Visite en profondeur

Tous les voyants étaient au vert : l’appartement était situé à quelques minutes à peine de mon université, la copropriété était récente et assez calme, et les prestations semblaient de grande qualité. En tout cas, les locataires actuels l’avaient très joliment décoré. Le lieu était comme sur les photos, propre, élégant, de bonne facture, mais ce que je n’avais pas pu anticiper, c’était le côté beau gosse de mon agent immobilier, Thibault. Je pensais que dans la profession, il n’y avait que de vieux croulants bedonnants. À mes yeux, qui d’autre pouvait s’intéresser à la plomberie, aux diagnostiques et à toute la paperasse administrative.

En tout cas, Thibault n’avait rien de tout ça : il m’a présenté avec beaucoup de professionnalisme les moindres recoins de l’appartement, a insisté sur le calme et la luminosité.

J’avais préparé quelques questions, et ses réponses, précises, humbles, honnêtes ont fait mouche à chaque fois. Dans ma tête, le choix était déjà tout fait : bien sûr que je le prenais ! J’ai fait mine de jouer celle qui hésite, celle qui pose des questions très pointilleuses sur le voisinage, les transports… et le moelleux du matelas (c’est un meublé, j’ai le droit de poser la question !).

Je crois que Thibault a très vite senti où je voulais en venir. Il m’a fait une description détaillée du lit… et de toutes les positions que je pouvais pratiquer dessus : « Il est idéal pour de la levrette, mais aussi du missionnaire, de l’Andromaque. Et vous pouvez même inviter des amis, si vous êtes vraiment gourmande. » Il rentrait dans mon petit jeu de séduction à 100 % !

Ravie de savoir que je lui plaisais, j’ai voulu passer à l’étape suivante. Et là, j’ai sorti le grand jeu : je me suis entièrement déshabillée. J’ai fait glisser, lentement, très lentement, les bretelles de ma petite robe d’été rose.

Puis est venu l’heure du dégrafée de soutif (mains à l’arrière, c’est toujours plus difficile). Et enfin, en le regardant à peine, du coin de l’œil, j’ai fait glisser ma petite culotte blanche en coton sous mon cul puis au niveau de mes cuisses.

Je suis restée comme ça, le corps complètement dévoilé, en basket blanche et rose dans la salle de bain, à m’amuser du regard choqué et complétement hagard de l’agent immobilier. « Euh ? Vous n’allez pas prendre une douche tout de même ? Je n’ai pas vraiment le droit… »

Il était tellement mignon à balbutier, inquiet – et en même temps totalement excité – par la situation. Je l’ai alors pris par la main, et l’ai ramené d’autorité dans la salle de bain tout en marbre. « OK, je ne prends pas de douche…, mais dans ces conditions, je veux quand même savoir ce que donne cet appartement si j’y invite un amant. »

Suite à après cette proposition plus qu’explicite, j’ai commencé à lui masser doucement l’entrejambe, à travers son pantalon de costume. J’ai senti une belle bosse devenir de plus en plus dure et gonfler sous son froc.

C’est qu’il appréciait mon corps de nymphette, l’agent immobilier, et mon petit numéro de strip-tease lui avait bien chauffé la rétine. Je ne sais pas s’il avait une petite copine, mais en tout cas il n’a pas décliné cette offre opportune. Encore accroupie, j’ai jeté mon regard dans le sien, comme pour l’hypnotiser, et en même temps, ma main est venue s’agiter seule sur sa ceinture.

J’ai retiré d’un geste vif la boucle de cuir et j’ai dézippé le haut de son pantalon. Il ne disait rien, il restait très attentif au moindre de mes mouvements comme impatient de savoir comment toute cette histoire allait se terminer.

Il ne devait pas en avoir vu beaucoup, des potentielles clientes affamées comme moi. En même temps, peut-être ne savait-il pas tout des étudiantes… Ce n’est pas si facile d’avoir vécu tout le début de sa jeune vie d’adulte chez ses parents, sans pouvoir baiser, et de se retrouver d’un coup, seule, émancipée, avec l’envie d’enchaîner et de rattraper le temps perdu !

Mais bon, je n’avais pas le temps de raconter ma vie à Thibault, seul comptait, maintenant, mon plaisir et la découverte de son corps dans le mien.

Je l’ai portée directement à ma bouche pour la goûter, pour la sentir contre l’intérieur de mes joues, contre ma langue et près de ma gorge. Non seulement elle était belle, mais en plus elle était bonne ! Chaude, dure, glabre… tout comme je les aime.

Les yeux de Thibault s’étaient révulsés. Il commençait une sorte de transe bizarre, en tremblant sur lui-même et en respirant de plus en plus fort. Ça y’était, on était passé du très sage agent immobilier au taureau en rut près à enfoncer sa queue n’importe où. Je me suis plaquée face au mur, dos à lui, et il a enfoncé très doucement sa bite dans mon antre.

