Sucé dans la neige
3 janvier 2019Dylan, 19 ans, Rouen.
Quand mon père s’est remarié avec Hélène, elle avait 32 ans et moi 19. Nous avons tout de suite été complices. Mais il ne s’est rien passé entre nous jusqu’à l’an dernier. Nous sommes partis au ski tous les deux, sans mon père. Ses affaires le retenaient à Paris. Je ne savais pas du tout skier, et c’était une bonne occasion d’apprendre. Les premières journées se sont bien passées. Nous restions des heures sur les pistes et le soir, nous mangions au restaurant.
Le courant passait bien entre nous. Je crois que si ça n’avait pas été la femme de mon père, j’aurais tenté ma chance. Des fois, j’avais l’impression qu’elle n’attendait que ça. Elle me lançait des regards enflammés, elle se baladait en dessous dans le chalet…
Ça s’est passé pour de bon le dernier jour de notre séjour. Nous faisions du hors-piste pour plus de tranquillité. Nous étions dans un endroit entouré de sapins qui dominait toute la vallée. Le ciel était presque blanc. C’était le paradis. À un moment, elle s’est collée tout contre moi. Elle a posé ses mains sur moi pour corriger une position. Son parfum m’excitait. Quand elle a placé ses doigts sur mes hanches, je me suis mis à bander. Elle l’a vu. C’était obligé, la combinaison était moulante et j’étais cambré. Elle s’est pressée contre mon dos.
J’ai senti son souffle s’accélérer dans mon cou. Ses doigts ont glissé vers mon bassin. J’avais envie de faire des tas de choses, mais j’étais comme paralysé. Le désir, la timidité, je ne sais pas trop, mais en tout cas, j’étais incapable de bouger. Puis, quand elle a enlevé son gant pour presser sa main nue contre ma bite gonflée à travers la combinaison, je suis revenu à moi. Je ne pouvais pas me tourner à cause des skis. J’ai passé mes mains en arrière pour peloter ses fesses.
Hélène a abandonné ma bite un moment pour ôter ses skis. J’en ai profité pour faire pareil. Ce n’était pas commode de tenir debout dans la neige! Nous nous sommes embrassés comme deux adolescents. À chaque mouvement, nous manquions de tomber. C’était délicieux et frustrant à la fois. J’ai dézippé sa combinaison et j’ai libéré ses gros seins. Elle avait une très belle poitrine laiteuse aux tétons larges et pâles. Je lui ai sucé les seins l’un après l’autre. Je bandais comme un âne. Elle continuait à me tripoter autant qu’elle pouvait. Je n’en pouvais plus de lécher et de sucer sa poitrine, c’était vraiment très bon. Je sentais le froid piquant sur ma langue et la chaleur de sa peau. Elle m’a repoussé et elle s’est mise à genoux. Elle a ouvert ma combinaison et extrait ma queue. J’ai aussitôt senti le froid dessus. C’était glacial.
Elle a arrondi sa bouche et a englouti toute ma bite, lentement. L’intérieur de sa bouche était brûlant. J’ai grogné de plaisir en attrapant ses cheveux bruns. Elle m’a pompé avec douceur et sensualité. Sa langue s’enroulait le long de la hampe et sa main me pressait les couilles. Sa pipe n’a pas duré longtemps. Elle savait comment jouer avec sa bouche pour donner du plaisir à un homme… Au moment où j’allais jouir, elle a ôté ma queue d’entre ses lèvres. Elle m’a branlé très vite en écrasant mon gland sur sa langue tirée. Sa salive et ma bite étaient fumantes tellement il faisait froid. J’ai tiré plus fort ses cheveux au moment de gicler. J’ai tout lâché en quatre jets. Le sperme, fumant lui aussi, s’est étalé sur sa langue. Elle a repris ma queue encore sensible en bouche pour tout avaler. Je vivais un rêve debout !
L’excitation retombée, nous avons recommencé à sentir le froid. Nous nous sommes rhabillés à la hâte. Elle m’a dit que ça faisait longtemps qu’elle avait « envie de régler ça » entre nous. J’ai trouvé cette phrase plutôt énigmatique. Nous n’avons pas recommencé. Nous n’en avons plus parlé. Mais cette année, nous repartons de nouveau tous les deux. J’espère que nous irons plus loin cette fois.
(Image à la une : Getty Images)
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