Martinia, mon amante exhibitionniste.
30 septembre 2024Baptiste, 33 ans d’Angoulême raconte ses vacances très chaudes avec sa compagne exhibitionniste. Faire l’amour à la plage est devenu un de leur passe-temps.
Ma copine, Martinia, est slovaque et rêvait de voir un paradis tropical, je l’ai emmenée en vacances dans les Caraïbes. Dépaysement assuré entre Bratislava et Fort-de-France ! Ma belle blonde avait fait de séances d’U.V. en prévision, la pâleur de sa peau étant assez incompatible avec l’ensoleillement des Antilles et lorsque nous sommes arrivés, elle était prête à profiter de nos congés ! Et surtout, à partager cette histoire de sexe amateur.
Martinia ma compagne exhib
En quittant l’aéroport, nous sommes passés en bord de mer. Il a fallu que nous nous y arrêtions avant même de gagner notre hôtel. Martinia n’avait pas de maillot sur elle, juste sa culotte et son soutien-gorge blanc, pas grave, elle s’est foutue à moitié nue devant les quelques touristes et locaux présents et est allée se jeter dans l’eau turquoise ! Elle rayonnait de joie. Et autant dire qu’elle a fait sensation lorsqu’elle est sortie de l’onde chaude ! J’ai juste eu le temps d’attraper une serviette afin de l’éponger et de cacher comme je pouvais sa presque nudité. En effet, ce que je n’avais pas prévu c’est que son bel ensemble de lingerie deviendrait instantanément translucide une fois mouillé. Ses gros tétons sombres s’exhibaient par transparence, quant à sa chatte, imberbe, le coton imbibé mettait bien en valeur son sillon discret.
Une fois sèche, nous nous sommes rués vers notre hôtel, dans notre chambre, malgré la climatisation, ma compagne s’est de nouveau entièrement dénudée. Son derme hâlé était un appel pour mes caresses, j’ai voulu filer sous la douche, c’était peine perdue, ma moitié s’est jetée sur ma queue, agenouillée sur une serviette balancée à même le carrelage de la salle de bain. Je l’ai portée jusqu’au lit, autant prendre ses aises, non sans l’avoir tout de même photographiée, mon gland posé sur le bord de ses lèvres. Une fois allongée, elle a écarté les jambes et s’est prêtée au jeu d’un shooting torride, m’exhibant son minou et la raie de son cul magnifique. Elle avait dû bien s’ouvrir le popotin pendant ses séances de bronzage, car il n’y avait pas une trace plus claire sur sa peau, pas même au creux de son sillon ! Après une nouvelle fellation, Martinia a accueilli mon chibre entre ses seins. Bien que menus, elle arrive à les faire pigeonner avec ses mains et à me branler divinement entre ses nichons.
L’amour dans l’océan
J’ai continué de la prendre en photo tout en la baisant, son con trempé avalait mon pieu sur toute sa longueur. Elle aime quand je la pilonne et qu’elle sent mon gland fouiller le fond de ses entrailles. Je l’ai attrapée en missionnaire, en levrette, debout, étendue de tout son long, en cuillère. Elle n’en avait jamais assez et réclamait encore et toujours de nouveaux assauts. Elle a joui au moins quatre fois en l’espace de ces quelques heures et m’a quémandé mon foutre chaud sur ses seins. Je me suis branlé au-dessus d’elle et ça a giclé en une petite rivière de sperme le long de son décolleté jusqu’à son cou. Nous avons passé le reste des vacances à ne penser et à ne pratiquer que du sexe ! Partout, tout le temps ! Martinia n’arrêtait pas de me chauffer, portant des mini-jupes sans rien en dessous, m’exhibant sa chatte épilée ou bien encore me pompant le dard en voiture pendant nos balades sur l’île. La mer des Caraïbes a, elle aussi, été un terrain de jeux aquatiques et sexuels. Parfois, dans l’eau, en nous éloignant de la plage, Martinia enlevait son bas de maillot, me faisait bander en me branlant en sous-marin puis, s’accrochant à moi avec ses jambes musclées, s’enfilait sur moi comme si nous étions seuls au monde.
À plusieurs reprises, j’ai vu des types pratiquer la plongée avec tuba ou en snorkling, bizarrement, ils se rapprochaient souvent de nous. On distinguait nos pieds sous plus d’un mètre d’eau tant celle-ci était limpide, j’imagine sans peine ce qu’ils ont dû admirer en passant à côté de nous ! Ma compagne s’en fichait visiblement éperdument, cela rajoutait d’autant à son excitation et à sa perversité. Son grand jeu étant de me branler dans l’océan et de regarder mes jets crémeux se dissoudre au gré des vagues tandis qu’elle se soulageait d’une envie pressante contre ma cuisse. Nous allions ensuite nous dissimuler dans quelque dune opportune, là, Martinia me masturbait sous mon maillot. La plupart du temps, elle osait même se pencher pour me sucer jusqu’à ce que je sois bien dur et me chevauchait alors jusqu’à l’orgasme. Je lui ai promis que l’année prochaine nous partirions pour la Guadeloupe, nous ferons ainsi toutes les îles de ce coin de paradis, et si vous y êtes aussi, sans doute nous apercevrez-vous en train de baiser sur une plage un peu à l’écart des touristes…
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