Je me lève et je te bouscule
20 décembre 2019Paul, 24 ans
Ici Paul, un jeune étudiant très amoureux de Mathilda. Notre histoire a commencé sur une amourette de vacances, dans un camping près de Biarritz, puis on ne s’est plus quitté en rentrant en région parisienne. C’est la première fois que je suis à ce point fusionnel avec une personne. J’ai l’impression que nous avons été faits pour nous rencontrer, que nous nous connaissions avant même de nous parler. Je comprends ses silences, j’anticipe ses rires et je m’émerveille de chacune de ses pensées. Et évidemment, nos parties de baise sont torrides et électriques. Cela fait quelques jours qu’elle squatte chez moi, et nous ne pouvons pas nous empêcher de faire l’amour trois fois par jour. La dernière fois, c’était même la plus excitante : je l’ai réveillée en pleine nuit, je n’en pouvais plus ! Je vous raconte.
Je me suis réveillé en sursaut, j’étais dans une période où j’étais très stressé par les exams et mon cerveau turbinait à 100 à l’heure. J’avais une gaule nocturne, un truc bien dur qui me gênait un peu – même si je n’étais pas réellement excité. Alors, j’ai caressé d’une main le petit cul de Mathilda qui dormait à côté de moi. Et là, j’ai senti qu’il fallait que je « me vide ». Elle dormait nu, c’était facile de se servir. Je suis allé lui lécher le minou pour la titiller en douceur. J’avais peur qu’elle ne me hurle dessus mais elle a poussé quelques gémissements de satisfaction, d’une toute petite voix encore ensommeillée. Sa chatte avait le goût de la sueur chaude, un parfum assez prononcé caractéristique de ma Mathilda. C’était délicieux, j’ai tout léché du bout de la langue comme s’il s’agissait du plus précieux des nectars. « Maiiiis il est quelle heure ? » s’est tout d’un coup inquiétée ma belle princesse endormie. 4h du mat. J’avais consulté mon téléphone 15 fois, mais je n’ai pas voulu le lui dire. À la place, je lui ai demandé si on pouvait allumer la lumière, elle savait à quel point le visuel était important pour moi. Elle a accepté, en cachant ses adorables yeux du revers de la main.
Je me suis alors couché sur elle. Mon gland frottait sur l’entrée de son vagin bien humide, puis, d’un mouvement tendre de mon bassin, je me suis enfoncé en elle. Je l’ai pénétrée très doucement. Je l’ai sentie plus chaude que la normale, certainement à cause du sommeil, et cela redoublait mon excitation. Je n’ai pas trop osé la secouer, ses yeux étaient encore fermés, je sentais qu’elle n’aimait pas être brusquée. J’ai donc fait l’effort de sortir mon engin de la fournaise et de lui donner à suçoter. Son adorable petite bouche est venue téter le bout de mon gland, rosi par mon excitation. C’était exquis. Je l’ai planté un peu plus profondément dans sa bouche, elle engloutissait toute ma tige avec beaucoup d’appétit et de gourmandise tout en conservant les yeux fermés. Puis au bout d’un moment, je faisais moi-même les allers-retours dans sa bouche, elle restait immobile, un sourire discret collé aux lèvres. J’ai finalement giclé sur son joli visage et elle s’est rendormie, la joue barbouillée de sperme. J’ai éteint la lumière et je me suis endormi automatiquement, vidé.
Vidé, mais apaisé.
(Image à la une : Getty Images)
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Riva
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