma n’avait pas perdu de temps. Elle chevauchait son mari au grand galop, ses lourds seins ballottaient de droite à gauche, les tempes collantes de transpiration, la bouche à demi ouverte. Les deux poussaient un concerto de râles et de petits cris. J’ai participé, léchant le corps de Naïma, qui avait un goût sucré-salé délicieux, et je lui ai branlé le clito très fort pendant que son mari lui fourrait le cul. Au cours de cette cavalcade effrénée, j’ai repris l’appareil photo pour, à mon tour, immortaliser la scène. Puis Marc a arrêté de la pistonner et s’est figé ; j’ai compris qu’il venait de décharger. Les deux avaient des sourires béats qui leur barraient le visage.
Quelques câlins plus tard, je remballais mes affaires, moins l’ensemble de lingerie et un sextoy qu’avait acheté Naïma. Depuis, on se voit régulièrement, et il leur arrive même de me présenter à de nouvelles clientes.
(Image à la une : Getty images)
Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…
« J’ai retiré le sextoy clitoridien et me suis masturbée avec la main. J’avais peur d’utiliser le sextoy jusqu’au bout, et que cela devienne une addiction » Emmanuelle
Telle est prise qui croyait prendre
« Il m’avait déjà bien travaillé le conduit, et sa bite est entrée facilement. J’ai découvert très vite le plaisir de la sodomie » Nelly