Enfin, je dis doucement, mais je crois bien que son gland a laissé place à ses couilles en moins de deux secondes. En même temps, c’est aussi un peu ma faute, je mouillais comme une vraie petite sauvageonne. Comme je pouvais m’en douter dans ce moment de précipitation, Thibault s’est mis à me pilonner. Il avait certainement des rendez-vous professionnels à honorer après moi et était en train de prendre un retard considérable.

Comme je le sentais parti comme une fusée, près à éjaculer en un instant, il a fallu que j’intervienne – et vite ! « Stop ! Baise-moi plutôt sur lit, s’il-te-plaît ! On va voir s’il est aussi pratique que ce que tu m’as vanté ».

Il m’a pris comme un sac de pommes de terre et hop, il m’a littéralement jetée sur le lit. Il a relevé ma jambe gauche au niveau de son épaule et a enfoncé sa bite, tout de go, dans ma fente béante.

Le message était très clair : il n’avait pas une minute à perdre.

À nouveau, ses mouvements de bassin se sont faits de plus en plus pressants, et avec la jambe à 90° qui pliait violemment vers mon épaule, j’ai dis : « Stop ! Trop difficile à tenir, on change ! » Je vous jure, il me faisait faire une chorégraphie digne d’un ballet russe. En même temps, pour tester le matelas, il fallait bien enchaîner les positions, non ?

Pensez-vous ! Il m’a bien dégommé l’arrière-train comme un forcené !

Il s’est courbé de telle façon à s’agripper correctement à mes hanches et mon cul, et à me l’enfoncer bien profond, façon marteau-pilon.

Je me retenais à ce que je pouvais : les draps, l’oreiller, le bout du matelas. Et je dois dire que je n’avais jamais baisé sur une literie de si bonne qualité. Est-ce que le confort joue un rôle dans le plaisir ressenti durant la baise ? Assurément ! Je me sentais beaucoup plus à même de m’abandonner totalement à sa poigne, à ses mains, à mon plaisir 

Je me suis touchée le clito en même temps, pour me donner l’élan final nécessaire à une jouissance totale. Une petite pichenette, à peine, et me voilà décollant à plein régime vers le septième ciel. J’ai alors jeté un regard par la fenêtre : Thibault avait raison, qu’est-ce que cette pièce était lumineuse. La fenêtre me paraissait alors rayonner d’un éclat surnaturel. Puis j’ai convulsé, pendant quelques secondes, et l’ai imploré de ralentir, le temps de reprendre mes esprits.

Il s’est retiré et m’a demandé de le monter sur lit, comme une Amazone ! Pari tenu. Je l’ai enfourché avec une énergie folle, j’avais envie de lui donner autant de plaisir qu’il m’en avait donné.

Je me suis agitée sur sa queue comme une furie. Je faisais des mouvements dans tous les sens, j’étirais bien grand mon dos pour qu’il s’enfonce le plus profondément possible. Je sentais le casque de son sexe frapper contre mon col. Je crois que n’ai jamais rien vécu d’aussi fougueux. Et tout en m’agitant sur son entrejambe, j’ai tendu l’oreille.

Pas un bruit. Pas de – clac clac clac – du lit qui tape contre le mur ou contre le sol. Ça pour sûr, je pourrais en ramener dans la piaule, des amants !

Plus je continuais ma gymnastique, plus je sentais que son pénis grossissait dans ma cavité.

Nous n’avions ni l’un ni l’autre de préservatif… Heureusement, il a eu la présence d’esprit de me basculer sur le côté, et de se décaler en soixante-neuf. Je dois bien le reconnaître, c’était brillant !

Je pouvais à nouveau me délecter de sa queue, et en plus, j’avais un cunni en prime. Vraiment, rien à redire, c’était parfait pour terminer une séance de baise. Je n’ai pas avalé, car je ne suis pas non plus une “grosse cochonne”, mais je l’ai laissé m’asperger la figure, et sa propre bite, dans un grand bruit de soulagement. Je me suis dit que s’il se permettait d’être aussi bruyant, c’est qu’il était sûr de l’insonorisation de l’appartement.

Encore une fois, ce studio n’avait vraiment que des qualités ! Il n’a pas pu retenir un coup d’œil vers sa montre et visiblement il s’en est voulu d’être en retard ! Qu’est-ce qu’il était professionnel ce Thibault !

Le souffle court, il m’a demandé : « Alors, vous le prenez ? » Coquine, j’ai répondu « Le mec ou l’appart ? Les deux me plaisent… »

Croyez-le ou non, je l’ai vu rougir. Peut-être que j’avais gagné un peu plus qu’un appartement bien situé pour mes études, finalement ?